Fandeloup

Te rappelles-tu de cet endroit merveilleux ? Ou soleil et mer se reflétaient dans les cieux. C’est là que notre amour fut radieux Je le revois encore briller dans tes yeux. Tendrement je t’ai pris dans mes bras. Tu as ressenti des frissons de haut en bas .Je t’ai enveloppé comme une fleur avec délicatesse contre mon cœur

Une beauté de mère nature

Ce n’est pas du hasard, si les fées sont très fragiles. Effectivement, elles ont en charge de transmettre le destin, de donner un bon souffle sur les petites vies et pourtant, elles-mêmes ne peuvent vivre longtemps loin de l’endroit qui les a vu naître... Ne vous avisez jamais, ô grand jamais, de seulement vouloir les capturer et les enfermer, car elles seraient vouées à une mort certaine !

Ainsi il est excessivement rare et il est même considéré comme un privilège, de les voir. C’est ainsi que les personnes qui ont emprunté le chemin non tracé de leurs domaine, ne s'en souviennent pas, car, le plus souvent, un sort d'oubli leur est jeté et la mémoire dépouillée...

En outre, soyez très vigilant, car il vous faut savoir que l’une d’elle meurt chaque fois qu'une personne prononce les mots : "Je ne crois pas aux fées"! Pourtant, si nous existons, si nous persistons et continuons, c’est bien grâce à elles ! Grâce à elles et au petit peuple qu’elles chérissent et qu’elles maternent avec douceur , mais de très près ! Alors ne luttez pas, laissez-vous guider dans vos légères fantaisies, laissez-vous chavirer vers vos doux rêves et cultivez votre âme d’enfant, car il reste un grand jardin d’amour à labourer, à soigner et à semer

Le soir s'approche lentement, emmenant avec lui une douce nostalgie, surgie de la nuit..

Au vent léger glisse ma plume, pour te dire les mots que je n’ose, désormais, prononcer sans pleurs, car de ton absence, me reste la douleur. Un jour, sans doute, irai-je te retrouver, dans ce jardin de légendes et de beauté, ou, à tout jamais, nous serons réunis, quoi que veuille bien en dire la vie…

Ce raton laveur est un vrai amour!

Étant sauvé par Rosie Kemp de Nassau vivant aux Bahamas, ce petit raton laveur a eu très grande chance après sa chute d'un arbre. Elle l'a prise chez elle et la surnommé Pumpkim.

Il est très affectif et est devenu copain avec tout le monde surtout les chiens de la maison.

Ainsi, elle se prend même pour un chien désormais. Certes son élevage nécessite beaucoup de travail, mais elle donne à tout le monde le sourire

De nature très futée, elle exprime même ses sentiments. Voici des photos de Pumpkin avec ses nouveaux copains.

Allez ! Et si nous faisions une petite balade dans les sous-bois ? À l'abri des regards, se laisser envahir par la douceur de l'automne, se laisser pénétrer de senteurs et s’émerveiller des cadeaux de la Nature… Juste pour le plaisir de se retrouver au calme, un tant soit peu

La méfiance est l'oeil droit de la prudence.

Les patients sont tous extrêmement satisfaits de cet essai qui est prévu pour une durée de 3 mois.

C'est un grand pas en avant et un espoir sans précédent pour les diabétiques. Le CHU de Montpellier teste en ce moment sur quatre patients diabétiques, et cela pour une durée de trois mois, un pancréas artificiel en autonomie complète.

L'expérience relatée dans le quotidien régional Midi Libre est totalement innovante. Un capteur de glycémie est collé sur le corps du patient. Il active une pompe autonome externe classique qui va diffuser l'insuline, et le patient est informé en permanence de l'évolution de la situation grâce à son smartphone, qui l'alerte lorsqu'il tombe en hyperglycémie ou en hypoglycémie.

"La Ferrari du diabète" Cité dans les colonnes du quotidien, Éric Renard, patron du service endrocrinologie  du CHU de Montpellier, déclare :

"Le pancréas artificiel, c'est la Ferrari du diabète".

En effet, une fois appareillés, les patients n'ont plus besoin de leurs injections d'insuline quotidiennes ni de la mesure de la glycémie plusieurs fois par jour en se piquant le doigt. EN SAVOIR + >> 3 conseils pour prévenir le diabète grâce à votre alimentation Et Eric Renard de poursuivre :

"Quel que soit le profil des gens, leur histoire avec le diabète, leur mode de vie, leur culture, qu’ils soient diabétiques depuis longtemps ou qu’ils soient récemment malades, on a les mêmes résultats, avec une amélioration de la prise en charge. On a une pompe complètement autonome, avec un 'cerveau'".

Le chef de service pense d'ailleurs qu’à l'avenir, les appareils seront de plus en plus miniaturisés et donc de plus en plus efficace et de moins en moins contraignants.

"C'est le jour et la nuit" Une des patientes appareillée, âgée de 60 ans, témoigne devant nos confrères et se dit revivre depuis que le diabète lui est "tombé dessus", il y a vingt-cinq ans, puis l'a poussée en invalidité.

"Avec le pancréas artificiel, j'aurais pucontinuer à travailler", estime-t-elle. Un autre malade de 51 ans, diabétique depuis sa plus tendre enfance et participant au protocole, va également dans son sens :

"C'est le jour et la nuit", déclare celui qui a perdu un œil dans la maladie et qui a également été victime d'un AVC. "Je faisais des "hypo" que je ne sentais pas arriver, jusqu'à ce que je tombe. Je me surveillais toute la journée.

La nuit, ma femme prenait le relais. Tout ça a disparu", se félicite-t-il. Rappelons qu'en France, environ 2,5 millions de personnes vivent avec un diabète et 40.000 personnes sont équipées d'une pompe classique, de nombreux candidats potentiels pour bénéficier un pancréas artificiel.

Je le publie parce que je suis revoltee ! Mon ♥ se brise devant ces images signées de la main de l'homme ... Ce galgo a ete trouve dans cet etat hier... Il est en clinique... Prions pour qu'il vive..