Fandeloup

Se glisser derrière l’ombre de la lune. Rêver le vent. Chevaucher la brume. Découvrir la frontière absolue. La franchir. D’une phrase, lier la Terre aux étoiles. Danser sur ce lien. Capter la lumière. Vivre l’ombre. Tendre vers l’harmonie. Toujours

On a bien cru...

Que le monde était plat,

Que les femmes ne voteraient jamais,

Que l'esclavage humain ne finirait jamais,

Que l'homme mourrait s'il dépassait les 50 km/h,

Que l'atome était indestructible,

Que tout ce qui pouvait être inventé avait été inventé,

Que l'informatique sonnerait le glas du travail...

Donc je n'ai pas honte de croire que le jour viendra où l'homme cessera de torturer et de tuer les autres habitants sensibles de la planète que nous partageons.

Un amour commence à exister quand chacun offre à l'autre le fond de ses pensées, les secrets les plus verrouillés. Sinon, ce n'est pas de l'amour, c'est de l'échange de peaux, de désir immédiat

L'ANIMAL... Un regard... Une intelligence suprême, une empathie.... L'humain en beaucoup mieux car dénué de cruauté, de soif de pouvoir et d'argent... Voilà qui sont ces êtres exceptionnels qui méritent tant que nous les défendions, que nous les libérions, que nous soyons leur voix..

Les sentiments ne s'expliquent pas, ne se justifient pas,ne se contrôlent pas.. Ils ne sont pas négociables ni remboursables

Il n'y a dans leurs yeux ni mépris, ni dégoût, ni moquerie, ni haine , ni insulte, ni mensonge, ils m'aiment de la façon la plus vraie qui soit, sans détour, sans tricherie . Avec eux je peux être moi, laisser s'exprimer tout mon amour sans en être moquée, sans crainte d'être abusée ; je n'ai pas de défense, pas de cuirasse mais n'en ai pas besoin. Mes bébés , mes poilus, mes moustachus, mes fous , sont mes véritables amis, et je les aime à l'infini

Si c'est ça, être adulte, si c'est parler double, rendez-moi mon enfance

Petits êtres innocents je vous aime

Nous sommes un jardin, dans lequel il faut semer quotidiennement, de par notre volonté, des fleurs, des fruits et même des feuilles cultivés à la chaleur de nos émotions. Mon jardin est ce compagnon, liberté retrouvée, chez qui j'aime à prendre "congé" herbes et fleursà "cultiver" et qui, comme toute chose sincère et véritable, se passe de mots. Fait de respect et tolérance, d'émotions et de silences, respect de chacun, on s'y installe comme si l'on était chez nous, sans changer nos habitudes. Pas de sécateurs, désherbant ou autre, le soleil est son silence, tout y pousse à la racine de la rêverie et de l' imagination... Ce jardin, fermé de tous côté, bordé de haies et de murs, de saules et de Sapins on n'en sort que par le haut, par le regard tourné vers le ciel et les astres, beaux jours à venir s'y enfermer longtemps, s'évader toujours

HUMOUR