Fandeloup

Période de remises en question , quand on arrive à la fin d'une année , je me demande toujours que devrais je faire de plus , l'an prochain..... Comment aimer plus , aider plus , rêver plus..... Puis j'attend les signes , les réponses.

Jeté dans la rue et attendant la mort, il etait ignoré par tous les passants jusqu’à ce qu’un jeune homme intervienne

Yann Servant vit au Chili depuis 4 ans et, depuis 1 an, il a secouru plus de 30 chiens et 7 chats, en grande majorité de chiots ou des chatons, tous abandonnés, certains étant malades, blessés, tous ayant besoins de nourriture, d’eau, de caresses et de tout ce qui fait une vie normale d’un animal.

Voici l’histoire de Lucky, telle que nous la raconte Yann.

Quand nous avons trouvé Lucky, sur le bord d’une route près de chez nous, « c’était ce qu’il restait d’un demi chien ». Attendant la mort, déshydraté, délaissé par tous ceux qui passaient à côté, avec seulement la partie antérieure du corps qui pouvait bouger…j’ai, là encore, pensé à un choc avec une voiture…avec ma copine, nous l’avons emmené chez la vétérinaire.

Diagnostic, aucun choc avec une voiture mais difficile d’en savoir plus vu son état (oreilles de 3 cms d’épaisseur, dreadlocks, etc…)…elle a dû le baigner 3 fois pour retirer un maximum de la crasse qu’il avait de collée dans le poil…elle l’a tondu aussi raz qu’elle a pu et a laissé quelques parties du corps avec les poils, la peau de ce toutou se craquait toute seule…

Bilan : Lucky a certainement été jeté à la rue quand il était jeune car il a … des séquelles de distemper…+ ou – paraplégique, il s’est habitué à marcher sur ses pattes de devant, d’où son dos en forme de bosse de dromadaire…à part cela, il a besoin de vitamines, nourriture, eau et…de soins particuliers car son pénis est totalement sorti.

Aujourd’hui, 5 mois après, Lucky va beaucoup mieux, il a repris du poids, il marche sur 4 pattes (bien que de façon « bizarre »), il a toujours les séquelles de distemper (ses pattes arrières sont toujours en mouvement, un peu comme s’il avait parkinson et cela jusqu’à la fin de sa vie) mais on continue les soins pour son pénis, encore 2 bons cms qu’il ne rentre toujours pas (avec tout ce que cela comporte de blessures).

Pour sauver Lucky ainsi que les autres loulous de son refuge, Yann a sacrifié ses économies et ne reçoit aucune aide de la mairie ni d’un quelconque autre organisme d’état. Il en a pour environ 250 euros de nourriture par mois (parfois plus), sans parler des frais vétérinaires, des médicaments, des niches, du chenil (rustique), des couvertures, des gamelles, etc…

Ce que font ces 6 dangereux médicaments populaires

Ce n’est pas parce que votre médecin vous prescrit un médicament qu’iI est forcément bon de le prendre. Il s’avère que de nombreux médicaments couramment prescrits peuvent avoir de sérieux effets secondaires, des nausées et maux de tête de courte durée à une myopathie inflammatoire chronique ou une maladie cardiaque – voire pire.

D’importantes informations sont souvent cachées au public, ce qui perpétue l’idée selon laquelle les autorisations délivrées par les agences du médicament dépassent de loin les risques. Pour vous aider à mieux comprendre le sujet, voici six classes de médicaments et pourquoi vous devriez y réfléchir à deux fois avant de les ingérer.

1) Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) .

Des millions de personnes prennent des IPP pour atténuer les symptômes du reflux gastro-oesophagien, une maladie où des aliments et des acides remontent dans l’œsophage, provoquant des dégâts.

Or, il est apparu que les IPP bloquent l’absorption des nutriments et empêchent la production nécessaire d’acide par l’estomac, ce qui peut provoquer d’autres problèmes de santé.

La Food and drug administration (FDA, l’agence du médicament américaine) a publié au moins une douzaine de mises en garde contre les IPP, évoquant un risque accru de diarrhée bactérienne, de carence en magnésium et de fracture des os.

Leur consommation sur le long terme a aussi été reliée à une augmentation du risque de pneumonie et à un gain de poids dangereux pour la santé.

2) Les statines.

En tête des classes de médicaments les plus vendues plusieurs années d’affilée, les statines sont considérées par le corps médical comme un médicament miracle contre le cholestérol et les maladies cardiaques.

Les médicaments à base de statines populaires, comme le Lipitor et le Crestor, augmentent de manière importante les risques de diabète, de maladie du foie, de dommages au cerveau, d’atrophie musculaire et de mort prématurée.

Les effets secondaires des statines sont si sérieux que la FDA a récemment élargi ses mises en garde officielles concernant leur utilisation. En outre, des douzaines d’études ont montré que la prise de statines a peu d’effets, voire aucun, dans la prévention des crises cardiaques ou des AVC.

3) Les antibiotiques.

Cause principale de l’apparition de « superbactéries », les antibiotiques sont aussi une classe de médicaments qui peut créer des problèmes de santé sur le long terme sans apporter beaucoup, voire sans aucun bénéfice.

Exagérément prescrits en dépit du bon sens pour des problèmes auxquels ils ne répondent souvent pas, les antibiotiques et leur utilisation abusive par le corps médical ont rendu de nombreuses infections plus virulentes et impossibles à traiter.

Selon le docteur Shane Ellison, du blog The People’s Chemist, les trois antibiotiques courants les plus dangereux sont la lévofloxacine, la vancomycine et la bactrim.

Le Dr Ellison cite aussi les quinolones, la classe d’antibiotiques la plus couramment prescrite, toute aussi dangereuse, indiquant que des antibiotiques comme la ciprofloxacine, la moxifloxacine et l’ofloxacine peuvent provoquer une invalidité sérieuse et permanente.

4) Les antipsychotiques.

L’une des classes de médicaments les plus mortelles, les antipsychotiques, sont couramment prescrits pour des problèmes comme la schizophrénie, les désordres bipolaires, les dépressions sévères, ainsi que pour des problèmes de moindre importance comme de légers désordres de l’humeur et de l’anxiété chronique.

Mais les antipsychotiques courants comme le fumarate de quétiapine, le rispéridone et l’olanzapine font augmenter les taux de sucre et de cholestérol et favorisent la prise de poids. Plus graves encore sont les dommages neurologiques et du cerveau qui peuvent résulter de la prise d’antipsychotiques, sans compter l’élévation du risque de syndrome métabolique qui peut inclure de graves problèmes de santé, comme une maladie cardiaque ou du diabète.

Les antipsychotiques sont si dangereux qu’une étude publiée dans le British Medical Journal les a déclarés plus mortels que le terrorisme.

5) Les analgésiques opioïdes.

Il a été officiellement déclaré que des médicaments vendus en pharmacie sont l’une des causes principales de décès aux États-Unis aujourd’hui. Cela est en grande partie dû à l’usage d’analgésiques à base d’opioïdes comme la vicodine, l’oxycodone, la codéine et la morphine.

Selon une étude émanant de l’Université Brandeis, dans le Massachusetts, les analgésiques sont maintenant responsables de plus d’overdoses fatales que l’héroïne et la cocaïne réunies.

6) Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS).

Les antidépresseurs à base de fluoxétine, de sertraline, de paroxétine et d’escitalopram existent depuis des années, mais on prête généralement beaucoup moins attention à leurs dangers qu’ils le mériteraient. Des effets secondaires comme des tendances suicidaires, un dysfonctionnement sexuel, des saignements gastro-intestinaux et des maladies cardiaques ne sont que la partie émergée de l’iceberg concernant les ISRS.

Dans certains cas, ils peuvent aggraver les symptômes de la dépression, poussant certains individus à devenir violents. Donc, avant d’en prendre, renseignez-vous sur leurs effets secondaires.

S'écrouler de tristesse en voyant un regard qui n'a plus de lueur.

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Chiens, iguane, faucons: 170 animaux morts retrouvés dans une ferme de l’Aisne

Plus de 170 animaux , dont 90 chiens, ont été retrouvés morts lundi dans une ferme de Crupilly, dans l’Aisne, dont la propriétaire avait été condamnée pour maltraitance, a indiqué l’association chargée de récupérer ces bêtes confisquées par la justice.

Au total, 171 animaux parmi lesquels « des chiens, des chats, un iguane ou encore deux faucons » ont été découverts majoritairement « entassés dans différents congélateurs », a expliqué Anne-Claire Chauvancy, de la Fondation Assistance aux animaux , venue saisir initialement une centaine de bêtes, assistée des gendarmes de La Capelle (Aisne).

Sur place, la locataire de la ferme a été très peu coopérative, refusant de laisser entrer les gendarmes au domicile, selon L’Aisne nouvelle , qui a révélé l’information.

Trente-neuf animaux ont également été retrouvés vivants, dont quinze chiens, des rongeurs, des caprins, une mygale, mais aussi un bouc.

Tous pris en charge par la fondation, certains étaient cachés dans des placards. La plupart des animaux en vie évoluaient dans des conditions précaires mais la plupart d’entre eux ont été déplacés avant que la confiscation n’ait lieu par la propriétaire.

« On se doute que le reste des animaux a été déplacé et on a bon espoir de mettre la main dessus dans les prochains jours » confie Anne Claire Chauvancy.

Les animaux embarqués vont être dispatchés en Seine-et-Marne et dans les Yvelines.

Condamnée le 18 décembre

La propriétaire des animaux était poursuivie pour sept infractions en lien avec la détention d’animaux parmi lesquelles « gestion d’un refuge sans autorisation », « privation de nourriture » ou encore « maintien d’un animal domestique dans un habitat pouvant être cause de souffrance ».

Elle avait été condamnée le 18 décembre par le tribunal correctionnel de Laon à deux peines d’amende avec sursis de 500 € et 300 € et d’une contravention de 100 €.

La décision de justice demandait également la confiscation des animaux.

En 2011, une soixantaine de chiens détenus dans des conditions sordides et des animaux de ferme avaient déjà été retirés chez cette propriétaire à la suite d’un contrôle vétérinaire.

Vague de froid en Europe : jusqu'à -20°C

Le temps change brutalement cette semaine sur l'Europe de l'est et la Russie, avec la descente d'une masse d'air arctique remarquablement froide.

Une vague de froid est attendue. Après un mois de décembre exceptionnellement doux sur l'Europe, un brutal changement intervient cette semaine : dès mardi, de l'air arctique très froid plonge brusquement du nord de la Russie à l'Europe de l'est (Pologne), pour atteindre les Balkans, la Mer Noire, la Turquie et la Grèce pour la Saint Sylvestre.

Ce décrochage d'air arctique est lié à la formation d'un anticyclone sur le nord de la Scandinavie. Il provoque la bascule des vents au nord-est depuis la Mer Blanche (Mourmansk) jusqu'en mer Egée. On parlera de vague de froid, qui pourrait persister au delà de la première semaine de janvier.

Les températures plongeront en dessous de de -10°C dans les plaines d'Europe centrale, avec des pointes à -20°C attendues en Roumanie.

La France menacée?

A ce jour, il semble exclu que cet air froid atteigne l'Europe de l'ouest. Les pays limitrophes seront la partie Est de l'Allemagne, la Pologne, puis les Balkans.

Les pays riverains de la Mer Noire devraient connaître un véritable blizzard pour le 1er janvier : la neige tombera à Istanbul (Turquie), ce qui se produit chaque hiver, et peut-être même en Grèce.

Quelle évolution ultérieure?

Dans le courant de la semaine du 4 au 10 janvier, le froid glacial se maintiendra sur les Balkans, la Roumanie, la Grèce et la Turquie et devrait s'estomper sur place.

Mais, en fonction du dynamisme de cette masse d'air, le froid pourrait progresser plus vers l'ouest, vers l'Italie, et provoquer des chutes de neige en mer Adriatique.

La dernière vague de froid à avoir concerné la France en provenance de l'est et du sud-est est celle de février 2012 : on note des similitudes de configuration avec le même sens de circulation des vents en altitude, qui étaient arrivés de Russie vers les Balkans; puis l'air froid était revenu vers la France avant de s'étaler sur toute l'Europe continentale. arrivée du grand froid à Yekaterinburg (Russie), dans la province de l'Oural, à environ 700 km à l'est de Moscou. La température est déjà descendue à -15° lundi, avant de plonger à -30° mardi.

Il ne sait pas ce qu’il deviendra, mais il l’élève. En faisant ça, il nous donne des images que nous n’avons jamais vues.

Un jogger trouve un oisillon. Il était tombé de son nid peu après avoir éclos, il restait encore des morceaux de coquille d’œuf collés à sa peau. Ses chances de survie étant nulle, le jogger tente de lui retrouver son nid. Malheureusement, le nid de l’oisillon demeure introuvable.

Toutefois, il s’avère que le frère de ce jogger est vétérinaire. Ce qui suit nous permet de voir quelque chose d’époustouflant que l’homme a rarement la possibilité d’observer.

Le journal de bord suivant la croissance de ce petit oisillon jusqu’à l’âge adulte est tout simplement fascinant.

ATTENTION : ce qui suit a été fait par des professionnels qualifiés. S’il vous arrive de trouver un oiseau ou un autre animal dans la même situation, cherchez d’abord l’assistance d’un professionnel. L’idéal étant bien sûr de restituer l’oisillon à son nid quand cela est possible.

Jour 1. Voici ce à quoi ressemble l’oisillon directement après sa naissance. Pour l’instant, ils ne peuvent déterminer l’espèce.

Jour 2. Cette boule de poils mignonne a été placée dans un incubateur réglé à la température et l’humidité idéales. Ils l’ont nommé “Dumpling”.

Jour 3. Pendant 14 heures par jour, il faut nourrir le bébé toutes les 30 minutes. Le menu consiste de vers de terre, de grillons, et une préparation spéciale pour nourrissons.

Jour 4. Après 4 jours, on commence à voir le plumage pousser. C’est captivant de voir à quelle vitesse l’oiseau se développe. Ses instincts se sont aussi mis en route, il a commencé à faire ses besoins sur le bord de son “nid”, comme dans la nature.

Jour 5. À peine un jour plus tard, son plumage a vraiment commencé à sortir. L’oiseau commence à pouvoir se mettre dans d’autres positions.

Jour 6. Ses plumes sont encore encastrées dans leur revêtement protecteur.

Jour 7. À une semaine, la couche protectrice de son plumage tombe.

Jour 8. L’oisillon continue de grandir. Il se nourrit de 3 grillons et quelques vers de terre par repas. Un appétit féroce !

Jour 9. À présent, il peut sortir de l’incubateur grâce à son plumage quasi complet et robuste.

Jour 10. Ils le placent dans une cage avec des éléments naturels afin qu’il s’y familiarise.

Jour 11. L’oiseau est encore jeune et n’a donc pas encore développé ses plumes de queues.

Jour 12. Son régime est à présent agrémenté de graines. Les vers de terre ne lui sont plus donnés, il les recueille lui-même.

Jour 13. Le jeune oiseau commence à développer son sens de l’équilibre sur sa perche.

Jour 14. Incroyablement, après juste 2 semaines, cet oisillon sans défense est devenu un bel oiseau. Ils grandissent si vite…

Jour 17. Il a été placé dans une cage plus grande. Ses sauveurs y ont disposé des branches et des feuilles afin que l’oiseau s’habitue aux arbres.

Jour 22. Il faut maintenant commencer l’acclimatation météorologique. La cage est placée dehors de façon intermittente. Dumpling peut également avoir un contact avec d’autres oiseaux et apprendre à chanter.

Jour 23. Ici nous pouvons observer son beau plumage. On sait maintenant qu’il appartient à la famille des Bruants.

Jour 25. Son plumage sert également de camouflage dans les arbres.

Jour 27. Son régime alimentaire consiste entièrement de graines et de vers de terre. Dumpling ne s’intéresse plus aux grillons.

Jour 29. Dans la nature, il pourra manger des bourgeons - un des plats préférés de ces oiseaux.

Jour 33. À partir d’un mois, Dumpling peut être libéré dans la nature. Mais la météo annoncée étant assez tumultueuse, ces sauveteurs décident d’attendre un peu.

Jour 36. Une fois les orages passés, ce jour semble être parfait pour libérer Dumpling. Ils l’emmènent près du lieu où il avait été trouvé pour qu’il puisse être entouré d’oiseaux de la même espèce.

Après quelques minutes, il sort de sa cage et commence à se comporter comme un vrai petit oiseau. Le fait qu’il ait été élevé de manière si naturelle par des experts a été essentiel à sa réinsertion dans la nature.

C’est beau de voir cet oiseau prendre son envol suite à son élevage en captivité. À travers sa rescousse, nous avons eu la chance extrêmement rare de voir ce petit être grandir jusqu’à l’âge adulte.

Partagez cet aperçu unique dans la vie d’un oiseau.

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