Fandeloup

S'il est un peu plus facile que dans d'autres filières de trouver un emploi, de nombreux obstacles se dressent sur la route des récents diplômés en lettres modernes. La faiblesse du salaire médian et la forte proportion d'emplois à temps partiel (14 %) révèle deux phénomènes : la forte proportion d'ex-étudiants se dirigeant vers l'enseignement et pour d'autres, le choix de miser temporairement sur des jobs "alimentaires". Statistiques deux ans après le diplôme :

Taux d'insertion : 88 %

Taux d'emploi stable : 68 %

Salaire net médian : 1 700 €

L'honnêteté est dans le cœur. Jamais dans l'apparence

Si un étudiant sur huit n'a pas trouvé un travail deux ans après son diplôme, les perspectives demeurent correctes pour les chimistes. La plupart (71 %) des postes sont stables, la très grande majorité (95 %) sont des profession à statut cadre ou intermédiaire et les salaires demeurent plutôt attractifs (salaire médian deux ans après le diplôme : 1 910 euros nets/mois). C'est 130 euros de plus que les sciences de la vie à niveau égal...

Statistiques deux ans après le diplôme :

Taux d'insertion : 87 %

Taux d'emploi stable : 71 %

Salaire net médian : 1 910 €

N'étouffe pas tes rêves. Ne pas avoir de rêve, c'est être sans espoir ; être sans espoir, c'est errer sans but. Ne fuis pas en avant tout au long de ta vie de sorte que tu oublies d'où tu viens et où tu vas. La vie n'est pas une course,mais un voyage dont il faut savoir goûter chaque étape.

Très généraliste, la filière L.E.A. mélange apprentissage des langues étrangères avec gestion, droit, économie ou marketing... Les résultats en matière d'intégration au marché de l'emploi sont honorables (sept diplômés sur dix ont un emploi stable dans les deux ans). Les salaires demeurent cependant faibles. En sortant de L.E.A, les chances d'atteindre un poste de cadre sont les plus réduites (42 %) parmi toutes les disciplines étudiées dans cette étude.

Statistiques deux ans après le diplôme :

Taux d'insertion : 87 %

Taux d'emploi stable : 71 %

Salaire net médian : 1 730 €

Pour un court moment, se déconnecter de la réalité... et oublier que, de toutes parts, la terre se met à trembler . pour un court moment, se reposer de toutes choses ... et faire taire la cohorte des pensées négatives. Loin de la folie du monde .... Ouvrir la boîte de l'imaginaire prendre le temps de réinventer un monde, notre monde .... Et même si l'on sait que c'est une courte pause, Et même si on sait que c'est pure folie Croire encore et toujours en nos utopies. Saupoudrer jour après jour notre monde de fantaisie et surtout, ne jamais renoncer à nos envies, à nos rêves ... Trouver par là la paix en réponse à la lutte incessante quotidienn

Souvent rapprochée de la géographie, cette filière aboutit souvent aux mêmes emplois, souvent publics : fonction publique déconcentrée, expertise territoriale... Moins de six étudiants sur 10 possèdent un emploi stable deux ans après leur sortie, selon l'enquête menée auprès des diplômés 2011. Point positif, cependant : le salaire médian est un peu plus attractif que dans les autres disciplines des sciences humaines (+ 70 euros par rapport à la filière géographie).

Statistiques deux ans après le diplôme :

Taux d'insertion : 87 %

Taux d'emploi stable : 57 %

Salaire net médian : 1 800 €

Aime -moi derrière mon masque

Je te donne l’impression que je suis fort, je te donne l’impression que je suis en toute confiance , que tout est ensoleillé en moi, à l’intérieur comme à l’extérieur. Que confiance est mon nom et que calme est mon surnom. Que la mer est calme et que c’est moi le maître et que je n’ai besoin de personne et je m’arrange tout seul… Mais ne me crois pas. Je t’en supplie. Écoute ce que je ne dis pas... Regarde moi, tout semble aller, je fais un visage sévère , mais sous mon vrai masque toujours changeant qui me cache, là est mon vrai moi, mon moi confus, apeuré, seul, mais je le cache depuis si longtemps. Personne ne doit le savoir, mes faiblesses me font peur, alors je joue au fort et j’ai peur que l’on découvre ce petit enfant en moi, qui a tellement soif d’amour et de tendresse et qui aurait le goût de pleurer... Alors je me protège contre toi, j’ai peur d’être découvert. Je me protège de ton regard de bonté, de ton oreille trop attentive. J’ai peur que ton regard et ton écoute ne soient pas suivis d’accueil et d’amour. J’ai peur que comme les autres, tu me laisses tomber. J’ai peur de baisser dans ton estime alors je fais semblant d’être un autre en te disant par mon attitude "ne m’approche pas". Et pourtant je voudrais que tu approches. J’aurais besoin de t’ouvrir mon coeur mais j’ai peur que tu ris de moi. Et si tout à coup tu riais de moi, ton rire me ferait mourir et l’enfant blessé en moi ne s’en remettrait pas.

Je voudrais m’ouvrir à toi, je voudrais être spontané, tendre et vrai car au fond, je déteste me cacher et jouer ce jeu de masques que je joue depuis si longtemps. Je voudrais être moi-même mais je n’ose pas, j’ai peur. J’ai peur de ne pas être accepté, j’ai peur d’être jugé, rejeté, et je suis enfermé derrière les barreaux de ma prison intérieure et ne sais plus comment ouvrir la porte. Alors je t’en supplie, approche-toi doucement... il faut que tu m’aides; écoute ce que je ne dis pas et aime -moi derrière mon masque.

Les opportunités sont rares dans les labos. Deux ans après l'obtention de son diplôme en biologie, un étudiant sur sept n'a pas trouvé d'emploi. Cette formation propose tout de même des salaires dans la moyenne (chiffres du Secrétariat d'Etat à l'Enseignement supérieur). Une expertise acquise dans un master spécialisé (agroalimentaire, environnement...) peut être un plus au moment d'arriver sur le marché du travail.

Statistiques deux ans après le diplôme :

Taux d'insertion : 86 %

Taux d'emploi stable : 62 %

Salaire net médian : 1 770 €

Le bonheur que vous cherchez à tâtons , les yeux fermés , les paupières closes , c’est un oiseau, une fleur éclose . C’est surtout au fond de vos âmes . Au plus creux de ce vague à l’âme . Un cri du coeur que vous retenez . Ces quelques mots emprisonnés entre l’orgueil et la vanité . Le bonheur c’est de se donner