Fandeloup

La solitude est une grande force qui préserve de nombreux dangers

Il s'agit d'un Dragonnier de Socotra. Oui, sérieusement

— UN DRAGONNIER DE SOCOTRA.

Cet arbre extraordinaire en forme de parapluie tire son nom de sa résine rouge foncé, historiquement utilisée comme colorant et stimulant. On le trouve sur l'île de Socotra, au Yémen, qui abrite près de 700 espèces endémiques et est décrite comme « l'endroit le plus extraterrestre sur Terre ».

Laisses le merveilleux porter tes rêves....

Que l'océan d'amour vous berce avec douceur.... Bonne journée pour tous !

Une femme commence a chanter a côté d'un éléphant, ce qui ce produit ensuite est magique

BONNE NUIT

Terrifié, ils l’ont sauvé quelques instants à peine avant qu’il ne bondisse sur l’autoroute!

De nombreux amis des animaux déploient chaque jour d’énormes efforts pour venir en aide à ces êtres en détresse.

Parmi eux, les bénévoles de l’association californienne Hope For Paws (littéralement Espoir pour Pattes) font un travail remarquable. Cet organisme basé à Los Angeles tente quotidiennement de sauver un maximum de chiens livrés à eux-mêmes afin de les aider à se remettre sur pied et à trouver des familles d’adoption.

Récemment, c’est un Pitbull errant prénommé Veyron qui a bénéficié de leurs nobles services. Le chien vivait en bordure d’une autoroute très fréquentée de Los Angeles depuis plusieurs mois. Il risquait à tout moment de se retrouver au beau milieu du trafic routier et de se faire renverser par l’un des nombreux véhicules défilant à toute vitesse.

Eldad et Lisa, deux des formidables volontaires de Hope For Paws, ont reçu un appel au sujet d’un pitbull errant et se sont rendu sur place pour tenter de le secourir, mais la tâche était des plus délicates : Veyron, totalement pétrifié par la peur causée par l’incessant trafic, n’allait certainement pas se laisser approcher facilement. Le moindre mouvement brusque pouvait s’avérer désastreux, pour lui comme pour les bénévoles.

Il pouvait, en effet, tomber vers l’autoroute en contrebas. Le risque qu’il se montre agressif envers les volontaires de Hope For Paws n’était pas non plus à écarter.

Et ce serait d’ailleurs une réaction naturelle pour un chien acculé entre 2 clôtures grillagées, comme c’était le cas ce jour-là. Mais Veyron était trop affaibli pour réagir d’une manière ou de l’autre. Fatigué de lutter pour sa survie depuis tout ce temps, il a fini par se coucher.

L’équipe de Hope For Paws l’a tout doucement approché en prenant soin de ne pas le brusquer, puis a passé un lasso autour de son cou, suivi d’une laisse. Vint alors le temps des caresses, et là, ses sauveteurs se sont retrouvés face à un chien certes méfiant, mais ravi et soulagé d’avoir droit aux premières manifestations de tendresse à son égard.

Chose à laquelle il n’avait certainement pas goûté depuis longtemps, voire jamais de sa vie. Pour sa sécurité, Veyron a ensuite été placé dans une cage, puis emmené dans les locaux de Hope For Paws où il a été lavé, soigné et nourri.

Depuis, l’adorable Pitbull passe ses journées à jouer avec ses nouveaux amis du centre, attendant d’être adopté définitivement.

Une danse de la liberté mes amis simplement

PARTAGEZ POUR LUI FOUTRE LA HONTE !!!

Ce chasseur est fier de ce double meurtre ! La chasse permet aux serial-killers de tuer légalement. Trouvez-vous cela normal ?

Un plat suspendu gratuit pour ceux qui n'ont pas de quoi manger

L'initiative solidaire d'un restau de la Rue Colbert. Depuis 3 ans et son arrivée derrière le comptoir du Bistrot le Corneille à l'entrée de la Rue Colbert de Tours, Didier Caillibot a décidé de mettre une pincée de solidarité sur sa carte.

Ainsi, il propose à ses clients de payer deux cafés mais de n'en boire qu'un, le deuxième étant réservé à une personne qui n'a pas les moyens de régler l'addition.

Ce concept appelé "café suspendu" est né en Italie : "à l'origine le café y était cher et les nantis qui pouvaient s'en offrir en payaient deux.

Le patron accrochait alors un ticket au dessus du bar et le jetait à la poubelle lorsqu'on venait lui demander un café suspendu" explique aujourd'hui le barman séduit par le côté solidaire de la démarche et qui la décline d'ailleurs pour le thé ou le chocolat chaud. Alors qui vient réclamer un café suspendu ?

"Ce sont souvent les mêmes. Des jeunes ou moins jeunes, des marginaux, des personnes qui font la manche dans la Rue Colbert. Je vois des étudiants mais aussi des Roumains, des Polonais... Ca touche tout le monde. Ce sont des personnes qui ont besoin de passer un moment au chaud, alors je n'hésite pas à leur dire de venir. Et surtout je ne demande jamais leur déclaration d'impôts. Il n'y a ni a priori ni jugement.

"Ce n'est pas en rejetant ces personnes qu'on va leur trouver des solutions" Le système semble avoir séduit la clientèle du Corneille : "les gens me posent toujours des questions alors je leur explique le principe. Souvent ils me laissent alors un, deux ou trois cafés suspendus. Je le vends par ailleurs un peu moins cher : 1€ au lieu d'1€20. Et les habitués en prennent souvent."

Du coup Didier Caillibot a étendu la démarche aux plats suspendus : "c'est le même principe. je propose aux clients de payer un deuxième plat du jour à 6€ au lieu de 8€90 quand je le sers à table. C'est le prix de la matière première et du personnel.

Les personnes qui le réclament peuvent le manger sur place avant ou après le service sinon je le fais à emporter, avec la viande d'un côté et les légumes de l'autre dans une barquette. Cela fait une semaine que c'est en place et j'en ai déjà eu deux d'achetés."

Ce qui réjouit aussi le restaurateur c'est que les personnes qui profitent des cafés ou des plats suspendus ne se contentent pas de consommer : "il y a des liens qui se créent, de l'échange." Il anticipe aussi les critiques dans une Rue Colbert d'où s'élèvent souvent certaines voix pour critiquer la présence de marginaux ou du café La Barque qui vient en aide aux sans abris :

"certains confrères pourraient me dire que je vais accueillir chez-moi une population pas toujours facile à gérer, alcolisée. Mais ce n'est pas en rejetant ces personnes qu'on va leur trouver des solutions.'