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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Un Turc condamné à 3 ans de prison ferme pour avoir tué un chat
En février dernier, un jeune Turc de 21 ans publiait fièrement sur Youtube dans laquelle on le voyait torturer puis finalement tuer un chat à coups de poings et de couteau.
Une première en Turquie Face à l'indignation provoquée par cet acte si cruel, la justice turque a décidé de montrer l'exemple.
Le jeune homme originaire de la ville d'Eskisehir, au centre-ouest du pays, a écopé de trois ans de prison ferme.
C'est la première fois qu'une telle sanction est prononcée dans le cadre d'une affaire de maltraitance animale, rapporte le quotidien Hürriyet.
Le chat appartenait aux propriétaires d'un café, le Cafe de Cat, qui faisaient partie des plaignants aux côtés de l'association de protection animale Platform for Justice for Animals.
"Je reconnais ma culpabilité. Je regrette ce qui est arrivé. Je n'ai pas toujours été ce type qui tue des animaux" a affirmé le jeune homme, assurant de souffrir d'aucun problème psychologique.
Il aurait l'intention de faire appel du jugement.
Une législation plus sévère Alors que ses grandes villes, comme Istanbul, sont peuplées de nombreux animaux errants, la Turquie a durci sa législation contre la cruauté envers les animaux ces dernières années. Mustafa Caki, l'avocat de Platform for Justice for Animals, a salué cette décision.
"Pour déterminer cette peine, la cour a fait preuve de sensibilité et montré que les animaux n'ont pas seulement une valeur économique" a-t-il déclaré.
Chirurgie de l'obésité: «Il faut une prise en charge psychologique du patient pour que l'opération soit efficace»
C’est l’un des sujets de préoccupation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui prédit une épidémie d’obésité en Europe d’ici à 2030.
En France, 6,5 millions de personnes sont considérées comme obèses, avec à la clé d’importants risques de comorbidités : problèmes cardiovasculaires, diabète, hypertension, apnées du sommeil ou encore problèmes articulaires.
Pour nombre de personnes touchées par l’obésité, la chirurgie bariatrique semble être la solution. A l’occasion ce samedi de la journée européenne de l’obésité, 20 Minutes fait le point sur cette procédure qui permet une perte rapide et massive de poids.
Des interventions efficaces, mais lourdes
La chirurgie bariatrique consiste à réduire le volume de l’estomac et s’adresse uniquement aux personnes en important surpoids. « Ce sont des interventions efficaces, mais lourdes », indique le Dr Patrick Bergevin, chirurgien et membre du think tank ObésitéS.
L’anneau gastrique, qui a connu un très fort engouement, permet de bloquer l’appétit au moyen d’une bague placée sur la partie haute de l’estomac.
« C’est la technique qui peut sembler la plus anodine mais en pratique, elle est fréquemment mal supportée par les patients, d’autant qu’elle suppose une grande discipline et un suivi très rigoureux et peut se solder par le retrait de l’anneau. Donc par le retour des kilos », avertit le chirurgien.
« Les autres techniques, le Bypass et la Sleeve, consistent à retirer définitivement une partie de l’estomac. La perte est de poids après ces deux types d’opérations est fulgurante, ce qui les rend très attractives auprès des candidats à la chirurgie bariatrique, qui sont des femmes dans 80 % des cas. Souvent jeunes et mères de famille, précise Patrick Bergevin. Or cela reste une intervention chirurgicale, avec les risques qu’elle comporte. »
Traiter les causes de l’obésité
La chirurgie de l’obésité permet de perdre rapidement plusieurs dizaines de kilos. Pour autant, échecs et récidives et réopérations sont parfois au rendez-vous.
En cause : le manque d’accompagnement des patients, qui peuvent dans certains cas reprendre une partie du poids perdu.
« Subir une opération ne suffit pas. Une prise en charge psychologique et nutritionnelle en amont de l’opération devrait être instaurée, tout comme un suivi rigoureux », recommande le chirurgien, qui organise des réunions d’information auxquelles ses futurs patients assistent.
L’occasion de rencontrer d’anciens opérés et de mieux appréhender ce qui les attend.
« La chirurgie bariatrique est espérée comme une solution miracle par les personnes souffrant d’obésité, qui ont souvent essayé tous les régimes possibles et imaginables sans pour autant réussir à perdre du poids », décrypte Catherine Grangeard, psychanalyste et auteur de Comprendre l’obésité (Albin Michel).
« La chirurgie est un outil, pour traiter le symptôme qu’est la surcharge pondérale. Mais pour être durablement efficace, il faut traiter les causes de l’obésité, qui le plus souvent sont d’ordre psychologique », poursuit-elle.
« Les patients n’ont pas toujours conscience de ces causes. Violences sexuelles, phénomène d’identification lorsqu’on a grandi entouré de personnes obèses et diktat de la minceur peuvent déclencher des désordres alimentaires qui mènent à l’obésité », explique la psychanalyste.
« Or, si la cause des pulsions alimentaires n’est pas traitée, le patient opéré s’expose à une reprise de poids », renchérit le Dr Patrick Bergeron. A ce jour, plus de 600 millions de personnes à travers le monde sont touchées par l’obésité.
La belle histoire de Ray le chat aveugle et son meilleur ami Newton devenu ses yeux
Il est tout bonnement impossible de tenter de séparer ces deux-là : Ray et Newton, deux chats unis par un lien très particulier, doivent être adoptés ensemble.
C'est dans un refuge de la Humane Society, dans la province d'Ontario, au Canada, que les deux chats se sont rencontrés, pour ne plus se quitter.
Lorsque Ray est arrivé, il était un jeune chaton noir et blanc souffrant d'un grave infection et d'une malformation congénitale oculaires. Les vétérinaires du refuge ont dû se résigner à lui ôter ses deux yeux. "Ils forment une paire absolument parfaite"
Au même moment, Newton était trouvé errant dans les rues de Kingston. Le personnel du refuge a eu l'excellente idée de confier les deux chats à une famille d'accueil, espérant que Newton aiderait Ray à surmonter ses peurs et traumatismes.
Les bénévoles n'imaginaient pas que les deux félins deviendraient si proches, et surtout si rapidement.
"Ils passent toutes leurs journées ensemble, ils jouent ensemble, ils se toilettent l'un l'autre, ils forment une paire absolument parfaite" affirme Christie Haaima, en charge du bien-être des animaux à la Kingston Humane Society.
"Ray, avec ses besoins spéciaux, apprécie vraiment d'avoir ce compagnon à ses côtés. Je pense qu'avoir Newton près de lui le calme. "Si Newton va bien, alors Ray sait que tout va bien".
Prêts pour une nouvelle vie à deux Aujourd'hui de retour au refuge, Ray et Newton partagent la même cage. Ils sont prêts pour l'adoption et c'est bien sûr ensemble qu'ils attendent leur future famille.
Sur la page Facebook du refuge, le personnel raconte comment Newton a appris à Ray à accorder sa confiance aux humains, comment il l'a guidé dans l'environnement du refuge et de la famille d'accueil qui s'est occupée d'eux.
"Newton lui a appris à déambuler librement et en toute confiance dans cette maison, sans craindre pour sa sécurité. Ray aime son frère nourricier, et il bénéficie également de la présence des autres chats".
Christie Haaima affirme que plusieurs membres du personnel vivent avec des animaux ayant des besoins spéciaux et qu'il s'agit d'une expérience très enrichissante. Elle espère trouver très vite une famille amoureuse des animaux qui saura prendre soin de Ray et de son protecteur.
Épidémie de médicaments retirés d'urgence
Selon plusieurs experts, les problèmes de qualité ont bondi depuis que les sociétés pharmaceutiques fabriquent leurs médicaments à moindre coût, dans des pays en voie de développement, comme l'Inde.
Un approvisionnement plus sûr des médicaments réclamé par les pharmaciens
La Presse Le nombre de médicaments retirés de toute urgence du marché canadien a quadruplé en huit ans, selon des données obtenues par
La Presse en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. À tel point qu'un rappel urgent - fait pour éviter de graves conséquences, voire la mort de patients - survient maintenant chaque semaine, en moyenne.
Mais le mystère plane au sujet du nombre d'inspecteurs à l'oeuvre. Le nombre de médicaments retirés de toute urgence... (
Et si vos somnifères, vos anxiolytiques ou vos comprimés antidouleur étaient plus concentrés qu'ils ne le devraient, au point de pouvoir provoquer un arrêt cardiaque ?
Et si, en croyant prendre votre antibiotique, vous avaliez en fait un puissant sédatif ?
Et si votre flacon d'antidépresseurs contenait un antibiotique auquel certaines personnes sont mortellement allergiques ?
Parce qu'ils risquaient d'entraîner ces « conséquences indésirables graves pour la santé, voire la mort », tous ces médicaments ont dû être retirés de toute urgence du marché canadien au cours des dernières années.
Le nombre de cas du genre a même quadruplé, selon des données obtenues par La Presse en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. En 2013, les rappels de médicaments urgents, dits de type I, se sont grosso modo produits au moins une fois par semaine, contre moins d'une fois par mois en 2006.
Dans l'intervalle, le nombre total de médicaments retirés de la circulation - sans être chaque fois ultra-risqués - a doublé. Tout comme les « incidents » relatifs à des médicaments soupçonnés d'être défectueux ou dangereux.
Des problèmes sont maintenant rapportés deux ou trois fois par jour au ministère fédéral de la Santé (par ses propres inspecteurs, des professionnels de la santé, les fabricants eux-mêmes ou le public). «Préoccupant» « Avant, les rappels de type I étaient rarissimes.
Les professionnels de la santé sentent très bien la hausse. C'est préoccupant », affirme Jean-François Bussières, président du comité des pharmaciens du plus grand groupe d'achat de la province, Sigmasanté.
Les retraits visent souvent des médicaments en vente libre ou très souvent prescrits. Mais les remèdes qui servent à traiter des maladies graves ne sont pas épargnés.
En 2009, un solvant utilisé en chimiothérapie (la carmustine) était contaminé par des bactéries pouvant causer des septicémies et des méningites - ce qui aurait pu tuer des cancéreux au système immunitaire affaibli.
Trois ans plus tard, des fioles trop remplies du même produit auraient pu endommager les poumons, les reins ou le foie des malades. Jusqu'ici, la vigilance des professionnels a toujours permis d'éviter le pire.
En préparant un médicament pour un patient ou pour un médecin, les pharmaciens peuvent repérer à temps la présence éventuelle de particules (vitre, plastique, etc.) et sonner l'alarme, souligne Jean-François Bussières, qui est aussi chef du département de pharmacie à l'hôpital pour enfants Sainte-Justine.
Et en cas de surdoses ou de réactions allergiques - dues à la présence cachée du mauvais médicament - , « si ça se passe à l'hôpital, on va pouvoir réagir », dit-il.
Santé Canada est enfin alertée lorsqu'un médicament se révèle soudain inefficace (un possible indice de piètre qualité). Souvent, par les fabricants eux-mêmes, qui repèrent certains problèmes lors des tests de stabilité requis par la loi.
La course des prix
Mais pourquoi cette hausse fulgurante ? Selon plusieurs experts, les problèmes de qualité ont bondi depuis que les sociétés pharmaceutiques fabriquent leurs médicaments à moindre coût, dans des pays en voie de développement - comme l'Inde ou la Chine - , où elles reçoivent très rarement la visite d'inspecteurs.
Aujourd'hui, 25 % des usines d'où proviennent les médicaments importés ici sont situées dans des pays avec lesquels Santé Canada n'a aucune entente de reconnaissance mutuelle, ni même de collaboration, s'est inquiété l'automne dernier un comité sénatorial.
Autre explication possible : « Santé Canada a peut-être resserré les règles et les applique peut-être plus strictement », avance M. Bussières. Aux États-Unis, la Food and Drug Administration l'a fait et multiplie de façon encore plus spectaculaire les rappels de médicaments.
(Ceux-ci n'y ont pas simplement doublé, mais plutôt décuplé, pour atteindre 1225 en 2013.)
Submergés « Il y a tellement de rappels qu'on peut se demander comment les professionnels de la santé font pour absorber tout ça. Quand je les interroge au sujet des alertes, dans le cadre de mon travail de chercheur, ils en ont rarement eu connaissance », s'inquiète Alan Cassels, spécialiste de la politique des médicaments à l'Université de Victoria et auteur de Selling Sickness.
« À la longue, cela pourrait devenir un peu ingérable », confirme Jean-François Bussières, puisque les pharmaciens sont déjà ébranlés par des pénuries de plus en plus fréquentes.
« Quand on alerte Santé Canada au sujet d'un problème, on crée des ruptures presque instantanément. Il faut s'assurer que c'est bien la fabrication du médicament qui est en cause, parce que si on n'a plus rien pour soigner les patients, c'est parfois pire encore. »
« Tous les problèmes de qualité n'ont pas la même gravité. On reçoit aussi des avis pour une simple lettre manquante sur une étiquette. » Dans certains cas, l'industrie et Santé Canada ont par contre été bien trop lents.
Apotex, de Toronto, a mis 15 jours à aviser le Ministère que ses plaquettes de contraceptif Alysena 2 contenaient un placebo de trop. Santé Canada a attendu trois jours de plus pour alerter la population, au retour du long week-end de Pâques 2014.
Résultat : au moins une cinquantaine de grossesses involontaires, selon deux recours collectifs intentés en Ontario et en Alberta. Une division de Johnson & Johnson a pour sa part sciemment laissé sur le marché des médicaments pour enfants contenant des particules métalliques, et d'autres qui moisissaient après avoir été contaminés par une substance servant à traiter le bois.
En mars, sa première faute lui a valu une amende criminelle de 25 millions. Un système «robuste» « Les médicaments et les vaccins sauvent des vies », a commenté par courriel le porte-parole de l'association
Les Compagnies de recherche pharmaceutique du Canada. Et le Canada possède l'un des systèmes les plus robustes au monde pour l'évaluation et l'approbation de nouveaux produits pharmaceutiques et pour les contrôles des bonnes pratiques de fabrication. » L'association canadienne du médicament générique a pour sa part refusé d'accorder une entrevue sur le sujet.
- Avec la collaboration de William Leclerc, La Presse Un manque de surveillance «alarmant» Il faut resserrer la surveillance des médicaments, car les risques actuellement encourus par les Canadiens sont «alarmants».
C'est la conclusion d'un comité permanent du Sénat, qui a convoqué des témoins pendant trois ans sous la direction du conservateur Kelvin Ogilvie, un scientifique de carrière.
«Le Comité s'inquiète vivement des problèmes soulevés sur des sujets de première importance comme la qualité et la sécurité des médicaments», a-t-il indiqué lors du dépôt de son rapport final, l'automne dernier.
À son avis, le ministère fédéral de la Santé «ne dispose pas des moyens nécessaires pour sécuriser la chaîne d'approvisionnement de façon à protéger les Canadiens».
Sa grande recommandation: augmenter le «nombre d'inspections dans les laboratoires situés dans les pays où le système de réglementation n'est pas équivalent à celui du Canada».
Et exiger que les inspecteurs se rendent sur place plutôt que de se contenter de consulter des dossiers à distance, comme cela se fait actuellement dans l'immense majorité des cas.
Le comité voudrait aussi que le Ministère «s'assure que tous les lots de produits pharmaceutiques importés sont soumis à des tests». Il veut enfin que Santé Canada rende publics les résultats des inspections, y compris tout problème de non-conformité, même décelé par un organisme étranger.
Blâmé à répétition pour son manque de transparence, le Ministère en avait mis certains en ligne l'automne dernier. Mais la semaine dernière, ils avaient disparu du site.
Pas plus d'inspections
Des données obtenues par La Presse révèlent que le nombre d'inspecteurs a augmenté de 71% en 10 ans, mais que ceux-ci ne réalisent pas plus d'inspections au total.
En 2013-2014, chaque inspecteur en a effectué 7,3 en moyenne, contre 12,6 en 2004-2005. «Avec le rehaussement des exigences, peut-être que les inspections prennent plus de temps, avance Jean-François Bussières, président du comité des pharmaciens du plus grand groupe d'achat de la province, Sigmasanté.
Certaines peuvent prendre des mois.» Selon une source de l'intérieur, Santé Canada aurait pourtant sabré le nombre d'inspecteurs de 20 à 30% l'an dernier.
«On accumule de plus en plus de retard. Alors les inspections chez les fabricants qu'on croit le moins à risque sont remises de plusieurs mois. Mais un risque, ça ne se mesure pas si facilement que ça», assure cette source, qui veut garder l'anonymat pour ne pas perdre son emploi.
Parce qu'ils sont jugés moins risqués, justement, les médicaments en vente libre sont traités presque sur le même pied que les produits de santé naturels par la même direction, depuis environ un an.
«Mais au jour le jour, affirme notre source, les fabricants de médicaments en vente libre se sont souvent révélés moins bons que les fabricants de médicaments sous ordonnance. Ce n'est pas une bonne nouvelle pour le public.» Sept mois après avoir été interrogé par La Presse à ce sujet, le Ministère n'a toujours pas répondu (voir texte suivant).
- Avec la collaboration de William Leclerc La loi du silence Combien d'inspecteurs compte Santé Canada?
Et combien d'inspections sont réalisées annuellement dans les usines de médicaments?
Le ministère fédéral a refusé de répondre à cette question toute simple. À la fin du mois de septembre, La Presse a déposé une demande d'accès à l'information. Deux mois plus tard, le ministère a écrit qu'y répondre nécessiterait six mois additionnels, et peut-être davantage, «afin de consulter un tiers partageant des intérêts dans ce dossier». «C'est une attitude effroyable!
Cela donne l'impression qu'ils ont des choses à cacher et cela sape la confiance dans le système», dénonce Alan Cassels, chercheur sur la politique des médicaments à l'Université de Victoria.
À force d'insister, La Presse vient d'obtenir des statistiques fournies - il y a déjà cinq mois - à la députée néo-démocrate de Vancouver-Est, Libby Davies. Mais ces données ne couvrent pas l'année 2014-2015, durant laquelle Santé Canada aurait sabré le nombre d'inspecteurs. Défier les sénateurs Même les sénateurs, qui ont enquêté pendant trois ans sur les problèmes liés aux médicaments d'ordonnance, peinent à avoir l'heure juste.
«Le Ministère a échoué, sur certains sujets, à fournir un témoignage fiable», a dénoncé, dans le Huffington Post, le comité permanent des affaires sociales, des sciences et de la technologie, après le dépôt de son rapport final. Lors des audiences, les dirigeants de Santé Canada n'ont par exemple pas dit où sont fabriqués 46% des quelque 16 000 médicaments dont la vente est autorisée au Canada.
«Il est impossible de définir les problèmes et de trouver des solutions sans l'information et les statistiques appropriées. Il en va ainsi pour presque tous les problèmes relevés dans le rapport, a écrit le président du comité, Kelvin Ogilvie, scientifique de formation. Il est urgent de corriger la situation dans les plus brefs délais.»
Russell, un chat victime d'un incendie devenu un ange gardien pour les autres animaux
HÉROS
Pendant plus d'un an, le chat Russell a été un patient de l'Animal Emergency Hospital and Urgent Care Clinic, un établissement vétérinaire situé à Raleigh en Californie.
Le pauvre matou avait été découvert dans les décombres de l'incendie qui a ravagé sa maison.
Gravement brûlé, il était dans un tel état que le personnel de la clinique nourrissait peu d'espoir de le voir survivre.
"Il est incroyablement attachant"
Mais Russell est un battant, et grâce à son courage allié aux soins prodigués par les médecins, il a peu à peu repris du poil de la bête. S'il gardera à jamais les séquelles de l'incendie et doit encore être très attentivement surveillé par l'équipe médicale, il va bien mieux aujourd'hui. Si bien qu'il semble s'être confié pour mission de venir en aide aux autres animaux de la clinique.
"Il est incroyablement attachant. Il veut rencontrer tous nos patients. Il veut juste être avec eux" raconte au site The Dodo Alan Wilford, l'un des membres du personnel de la clinique.
Un étrange talent "Je ne sais pas s'il peut sentir que les autres animaux souffrent, mais il semble avoir une sorte de talent étrange pour se connecter avec les patients, même lorsque vous ne penseriez vraiment pas qu'ils se lieraient".
Et d'ajouter que si le personnel n'insistait pas régulièrement pour qu'il aille se reposer, Russell passerait ses journées entières à errer entre les salles d'examen pour rendre visite aux autres animaux.
Le matou s'est ainsi lié d'amitié avec nombre de chats et de chiens, mais aussi avec un faon, la petite Darla récemment arrivée à la clinique et avec laquelle il partage son lit. Un soutien précieux
"Je pense qu'il aide les autres animaux à se sentir à l'aise. Je suis sûr qu'il contribue à soulager leur stress" affirme Alan Wilford.
Et d'ajouter :
"La plupart des chats sont indépendants et se tiennent à l'écart, mais lui aime être avec les autres animaux. Et ce n'est pas seulement pour lui qu'il le fait. Il aime vraiment tenir compagnie aux autres".
La touchante histoire de Russell, devenu la mascotte de la clinique californienne et presque un membre du personnel tant son aide est précieuse, n'est pas sans nous rappeler celle de Radamenes, ce chat miraculé qui dans un refuge de Pologne semble s'être confié pour mission de soutenir les autres animaux durant leur convalescence, surtout ceux ayant subi de lourdes interventions.
En Inde, un lac est si pollué qu'il a pris feu !
Si partout dans le monde, en matière de pollution, on ne peut pas dire qu'"il y ait le feu lac", en Inde, en revanche, la célèbre citation a véritablement un sens.
Vendredi soir dernier, à Bangalore, la mousse toxique qui recouvre le lac de Bellandur Varthur depuis des années, a littéralement pris feu, comme on le voit dans cette vidéo choquante.
C'est ainsi qu'en début de semaine les résidents de Bangalore ont été averti qu'un de leur lac avait pris feu, et qu'on avait déclenché l'alerte: il y a le "Feu au lac".
Faut dire que depuis plusieurs semaines, le lac de Bellandur est litteralemnt recouvert de plusieurs mètres d'une mousse toxique, et sous cette épaisse mousse blanche, l'eau a viré au noir, une véritable soupe de produits chimiques et d'eaux usées.
Les experts de la ville ont confirmé qu'une suspension d'huiles et de phosphores provenant de déchets industriels non traités mélangés aux eaux usées ont créé un véritable cocktail Molotov.
A proximité, des zones humidesont d'ores et déjà été détruites par le passage de cette véritable lessive toxique. La pollution du lac est devenue totalement incontrôlable", a déclaré un officier du conseil de contrôle de la pollution locale .
En outre, les habitants ont également signalé des réactions allergiques et une sensation de brûlure éventuellement causées par des toxines libérées par la mousse. Mais pire il semble que cette pollution se soit déjà propagée à un autre lac voisin.
Allemagne : Âgée de 65 ans, elle donne naissance à des quadruplés
HEUREUX EVENEMENT – Une enseignante à la retraite, âgée de 65 ans, a accouché dans la nuit de vendredi à samedi de quadruplés.
Nés après 26 semaines, ce sont de grands prématurés, mais présentent de bonnes chances de survie.
Une Allemande de 65 ans, déjà mère de 13 enfants , et grand-mère de sept autres, a donné naissance vendredi à des quadruplés, a annoncé la chaîne de télévision RTL.
La venue au monde de Neeta, Dries, Bence et Fjonn, font de cette Berlinoise la mère de quadruplés la plus âgée au monde.
A 65 ans, déjà mère de 13 enfants , elle attend des quadruplés Les bébés, nés après 26 semaines seulement, ce qui les place en condition de grande prématurité, ont été placés en couveuse et "ont de bonnes chances de survivre", selon un communiqué.
Une grande nécessité, au vu de leur poids – 655 à 960 grammes –, jusqu'à trois à quatre fois inférieur à la masse d'un nouveau-né, et de leur taille – 30 à 35 centimètres.
Déjà une petite fille à l'âge de 55 ans Leur naissance ne doit rien au hasard : Annegret Raunigk, qui voulait faire plaisir à une de ses filles qui lui demandait un petit frère ou une petite sœur, s'est rendue en Ukraine à plusieurs reprises afin d'être inséminée artificiellement.
"Cela a bien sûr été un choc pour moi", avait-elle raconté au quotidien Bild en apprenant que les quatre ovules implantés avaient été fécondés. "J'en ai parlé avec mon gynécologue (...) J'ai réfléchi et j'ai ensuite pris ma décision, que je connaissais déjà au fond de moi".
Cette enseignante de russe et d'anglais à la retraite était déjà connue des Allemands puisque, il y a 10 ans, elle avait accouché d'une petite fille, alors qu'elle était déjà âgée de 55 ans.
Les dessins animés font partie des choses qui nous ont plus marqués dans notre enfance surtout les bons instants du mercredi matin quand on n'avait pas école où on se levait très tôt et on se mettait devant la télé avec un bol de céréales entre les mains ! Quels beaux moments Ces dessins animés qui passaient à la télé nous rappellent beaucoup de choses de notre enfance.
Les prix des maisons de repos explosent: 1.366€ par mois… pour une pension moyenne de 1.212€
De toute manière, celui qui ne prévoit rien en plus de sa pension légale pour subvenir à ses besoins après sa retraite manque cruellement de prévoyance et de bon sens.
chez Les tarifs d'accès à une maison de repos ne cessent de grimper ces dernières années.
Alors que l'inflation est proche de zéro, ils ont augmenté de 10,6% entre 2011 et 2014.
Le SPF Economie a calculé qu'un pensionnaire de maison de repos payait en moyenne 1.366 euros par mois au premier trimestre de l'année passée, rapporte Le Soir jeudi.
Ce prix varie en fonction du type d'établissement, des activités et services organisés par ce dernier mais aussi de la Région dans laquelle le retraité est installé.
C'est en Wallonie que la facture est la moins salée. La moyenne mensuelle y varie entre 1.160 euros (en CPAS) et 1.245 euros (dans le privé).
A Bruxelles, les prix sont plus importants et la différence des prix plus large, de 1.291euros en CPAS à 1.657euros dans le privé.
Ces chiffres sont à comparer avec la pension légale moyenne, qui était de 1.212 euros en 2013.