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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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poulain couleur bai

Publié à 10:34 par fandeloup Tags : cheval fond
 poulain couleur bai

Ce poulain couleur bai possède en effet une marque blanche hors du commun, qui ressemble trait pour trait à la silhouette d’un autre cheval . Cette marque s’étend sur son épaule gauche, et se fond harmonieusement dans sa crinière.

bonne journée

Publié à 10:27 par fandeloup

sauver des animaux

Publié à 10:23 par fandeloup Tags : bonne animal animaux gratuit google chiens chats
sauver des animaux

Un numéro qui peut sauver des animaux

L’été étant malheureusement une saison propice aux abandons mais aussi aux fugues d’animaux, la SPA a mis en place un numéro vert d’assistance gratuit.

Un numéro vert d’assistance mis en place jusqu’à fin août. Campagne SPA Un numéro vert d’assistance mis en place jusqu’à fin août.

L’été n’est pas toujours une bonne période pour les animaux de compagnie. Non seulement la chaleur peut être source de désagrément pour eux, mais aussi hélas encore trop souvent des maîtres peu scrupuleux les abandonnent purement et simplement afin de s’économiser des frais de garde.

Fort heureusement, ce n’est pas encore trop le cas dans l’Aube. C’est ce qu’a pu constater Fabrice Roussel, responsable du refuge de la SPA de Menois :

« Pour l’instant, on n’a pas eu de pic d’abandon lié aux vacances. »

Mais à l’inverse, il peut également arriver que des maîtres, désireux de garder leur animal, l’aient emmené avec eux en vacances. Mais ce changement dans ses habitudes a pu l’affoler et parfois, l’animal se sauve et se perd.

Chaque année, en effet, 40000 animaux sont perdus ou abandonnés pendant l’été.

Que faire si l’on trouve ou si l’on perd un animal ?

Que faire si l’on est un passant qui trouve un animal perdu ou abandonné ou si l’on est un maître désespéré d’avoir perdu son compagnon ?

Pas toujours facile de garder son sang-froid ou de s’adresser à la bonne structure, surtout lorsqu’on est loin de son lieu d’habitation. Les réseaux sociaux ont depuis longtemps lancé plusieurs initiatives et la SPA vient de lancer, quant à elle, « Allo animal perdu ».

Un numéro vert (appel gratuit) accessible au 0 800 300 400 du lundi au samedi de 8h30 à 20h jusqu’au 31 août et dont l’objectif est d’aider maîtres et animaux perdus à se retrouver.

Une application gratuite pour Smartphone a également été lancée : Filalapat (disponible sur Apple store, Google play et Windows phone store). Mais si jamais les nouvelles technologies ne sont pas votre tasse de thé, le refuge de Menois sera toujours là pour vous renseigner.

Malheureusement même si peu d’abandons de confort ont eu lieu, ça ne veut pas forcément dire que le refuge soit « vide », au contraire.

Fabrice Roussel le confirme, de nombreux chats et chiens attendant toujours de trouver un foyer aimant.

Pratique Allo animal perdu : 0 800 300 400 (appel gratuit) Refuge de Menois : 03 25 81 17 83

La couleur de nos yeux

Publié à 10:09 par fandeloup Tags : vie femmes pensées
La couleur de nos yeux

La couleur de nos yeux en dit long sur notre santé et notre personnalité

La couleur des yeux a-t-elle une incidence sur notre manière de faire face à la douleur?

Pour les chercheurs de l’Université de Pittsburgh, la réponse est affirmative.

Ils ont étudié 58 femmes enceintes de près et ont remarqué que celles qui avaient les yeux clairs éprouvaient moins de douleur pendant l’accouchement.

Les femmes aux yeux clairs étaient également moins anxieuses, moins déprimées et avaient moins de pensées négatives que les autres après l’accouchement.

Les gènes qui se cachent derrière la couleur de nos yeux sont en fait multi-tâche. « Ils font plein d’autres choses dans le corps », explique le Dor Louhelainem qui a travaillé sur cette étude.

Autres découvertes, en vrac: ceux qui ont les yeux bruns ont besoin de moins d’alcool pour s’enivrer que ceux aux yeux clairs et sont du coup, moins susceptibles d’être alcooliques.

Les gens aux yeux foncés ont des réflexes plus rapides que leurs compatriotes aux yeux bleus et ils sont plus doués au frisbee ou au tennis.

En 1991, une étude réalisée par un psychologue à l’Université d’Edimbourg, allait dans le même sens. « Il semble que nos yeux détiennent des indices essentiels sur le fonctionnement du cerveau », indiquait-il alors.

D’autres informations encore?

Les personnes aux yeux clairs sont plus efficaces dans les activités qui les obligent à planifier et structurer leur temps: le blocus estudiantin par exemple ou le golf.

Ils sont aussi plus susceptibles de développer un diabète de type 1 et de subir une perte d’audition à un moment donné de leur vie.

Caitlyn la chienne pose avec de beaux pompiers

Publié à 09:30 par fandeloup Tags : article vie bonne belle heureux animal chien chiens animaux
Caitlyn la chienne  pose avec de beaux pompiers

Caitlyn la chienne violé et abusé par son propriétaire pose avec de beaux pompiers.. Pour la bonne cause!

Vous vous souvenez surrement de la petite Caitlyn, cette chien si impitoyablement abusé par son propriétaire qu’elle a été laissée avec des dommages permanents à son visage.

En route vers sa guérison, des gens merveilleux prennent soin d’elle chaque jour afin que sa vie soit celle d’un chien heureux .

Caitlyn se rétablie et va retrouver la santé grâce à une fondation qui apporte l’aide nécessaire a des chiens violé comme elle.

L’argent amassé va au Toby’s Fund qui a été lancé par Charleston Animal Society.

En 2015, le calendrier a réussi à rassembler plus de 250 000 $ qui sera utilisé pour la bonne cause et aider les animaux dans le besoin.

Avec de la chance, le calendrier 2016 sera encore plus envahissant et réussi avec le visage sublime de la belle Caitlyn!

Un chien qui reçoit une deuxième chance de vie !

les vacancières protestent

Publié à 09:03 par fandeloup Tags : femmes monde france photos paysage
les vacancières protestent

Pour empêcher le Roi d’Arabie de se poser en hélico à Golfe Juan, les vacancières protestent avec les seins nus

Vallauris – Ariana, Melinda, Jessica, Alba et Katya n’ont pas hésité une seule seconde à enlever le haut afin de protester, sous les fenêtres de la villa royale du Roi Salmane d’Arabie Saoudite, à Golfe Juan, afin d’empêcher le souverain de se poser sur son héliport privé, persuadées qu’elles étaient, que la seule vue de cinq paires de seins, plutôt jeunes et fermes, bronzés et déterminés, feraient déguerpir le Roi et son entourage et empêcherait tout autant le pilote de se concentrer sur l’atterrissage.

Elles ont presque failli avoir raison puisque l’hélicoptère royal a eu toutes les peines du monde à se stabiliser avant d’atterrir et il est maintenant presque certain que nos cinq valeureuses défenderesses des valeurs républicaines ont failli remporter la partie avec seulement dix tétons déterminés.

Depuis l’arrivée royale, les rideaux de la villa-palais sont fermés afin que le regard de son auguste hôte royal ne puisse être perturbé par ces beautés naturelles du paysage azuréen.

Le pilote de l’hélicoptère a même survolé nos cinq protestataires avant que la gendarmerie, la police, les douaniers, les gardes-côtes, les agents du littoral, les gardes-champêtres et même le garde-barrière de la voie ferrée à proximité ne viennent en nombre afin de procéder à leurs arrestations.

Mais bronzer seins nus n’étant pas interdit en France , la maréchaussée a dû se retirer sous les quolibets de la foule, non sans avoir pris plusieurs photos des objets du délits et pris quelques dimensions avec application, afin de nourrir le dossier d’enquête, ont-ils précisé.

La municipalité de Golfe Juan-Vallauris a prévu, dès ce dimanche, de modifier un arrêté municipal afin d’étendre une zone-charia au delà des limites de la plage privatisée par le roi et son entourage afin que nos cinq délinquantes ne puissent plus nuire et qu’elles enfin tomber sous le coup de la loi.

Ariana, Melinda, Jessica, Alba et Katya ont promis de revenir tous les jours jusqu’à ce que le roi soit parti afin de lui montrer que la France est une République et que non seulement les plages sont libres et ouvertes à tous.. et les femmes aussi, a ajouté Jessica avec un clin d’œil.

Elles ont même prévu d’enlever le bas si jamais leur mouvement de protestation n’était pas suivi d’effets et ont déjà lancé le hashtag #JeNePortePasMonMaillotAVallauris. Plusieurs associations féministes ont prévu de se joindre à leur action ce week-end et appellent à un grand feu de hauts de maillot sur la plage de la Mirandole pendant tout l’été.

respect

respect

Respecter tout être vivant, est-ce un devoir moral ?

« Respecter tout être vivant, est-ce un devoir moral? » C’était l’un des sujets de l’épreuve de philo du bac littéraire. L’AVF, particulièrement concernée par les questions d’éthique animale, vous présente un corrigé détaillé possible, préparé par Anaïs Bourgeois, agrégée de philosophie.

 

Introduction

Le respect pour l’être vivant qu’est l’homme semble aller de soi. Au nom d’une différence de nature entre les humains et les animaux, le respect serait réservé aux humains.

Cependant, l’indifférence à l’égard des animaux semble reculer. De nombreuses personnes se sentent de plus en plus concernées par la manière dont les animaux sont traités.

Cette prise de conscience semble liée à la prise en compte de la capacité à souffrir des animaux.

 

La sensibilité, commune aux humains et aux animaux, ne fonderait-elle pas un devoir moral envers eux tous ?

Au sein des êtres vivants, les êtres sensibles devraient être reconnus dans leur spécificité : identifier la souffrance comme critère moral impliquerait de distinguer les animaux des végétaux.

 

 

Les animaux ne doivent-ils pas être reconnus comme des individus et des sujets d’une vie (« tout être vivant »), à ce titre dignes de respect ?

La vie de chaque être sensible ne doit-elle pas être reconnue à valeur égale du fait même que tout être a un intérêt à ne pas souffrir ?

Vivre pour un être sensible, n’est-ce pas, par là même, revendiquer sa vie et donc le respect de cette vie unique ?

Si tel est le cas, ne nous faut-il pas conformer nos conduites à ce sentiment du respect en cessant de faire souffrir les animaux par leur exploitation ?

Ne serait-il pas souhaitable de laisser jouir les animaux de leur vie de façon gratuite sans les asservir à des fins humaines (alimentation, expérimentation, divertissement) ?

Le respect dû à tout être sensible ne serait-il pas l’occasion féconde et salvatrice pour sortir d’une relation utilitaire au monde ?

Au lieu d’être exploitée, la nature devrait être préservée. Puisque tous les êtres vivants (humains, animaux et végétaux) sont en relation, ne faudrait-il pas respecter toutes les formes de vie dans ce but de protection de la nature ?

Une prise de conscience écologique n’est-elle pas nécessaire pour laisser une planète viable aux générations futures ?

L’exigence morale ne se transforme-t-elle pas alors en responsabilité politique envers la nature pour produire des changements réels dans la société et les conduites individuelles ?

Les humains, en révélant le meilleur d’eux-mêmes grâce à cette éthique élargie, ne prouvent-ils pas leur valeur morale, ce qui forcerait le respect de tous ?

Seul l’être humain serait digne de respect. Pour Descartes, le vivant n’a pas à être respecté mais à être connu scientifiquement. Cela renvoie à ce qu’on appelle la théorie de l’animal-machine. Le vivant peut être expliqué selon les principes mécaniques de la physique. Le vivant n’est pas autre chose qu’un assemblage, certes très complexe, de parties (tuyaux, ressorts, pistons) en mouvement.

Le connaître scientifiquement, c’est étudier les lois de ce mouvement. La mort d’un être vivant (homme ou animal) est comparée à la panne définitive d’une montre ou d’un automate en raison de la défaillance d’une de ses parties.

Mais pour Descartes, l’homme n’est pas un simple vivant : il a une âme, pas seulement un corps. L’homme, en tant qu’être pensant, se distingue de tous les être vivants. L’homme serait donc supérieur à tous les autres vivants.

La science n’étant pas séparable de ses applications techniques, la connaissance du vivant conduit à légitimer l’utilisation des animaux aux services des fins humaines : en quoi un pur mécanisme pourrait-il être objet de respect ?

Il n’est pas nécessaire de réduire le vivant à un pur mécanisme pour évincer les animaux de la morale. Kant pense le vivant comme un organisme qui a la capacité de s’auto-organiser. La force motrice (principe de transmission du mouvement) ne peut suffire à expliquer le vivant.

C’est la force formatrice qui permet de comprendre les spécificités du vivant, à savoir la reproduction, la croissance, la régénération. Le vivant a une force interne qui lui permet de poursuivre ses propres fins de reproduction et de conservation.

Cette spécificité du vivant ne change rien sur le plan moral : Kant refuse le respect aux animaux. Seul l’homme a une dignité en tant que fin en soi.

Cette valeur intrinsèque fonde le respect qui nous interdit de considérer les hommes comme de simples moyens :

« Agis de façon que tu traites l’humanité, aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre, toujours en même temps comme une fin et jamais simplement comme un moyen », Fondements de la métaphysique des moeurs.

Chaque personne a une égale dignité en tant qu’homme, à savoir en tant qu’être raisonnable capable de se poser une fin morale : il ne faut pas s’oublier soi-même dans ce respect de l’humanité.

Ce respect étant absolu et inconditionnel, même un homme moralement mauvais doit être respecté en tant qu’homme. Pour Kant, il n’y a aucun problème à utiliser les animaux comme de simples moyens.

Un animal n’est pas plus digne de respect qu’une pomme de terre. L’élevage et l’agriculture nous donnent le droit de les exploiter car ils sont notre propriété :

« l’on peut dire des plantes (par exemple, des pommes de terre) et des animaux domestiques, dans la mesure où, du point de vue de leur abondance, ils constituent l’oeuvre de l’homme, qu’on est en droit de les utiliser, de les exploiter et de les consommer (de les faire abattre) », Métaphysique des moeurs.

Les animaux et les végétaux n’auraient pas à être distingués du point de vue de leur valeur morale. Kant admet tout de même qu’il ne faut pas maltraiter inutilement les animaux.

Par exemple, il condamne le fait de faire mourir d’épuisement les animaux au travail. Mais il ne les respecte par pour autant en reconnaissant leur valeur intrinsèque.

Il s’agit là seulement d’un devoir indirect envers l’humanité qui vise à ne pas exporter la cruauté envers les animaux dans nos rapports avec les humains. Les animaux, jugés inférieurs aux humains par nature, sont toujours subordonnés aux intérêts humains.

D’un point de vue moral, considérer le vivant comme une machine (Descartes) ou un organisme (Kant) ne change rien. L’animal n’est jamais jugé digne de respect.

Mais le respect exclusivement réservé aux humains n’est-il pas l’expression de la prétention humaine à se sentir supérieur au reste des vivants ?

La continuité entre les humains et les animaux ne doit-elle pas au contraire être pensée puisqu’ils ont une commune capacité à souffrir ?

Nous pourrions alors sortir d’une conception privative de l’animal, toujours pensé dans ce qu’il n’a pas par rapport à l’homme ?

D’ailleurs, le mot « animal » n’est-il pas lui-même porteur de ce préjugé ?

En effet, ce mot générique regroupe tous les animaux, indistinctement, par opposition à l’homme. Il nous empêche de les considérer comme des individualités propres qui ont intérêt à ne pas souffrir.

Les animaux doivent être reconnus comme des êtres sensibles et des sujets d’une vie à respecter. Si le respect est restreint aux vivants humains, c’est parce que le critère est choisi par l’homme et pour l’homme : c’est celui de la rationalité.

Bentham, représentant de la pensée utilitariste, nous propose de substituer la sensibilité à la rationalité :

« La question n’est pas « peuvent-ils raisonner ? », ni « peuvent-ils parler ? » mais « peuvent-ils souffrir ? » »,

 

Introduction aux principes de morale et de législation.

Au lieu de rechercher le propre de l’homme, nous avons une autre possibilité : penser la continuité entre les hommes et les animaux à partir de notre commune sensibilité. La capacité à éprouver de la souffrance et du plaisir fonde un devoir moral envers tous les êtres sensibles.

La souffrance étant toujours vécue par un être en particulier, elle nous conduit donc à penser chaque animal dans son individualité. Les animaux doivent donc être reconnus comme des membres à part entière de la communauté morale.

Soulignons d’ailleurs que ce respect accordé à la sensibilité des animaux serait également profitable à la manière dont nous traitons les hommes. En effet, Il n’y a pas d’étanchéité morale entre les êtres sensibles comme le remarque Marguerite Yourcenar :

« L’homme a peu de chances de cesser d’être un tortionnaire pour l’homme, tant qu’il continuera à apprendre sur l’animal son métier de bourreau. », Lettres à ses amis et quelques autres.

Respecter les êtres sensibles, c’est respecter à la fois les humains et les animaux. Ne pas respecter les uns conduit souvent à ne pas respecter les autres. Ceux qui sont sensibles à la souffrance animale sont également sensibles à la souffrance humaine.

Le documentaire Entrée du personnel de Manuela Frésil racontent les vies d’ouvriers dans un abattoir industriel, autrement dit une usine de mise à mort. La souffrance des animaux est ce qui frappe et choque en premier.

Mais les ouvriers, eux aussi, vivent un cauchemar. Comme tout travail à la chaîne, leur travail est déshumanisant. Mais par dessus le marché, ils sont confrontés à la souffrance des animaux. Pour faire le travail d’abattage, il n’y a pas d’autres solutions que de ne plus penser à cette souffrance des animaux et de tenter de s’y habituer en s’insensibilisant.

Mais ce n’est pas aussi simple. Dans sa note d’intention, Manuela Frésil précise « Souvent ils (les ouvriers) me disaient que la mort des bêtes ne leur faisait plus rien, qu’ils y étaient habitués. Mais je les entendais aussi parler de leurs cauchemars, des images qui revenaient après le travail, pendant leur sommeil, comme si la mort des bêtes les rattrapait… ».

Respecter tout être vivant, c’est donc reconnaître notre commune sensibilité avec les animaux et leur souffrance que nous ressentons dans notre chair.

Cette continuité établie entre les hommes et les animaux ne nous conduit-elle pas à distinguer la vie végétale de la vie animale, contrairement à Kant qui les rapprochait, empêchant ainsi d’accorder un statut moral aux animaux ?

En effet, les plantes et les animaux ont un rapport au monde très différent. Florence Burgat, dans Liberté et inquiétude de la vie animale, Editions Kimé, Paris, 2006, souligne la nécessité de penser la rupture entre la vie animale et la vie végétale : « Si le vivant produit une rupture ontologique avec l’inorganique, la vie animale constitue le moment d’une seconde rupture de même ordre avec le végétal »,

 Cette rupture est faite à partir de l’observation des différentes manifestations de la vie chez les végétaux et chez les animaux. Florence Burgat cite Hegel qui remarque que l’animal est agité par « un sentiment inquiet, anxieux, malheureux ». La plante, de par son immobilité, n’a pas le sentiment de soi.

L’animal, mobile, est toujours à distance des fins qu’il poursuit et qui peuvent lui échapper. Dans cette exploration active et risquée de son environnement, des émotions surgissent. Le sentiment de soi se révèle dans cette conquête perpétuelle pour maintenir l’intégrité de sa vie. Rien n’est donné à l’animal, il doit se débattre chaque instant avec son environnement plus ou moins hostile.

L’ardeur qu’un animal met à cette tâche témoigne de la force de l’attachement à sa vie. En ce sens, il ne peut qu’être reconnu comme le sujet d’une vie, la sienne, qu’il s’efforce de perpétuer. N’est-ce pas être insensible et même inhumain que de ne pas éprouver du respect pour les animaux qui, comme l’affirme Florence Burgat, « doivent en quelque sorte vouloir leur vie »  ?

Toute vie, trajectoire unique et fragile, mérite notre respect. La vie de chaque animal a une valeur car un animal n’est pas le simple représentant interchangeable d’une espèce mais un être unique qui ne demande qu’à vivre pleinement sa vie.

N’est-ce pas le moins que nous puissions faire que de le laisser vivre sa vie ?

Tirons les conséquences pratiques de nos analyses précédentes. Quoi de plus injuste que d’ôter la vie d’un animal puisque comme nous le rappelle Marguerite Yourcenar :

« L’animal ne possède rien, sauf sa vie, que si souvent, nous lui prenons » ? Chaque vie compte et a une valeur absolue puisqu’elle est tout pour un animal.

Dès lors, comment ne pas avoir envie de devenir végétarien puisqu’en ayant une alimentation carnée, nous nous octroyons le droit de tout prendre à un animal ?

Pour que le respect ne soit pas un vain mot et par souci de cohérence, ne faut-il pas s’opposer à toute exploitation animale ?

C’est ce que prône le véganisme. D’après Peter Singer, dans La libération animale, les intérêts de tous les êtres sensibles doivent être pris en compte de manière égale. L’appartenance à une espèce ne doit pas être un critère de discrimination morale.

Autrement dit, il s’agit de s’opposer au spécisme (terme forgé sur le modèle du racisme et du sexisme) qui consiste à privilégier les intérêts des membres de son espèce par rapports aux membres d’autres espèces.

Concernant les êtres sensibles, nous devons poser le principe de l’égale considération de leurs intérêts. Il serait arbitraire d’établir une préférence morale entre les hommes et les animaux.

Ne serait-il pas tout aussi arbitraire d’établir une préférence morale entre les espèces animales ?

En quoi un cochon ou une vache mériteraient-ils moins de respect qu’un chat ou un chien ?

Ce n’est pas parce que nous trouvons certains animaux « mignons » ou « gentils » ou qu’ils partagent nos vies que leurs vies ont plus de valeur d’un point de vue moral.

Les poissons, auxquels nous peinons à nous identifier mais dont la souffrance est indéniable, doivent aussi être intégrés à nos considérations morales.

Nos préférences, individuelles ou culturelles, ne doivent pas être des facteurs de discrimination morale. La notion de respect a le mérite de lutter contre ces discriminations morales en posant une exigence universelle, celle d’accorder par principe la même valeur morale à tout être sensible.

Le devoir moral se soucie des conséquences de nos actions sur les êtres sensibles. Respecter un être sensible, c’est respecter la valeur de sa vie individuelle.

N’est-ce pas l’occasion d’interroger de manière globale notre rapport à la nature et de ne plus la percevoir sous le prisme de l’utilité ?

Les végétaux étant nécessaires à l’équilibre biologique, ne devons-nous pas les intégrer à un respect général pour la vie ?

La vie dans sa globalité est une valeur à respecter qui engage une responsabilité à la fois morale et politique

Le respect à l’égard des êtres vivants ne doit-il pas être intégré à une responsabilité élargie envers la nature ?

Chaque être vivant est lié aux autres en ce qu’il appartient à la même nature ou au même univers pour Marguerite Yourcenar :

« Quand nous frappons un enfant ou quand nous l’affamons, quand nous l’élevons de telle sorte que sa pensée soit faussée ou qu’il perde son goût de la vie, nous commettons un crime envers l’univers qui s’exprime à travers lui. La même chose est vraie quand nous tuons inutilement un animal, ou quand, sans bonne raison, nous coupons un arbre.

Chaque fois, nous trahissons notre mission d’homme, qui serait d’organiser un univers un peu meilleur. », Les yeux ouverts, Entretiens avec Matthieu Galey. Les Bishnoïs, communauté indienne du nord-ouest de l’Inde se sont justement donnés pour mission de protéger les animaux et les arbres.

Ils soignent les animaux blessés. Ils les nourrissent en leur réservant une partie de leur récolte et les femmes allaitent même les gazelles orphelines lorsque celles-ci refusent le biberon. Les Bishnoïs ont également pour règle de « ne pas détruire les arbres verts ».

Leur engagement en faveur de la défense de la nature est si fort et total qu’ils sont prêts à perdre leur vie pour sauver un animal ou même un arbre. Leur histoire est marquée en 1730 par le sacrifice d’une femme Amrita Dévi.

Le maharadjah de Jodhpur avait ordonné de faire couper des arbres en prévision d’importants travaux. Amrita s’est interposée en enlaçant un arbre. Elle a été suivie par d’autres personnes. Au total, 363 personnes ont été massacrées pour avoir essayé de sauver les arbres. Les Bishnoïs sont également végétariens.

Le végétarisme est d’ailleurs justifié pour quiconque a développé une conscience écologique puisque l’élevage a des effets désastreux sur l’environnement (émission de gaz à effet de serre, déforestation, consommation excessive d’eau et pollution des nappes phréatiques). Le respect s’applique donc aux humains, aux animaux et aux végétaux.

Marguerite Yourcenar fait preuve d’optimisme en affirmant qu’il « ne sera jamais trop tard pour tenter de bien faire, tant qu’il y aura sur terre un arbre, une bête ou un homme. »

Mais n’ y a-t-il pas urgence à agir moralement en raison du pouvoir démesuré que l’homme a sur la nature par la technique ?

Hans Jonas, dans Le principe responsabilité, montre que la nature, y compris celle de l’homme, est devenue vulnérable en raison du pouvoir technique.

La réponse à cette menace de destruction de toute vie possible sur terre doit être éthique. Le respect de l’intégrité de la vie nous impose de repenser notre éthique. Celle-ci ne peut plus concerner seulement nos devoirs envers les hommes comme le pensait Kant.

Nous nous trouvons dans une situation inédite et dangereuse en raison de notre pouvoir démesuré sur la nature qui nous contraint à élargir notre responsabilité.

Notre responsabilité doit porter sur l’avenir et anticiper les conséquences de nos actions sur les générations futures. La nouvelle éthique est une « éthique du futur ».

Pour calculer ces conséquences, il est préférable d’imaginer le pire. Deux sentiments doivent nous guider dans l’élaboration de cette nouvelle éthique : la peur du pire et le respect pour la vie.

C’est la possibilité d’une vie future qui doit être respectée. Hans Jonas précise qu’il « est manifeste que le nouvel impératif s’adresse beaucoup plus à la politique publique qu’à la conduite privée », p 41, Champs, Flammarion.

Cette précision est importante : la question du respect de la vie est une question d’intérêt général qui nous concerne tous et que la politique doit prendre en charge.

 

CONCLUSION

Ainsi, il est indéfendable moralement de restreindre le respect aux seuls vivants que sont les humains. Puisque la vie de chaque être sensible a une valeur, la morale doit être inclusive. Le respect peut même être élargi de façon à porter sur toutes les formes de vies (y compris les végétaux) puisqu’il en va de la possibilité d’une vie future.

Nous sommes responsables de la nature et des êtres vivants. L’exigence morale nous impose une conversion du regard : la nature et les êtres vivants ne doivent plus être considérés comme un stock de ressources à exploiter au maximum. Cette conversion du regard doit être reprise au niveau juridique et politique pour que le respect des êtres vivants puisse se traduire en actes et être appliqué par tous.

Le Code civil (article 515-14) a fait une avancée symbolique : depuis janvier 2015, l’animal est enfin reconnu comme « un être vivant doué de sensibilité » et distingué des choses. Cette reconnaissance symbolique doit maintenant être suivie d’effets sur la vie des animaux qui vivent bien trop souvent l’enfer.

Ces souffrances et ces morts sont évitables : il suffit de le décider.

N’est-il pas scandaleux de ne pas le faire alors que tant de vies pourraient être sauvées ?

L’attachement d’un animal à sa vie ne doit-il pas nous tenir en respect et nous imposer de l’épargner ?

les femmes du monde entier sont confrontées

les femmes du monde entier sont confrontées

Les problèmes auxquels, pendant leurs règles, les femmes du monde entier sont confrontées et comment leur simplifier la vie

- Les habitantes des régions déshéritées redoutent la période des règles, qui fait pourtant partie du cycle de la santé féminin. En raison d’un manque d’accès aux protections hygiéniques, les jeunes filles sont souvent obligées de rater l’école et les femmes à faible revenu sont davantage sujettes aux infections et à toutes sortes de désagréments.

Dans les régions où le corps des femmes inspire la méfiance, la stigmatisation sociale et les rumeurs les placent au ban de leur communauté, ce qui limite leurs choix professionnels et leurs interactions, avec des conséquences incalculables sur leur bien-être physique, mental et socioéconomique.

Ce problème a été évoqué lors de la dernière Journée internationale d’hygiène menstruelle, mais les militants continuent à lutter contre les tabous dans le monde entier, et à en finir avec les mythes nocifs sur les règles. Voici quelques exemples d’injustices auxquelles les femmes du monde entier sont confrontées, et ce qu’elles font pour y remédier.

 

1.Dans de nombreux pays, les jeunes filles utilisent des bouts de matelas ou des feuillages en guise de tampon, ce qui favorise les infections.

A 0,55 € l’unité environ, un paquet de serviettes hygiéniques, même bas de gamme, est bien trop cher pour une jeune Kenyane, selon Project Humanity.

Résultat : les filles utilisent des torchons, des feuilles, du papier journal, des bouts de matelas ou même de la boue pour se protéger pendant leurs règles. Ces solutions de fortune sont non seulement inconfortables et inefficaces mais également problématiques au niveau hygiénique.

Pour faire en sorte que les jeunes filles disposent des produits sanitaires dont elles ont besoin, et que leurs règles ne les obligent pas à rater l’école, Femme International distribue des kits en Afrique de l’Est. Chacun contient une coupe menstruelle ou des tampons réutilisables, un bol pour laver la coupe, une petite serviette pour s’essuyer, un savon et un petit miroir.

 

2.Dans certaines régions du Japon, les femmes n’ont pas le droit d’exercer des métiers traditionnellement masculins comme celui de chef sushi parce que le cycle menstruel entraîne un “dérèglement” Vous avez plus de chance de trouver le nom d’une espèce de thon rouge en voie de disparition sur un menu que celui d’une chef sushi.

En 2011, Yoshikazu Ono, le fils d’un chef sushi japonais très connu, expliquait au Wall Street Journal que les femmes étaient traditionnellement exclues de la profession parce qu’elles ont leurs règles

“Un vrai chef sushi doit avoir des papilles gustatives fiables, or les règles introduisent un dérèglement gustatif chez les femmes. C’est la raison pour laquelle elles ne peuvent pas faire ce métier”, croyait savoir M. Ono.

Le seul dérèglement quantifiable étant la manière dont on traite les candidates à cette fonction, les Japonaises et leurs consœurs étrangères se démènent pour se faire une place dans cet univers traditionnellement masculin.

Votée en 1999, une loi imposant la non-discrimination dans les pratiques d’embauche, qui supprimait aussi l’interdiction faite aux femmes de travailler après 22 h, a permis d’améliorer l’égalité des chances au Japon, indique le New York Times.

Afin de susciter des vocations, un homme d’affaires a ouvert il y a quatre ans un restaurant de sushis qui n’emploie que des femmes, ajoute le Wall Street Journal.

 

3. Dans certaines régions du Népal, les femmes qui ont leurs règles doivent rester cloîtrées menstruation Bien qu’elle ait été abolie en 2005, la tradition chaupadi, qui veut que les femmes qui ont leurs règles soient cloîtrées pendant une semaine, persiste dans les villages ruraux de l’ouest du pays, d’après Women eNews.

On demande généralement à ces femmes d’aller vivre dans une cabane pendant qu’elles sont indisposées. Elles n’y sont pas toujours à l’abri des éléments , et de maladies potentiellement mortelles, et n’ont quasiment aucun contact avec l’extérieur.

Déterminée à mettre un terme à ces pratiques, Rupa Chand Shah donne des cours de sensibilisation et encourage les jeunes filles à y assister même quand elles ont leurs règles. Elle espère que son travail permettra d’abolir Chaupadi, selon Reuters.

 

4. Pour les SDF américaines, les règles sont une des pires épreuves de leur existence L’immense majorité des femmes en ont besoin jusqu’à la ménopause, mais les tampons et les serviettes hygiéniques sont rarement disponibles dans les centres d’accueil pour femmes, indiquait Al Jazeera en début d’année.

Ces produits sont chers et les donateurs pensent rarement à en amener. Le problème est accentué par le fait que les femmes sans domicile fixe ne peuvent pas prendre régulièrement des douches, ce qui augmente vraiment le risque d’infections pendant les règles.

Pour les aider, Distributing Dignity est l’une des nombreuses organisations à but non lucratif qui s’efforcent de distribuer des produits d’hygiène intime aux centres d’accueils de l’Etat de New York, du New Jersey et de Pennsylvanie. Pour plus d’informations sur Distributing Dignity et la façon dont vous pouvez contribuer, cliquez ici. (Un équivalent français est la Fondation Lecordier)

 

5.Les règles doivent rester « secrètes » au Malawi menstruation

La honte qui entoure les règles est si répandue au Malawi que les parents n’en parlent même pas à leurs enfants, selon l’Unicef. Les filles tirent les rares informations dont elles disposent de leurs tantes, qui leur apprennent à fabriquer des serviettes hygiéniques avec des vieux vêtements et leur interdisent de parler aux garçons quand elles ont leurs règles.

Le programme de gestion de l’hygiène menstruelle de l’Unicef vise à briser les tabous et à fournir aux jeunes filles l’éducation et les ressources dont elles ont besoin pour vivre de manière confortable et sans encombre pendant leurs règles. Les membres de ce programme construisent des équipements scolaires destinés à donner aux filles et aux garçons un peu d’intimité dans leur hygiène, distribuent des serviettes hygiéniques aux adolescentes et encouragent les mères à parler des règles à leurs filles.

 

6. En Bolivie, les filles ne doivent pas jeter leurs serviettes à la poubelle. On leur fait même croire que celles-ci provoquent parfois des cancers. L’humiliation liée aux règles est encore très vive en Bolivie.

Par conséquent, tout le monde (y compris leurs professeurs) incite les jeunes filles à ne pas jeter leurs serviettes dans la poubelle commune. Selon des croyances ancestrales, jeter une serviette usagée dans la poubelle peut entraîner des maladies et même des cancers, selon l’Unicef.

Même quand un réceptacle est spécialement prévu à cet effet, les filles gardent souvent leur serviette dans leur sac pendant les cours et attendent d’être rentrées chez elles pour s’en débarrasser.

Après avoir observé les pratiques de dix établissements scolaires à travers le pays, l’Unicef a identifié les obstacles principaux auxquels sont confrontées les jeunes filles, et notamment le sentiment de honte ou l’accès limité à des toilettes individuelles.

L’organisation a mis en place un plan d’action qui vise à améliorer sensiblement l’environnement scolaire de ces adolescentes, avec des cours approfondis sur les règles, un accès simplifié aux produits absorbants, et de meilleures toilettes.

 

7. Dans certaines régions de l’Inde, on dit aux femmes et aux jeunes filles que leurs règles peuvent “contaminer” les aliments menstruation Le folklore a persuadé certaines Indiennes que le fait de toucher un cornichon pendant leurs règles le rendait automatiquement impropre à la consommation, à en croire un éditorial paru dans le New York Times.

Mais cette interdiction de toucher certains aliments ne se limite pas aux cucurbitacées. Les femmes et jeunes filles ne doivent pas non plus cuisiner quoi que ce soit, étant donné qu’elles peuvent “contaminer” la nourriture. Pour rétablir la vérité chez cette frange de la population, Menstrupedia tente de dissiper les mythes nocifs pour la santé des femmes par le biais de contenus multimédia interactifs.

 

8. En Afghanistan, on dit aux femmes qu’elles deviendront stériles si elles prennent des douches pendant leurs règles, ce qui a de lourdes conséquences sur leur estime de soi Selon une idée fausse très répandue en Afghanistan, le fait de se laver les parties génitales pendant les règles est responsable du “gazag” (la stérilité), d’après Afghan Zaria.

Afin d’intervenir en amont, et d’apprendre les règles d’hygiène de base aux jeunes filles, le programme WASH de l’Unicef comprend l’installation d’équipements hygiéniques et l’apprentissage de bonnes pratiques liées aux règles dans les écoles du pays.

 

9.Près de la moitié des écolières iraniennes pensent que les règles sont une maladie Les règles sont tellement stigmatisées et entourées de tant de désinformation en Iran que 48% des jeunes filles pensent qu’il s’agit d’une maladie, selon une étude de l’Unicef.

Ces idées reçues ont la vie dure mais des initiatives se sont avérées efficaces. Selon une étude publiée par le Centre américain de biotechnologie, les écolières iraniennes suivent avec assiduité les cours sur les règles qui leur sont proposés dans certains établissements, et 61,6% commencent à se laver quand elles ont leurs règles.

bonne nuit

Publié à 20:06 par fandeloup

chine

Publié à 19:52 par fandeloup
chine

La Chine, grande puissance économique, pays le plus peuplé sur Terre mais aussi un pays avec des faits assez insolites inscrits dans la culture chinoise. Une chose est sûre, vous ne verrez plus les Chinois de la même façon ! L'expression "Ils sont fous ces Chinois va prendre tous son sens".