Fandeloup

Les chiens ne mentent jamais quand ils parlent d’amour.

Là où je vais, c'est à la rencontre de moi-même.Dans cet espace, il n'y a de place pour personne. C'est un trajet qui se fait seul(e), de soi à soi, loin de la vue de tous et du monde entier. Un doux moment d'intimité entre soi, la terre et l'univers.

Recevoir un baiser , c'est recevoir une décharge d'amour en puissance dans son ♥.

Quand la vie te met face à une impasse, c'est que ce chemin ne t'est pas destiné et qu'un autre se trouve à proximité pour toi.

L'amitié c'est s'enrichir de nos différences, partager dans la confiance et se réjouir de nos joies.

Comment fabriquer des boules géantes de lumières ?

Ensuite, faîtes une forme cylindrée avec votre broche coupée, en joignant les deux bouts avec le reste de la broche. Puis, prenez des tyraps avec lesquels vous maintiendrez la broche, que vous aurez fini par rendre la plus sphérique possible. Et enfin, prenez votre cordon lumineux, et entourez votre broche avec, puis maintenez-le encore une fois grâce aux tyraps.

Deux motard trouve une chienne abandonnée et Maltraitée dans sa cage…Attendez de voir ce qu’ils ont fait ! BRAVO !

Alors que Bret Winingar et son fils Zach se baladaient en moto dans la compagne de Little Rock, Arkansas (États-Unis), ils remarquèrent une vieille cage de transport abandonnée dans un champ sur le côté de la route.

Ils décidèrent de regarder dedans et furent choqués en découvrant une chienne décharnée enfermée à l’intérieur. 

L’animal était dans un état de sous-nutrition avancé, avait des griffes tellement longues qu’elles s’étaient courbées jusqu’à rentrer dans ses coussinets, et l’intérieur de la cage était recouvert de déjections.

Ils partirent aussitôt lui chercher de la nourriture. Quand ils revinrent avec un sac de croquettes, ils remarquèrent un trou avec des marques de dents sur le dessus de la cage. La pauvre chienne avait certainement essayé de s’échapper en rongeant le plastique !2 Ils l’attirèrent dehors avec la nourriture.

Elle était toute bossue à force d’être restée aussi longtemps dans une si petite cage.3 Il lui donnèrent un peu de nourriture et la laissèrent brièvement, le temps d’aller chercher un camion pour la ramener.

Ils l’ont appelée Charlie Bravo, ou CB pour les intimes. Dès qu’elle s’est retrouvée à l’intérieur de leur camion, elle a immédiatement montré toute sa gratitude à ses sauveteurs.4 La première chose que les deux motards firent en arrivant chez eux fut de couper ses griffes incarnées.

Ensuite, il la nettoyèrent et prirent rendez-vous chez le vétérinaire.5 Les vetos estimèrent que CB était âgée de 8 mois. Ils soignèrent ces blessures, visiblement causées par son enfermement. Ils n’ont pas pu dire combien de temps CB est restée prisonnière de la cage, mais si l’on considère que ses pattes normalement blanches étaient tachées par les excréments et l’urine, on peut supposer que ça a été long.

D’après Bret, CB aurait bien pu être dans la cage depuis plus d’un mois. Rapidement, l’histoire de CB s’est répandue (via leur page Facebook) et la famille a reçu des dons par l’intermédiaire des médias sociaux, qui ont permis de couvrir les frais médicaux de CB.

Les Winingars ont l’intention de verser l’excédent des dons reçus pour CB à des foyers pour animaux de la région et, peut-être, de créer leur propre fondation pour la sauvetage des animaux, nommée bien à propos « Charlie’s Angels ».

Bret n’est pas un novice en la matière, ayant lui-même quatre chiens secourus sous son toit. À l’origine, il n’avait pas l’intention de garder CB. Mais après l’avoir soignée et remise sur pattes, il n’arrivait plus à se séparer d’elle.

Cela fait maintenant un mois qu’elle a été secourue, et ce temps que CB a passé dans une famille aimante a fait des merveilles pour elle. Elle a repris du poids, ses blessures cicatrisent et cet animal craintif, presque sauvage, est devenu un chien joueur qui adore faire des câlins à sa nouvelle famille.

Heureusement que les Winingars se sont arrêtés et ont regardé à l’intérieur de cette cage !

Allemagne : plusieurs corps de bébés retrouvés dans une maison en Bavière

La police allemande indique vendredi avoir retrouvé à Wallenfels, en Bavière (sud), les restes de «probablement» sept bébés dans un appartement.

L'ancienne habitante du logement, une femme de 45 ans, est activement recherchée. «Vers 16 heures jeudi, un habitante de Wallenfels a découvert la dépouille d'un nourrisson et a appelé les services d'urgence.

Les forces de police appelées sur les lieux ont découvert dans une pièce plusieurs corps de nourrissons. La police criminelle et le procureur de Coburg partent du principe qu'il y a probablement sept morts», souligne la police allemande dans un communiqué.

«La précédente habitante des lieux à Wallenfels, une femme de 45 ans, n'a pas encore pu être appréhendée et interrogée», selon la même source. Le porte-parole de la police bavaroise, Jürgen Stadter, a pour sa part indiqué à la chaîne d'information N24 qu'il n'était pas encore établi si cette femme était la mère des nourrissons. D'autres perquisitions et interrogatoires doivent encore avoir lieu. Une expertise médico-légale des corps est en cours depuis l'aube pour déterminer les dates et causes des décès mais risque de prendre du temps en raison de «mauvais état» de certains des corps.

«Aucun résultat n'est à attendre avant le début de la semaine à venir», selon la police et le parquet. Les photos des lieux montrent un petit immeuble de deux étages. C'est au niveau supérieur que les corps auraient été découverts. Aux fenêtres, on y voit des décorations pour enfants: papillons, nounours et nain de jardin. Les enquêteurs avaient dans un premier temps annoncé jeudi soir la découverte de «plusieurs corps de nourrissons» dans cette bourgade de 2 800 habitants de Franconie. La presse locale avait lors évoqué deux dépouilles. Elle aurait caché plusieurs grossesses Selon le site internet du quotidien populaire Bild, citant des voisins, la personne recherchée aurait caché plusieurs grossesses. Cette vendeuse dans un kiosque aurait vécu 18 ans dans cet appartement avec son mari et trois enfants.

«Elle a dit une fois qu'elle avait fait quatre fausses couches», a dit à Bild un témoin, non identifié. Selon le journal, la femme a été décrite par les voisins comme aimable et sympathique, se montrant aimante avec ses enfants. Sans citer ses sources, Bild affirme par ailleurs qu'elle a quitté le domicile en septembre après une dispute avec son époux.

Elle aurait aussi dit à ce dernier, lorsqu'elle était ivre, qu'elle avait caché des corps d'enfants dans l'appartement. L'Allemagne a connu plusieurs cas d'homicides multiples de bébés par leur mère ces dernières années.

En mai dernier, une femme avait été condamnée à trois ans et huit mois de prison à Siegen (ouest) pour avoir tué deux de ses enfants et les avoir conservés dans son congélateur. En octobre 2013, en Bavière, deux corps de bébés avaient été découverts à l'occasion de travaux de construction.

L'enquête avait révélé qu'ils étaient nés dans les années 1980 mais leur mère avait été acquittée, l'homicide étant prescrit.

Message spécial a mes proches lollllllllll Je ne suis pas du genre trop patiente , je suis comme assez facile à mettre en rogne , c'est humain , je suis humaine , donc imparfaite , mais je suis fière de vous apprendre que la vieillesse me calmera un peu lolllllllll

Où sont passés 8 enfants de la communauté de Pakuashipi, sur la Côte-Nord?

En 1972, huit enfants de la communauté de Pakuashipi, sur la basse Côte-Nord, ont été envoyés à l'hôpital de Blanc-Sablon, à 200 kilomètres de leur village.

Où sont-ils passés?

Quarante ans après leur disparition, le mystère demeure entier. Un texte de Anne Panasuk En quelques mois, chacun d'eux y a été envoyé seul en avion (car il n'y avait pas de route) pour y être soigné.

Aucun n'en est revenu. Les parents n'ont jamais revu leurs enfants, ni vivants ni morts, et n'ont pas reçu d'avis de décès. Quand la résidente de Pakuashipi Louisa Mark s'est rendue à l'hôpital il y a trois ans pour retrouver sa soeur Odette, on lui a répondu qu'elle n'était pas sur la liste des personnes décédées.

Plusieurs croyaient que les enfant avaient été adoptés en catimini, d'autant plus qu'un cas semblable a été découvert. Au moment de la disparition des enfants, en 1972, les Innus de Pakuashipi venaient tout juste d'emménager dans leurs premières maisons, gage d'une meilleure vie.

Mais les maisons chauffées au bois n'avaient pas d'eau courante et surtout, les Innus étaient sans services. Considérés comme des hors-la-loi sur leur propre territoire, ils devaient quémander de l'aide au village de pêcheurs de l'autre côté de la rivière Saint-Augustin.

Même l'aide sociale leur avait été retirée quelques années auparavant pour faire pression sur eux, afin qu'ils acceptent d'être déménagés dans une réserve à 300 km plus à l'ouest.

En quelques mois, huit enfants sont tombés malades. Huit dans une communauté d'à peine 80 personnes. À la demande des parents, Radio-Canada a entrepris des démarches officielles auprès de l'hôpital de Blanc-Sablon.

Ce qui reste des archives nous a été livré sur place, alors que nous étions accompagnées par trois Innues de la communauté. Louisa Mark croit que sa soeur Odette est toujours vivante, qu'elle a été adoptée, comme cela semble s'être déjà produit ailleurs. Christine Lalo, elle, craint que ses enfants aient été assassinés.

Le doute ronge la communauté.

Nous nous sommes rendus à Blanc-Sablon avec trois Innues de Pakuashipi pour recevoir les archives médicales. C'est avec beaucoup d'émotion que les femmes ont déchiffré les papiers qui détenaient le secret du destin de ces enfants.

Les enfants sont tous décédés, la plupart d'infections des voies respiratoires. Une petite fille est quant à elle morte étouffée par des aliments, « asphyxie pulmonaire par obstruction des voies respiratoires supérieures ». « Pourquoi lui avoir donné à manger?, demande sa mère, Agnès Poker.

Elle n'avait que trois mois et ne prenait que le biberon. » Le médecin traitant de l'époque est décédé et la direction actuelle de l'hôpital n'arrive pas à expliquer ce qui est arrivé. « La basse Côte-Nord, c'est comme un hôpital de guerre », souligne Madeleine St-Gelais, une infirmière itinérante qui connaît les soins prodigués à l'époque.

Nous avons retrouvé trois médecins qui ont été de passage à Blanc-Sablon à l'époque. Ils n'ont aucun souvenir de ces décès en rafale, mais ils ont dit que les enfants innus arrivaient à l'hôpital très mal en point, en dernier recours.

Ce qui n'est pas étonnant lorsque l'on sait que les Innus de Pakuashipi ne recevaient aucun service à cette époque. Charles Mark, qui était le seul à posséder un bateau-moteur, les faisait traverser vers le village de pêcheurs, de l'autre côté de la rivière. Il raconte que cela prenait un temps fou pour les envoyer à l'hôpital, les Blancs passant avant eux.

Pendant de longues années, la distance et la langue ont empêché les familles de demander des comptes aux autorités. Ce long silence a entretenu des doutes qui marquent encore la communauté.