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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Bébé mort secoué

Publié à 16:54 par fandeloup Tags : divers photo bébé moi enfants mort fille
Bébé mort secoué

Bébé mort secoué : une mère de famille condamnée à 15 ans de prison

Une mère de famille a été condamnée à 15 ans de prison en appel à Nancy (Meurthe-et-Moselle) près avoir mortellement secoué son nourrisson.

La Cour d'Assises de Meurthe-et-Moselle a condamné en appel une mère de famille de 37 ans à quinze ans de réclusion criminelle. Elle était jugée pour la mort de son nourrisson de 2 mois et demi prénommé Arthur en 2006.

La Cour a estimé que la responsabilité de la mère était entière après la mort de l'enfant du syndrome du "bébé secoué". Pire, cette mère de famille était aussi poursuivie pour avoir frappé à plusieurs reprises son autre enfant victime de fractures importantes.

Picot veille sur l’alimentation de votre bébé depuis 1896 Picot veille sur l’alimentation de votre bébé depuis 1896 Les laboratoires Picot, spécialistes du lait et de la nutrition infantile pour les plus jeunes bébés, innovent pour répondre à tous leurs besoins, même les plus spécifiques.

En partenariat avec Picot En 2013, la Cour d'Assises avait condamné l'accusée à dix ans de réclusion criminelle en première instance. La justice a estimé que la mort du nourrisson et la maltraitante du second enfant relevait d'actes de "torture et de barbarie".

D'ailleurs les enquêteurs avaient d'abord estimé que le bébé était mort de manière naturelle en classant l'affaire sans suite mais ce n'est qu'en relevant les faits sur le second enfant qu'une autopsie a été pratiquée sur le bébé. Le second bébé était frappé Le second enfant, âgé de 2 moi et demi également est né un an après le premier.

La petite fille avait été admise en urgence à l'hôpital de Nancy pour plusieurs fractures. Les médecins avaient conclut à "des violences répétées". Une seconde enquête avait alors été ouverte, au cours de laquelle des experts avaient cette fois-ci mis en évidence des lésions traumatiques et plusieurs fractures antérieures, corroborant la piste des violences volontaires sur la petite victime.

Le père de famille, un militaire du régiment de Dieuze (Moselle) n'a pas été inquiété par la justice. Les enquêteurs ont estimé qu'il n'était pas responsable des faits de violence et a fini par reconnaître que sa compagne pouvait être violenté avec leurs enfants. L'avocat de la prévenue a estimé durant le procès qui s'est ouvert ce lundi que le doute est permis.

des macaques du zoo livrés à la trépanation

Publié à 15:58 par fandeloup Tags : monde chez france société création cadre nature animal animaux film air bretagne
des macaques du zoo livrés à la trépanation

Près de Nantes, des macaques du zoo livrés à la trépanation

NICOLAS DE LA CASINIÈRE (REPORTERRE)

Les zoos sont censés protéger les animaux, pas les vendre à un laboratoire pour des expériences impliquant une chirurgie lourde. Reporterre révèle que des macaques rhésus, nés dans un zoo près de Nantes, ont été vendus en Allemagne à un Institut de recherche pratiquant la vivisection.

- Nantes, correspondance

En septembre, une chaîne allemande a diffusé un film en CAMÉRA cachée sur ces macaques qui paraissent bien maltraités. Il semble alors que le laboratoire allemand Max-Planck de Tübingen ait importé, directement de l’Île Maurice, des primates sauvages. L’investigation, relayée par l’ONG One Voice, montre que certains de ces singes sont nés en France dans un zoo à Port-Saint-Père en Loire-Atlantique, relayés par un élevage voisin.

Choquantes, les images ne sont pas à montrer aux gens sensibles : les macaques montrent des visages et des cranes ensanglantés par les trépanations qui les ont transformés en cobayes.

« Un cauchemar vivant », ce reportage en caméra cachée a été effectué pendant sept mois, de 2013 à 2014, par des militants de la défense animale dans les locaux d’un éminent institut de recherche neurologique allemand, l’Institut Max-Planck pour la cybernétique biologique, basé à Tübingen, dans le land de Bade-Wurtemberg.

Ce reportage a été diffusé le 10 septembre 2014 par la chaîne de télévision allemande Stern TV. Play A Living Nightmare for the Monkeys of Mauritius par The BUAV Pour faciliter les manipulations sur le cerveau des singes, le placement d’électrodes ou l’injection directe des substances chimiques requises par les expériences in vivo, des implants permanents en titane, de la taille d’un gros bouchon, leur sont insérés au sommet du crâne.

Des implants qui servent aussi à immobiliser la tête des primates pendant les expérimentations, le cou étant déjà contraint par l’orifice d’une boîte où le primate est enfermé. Selon les militants qui ont dévoilé ces images, les plaies des animaux s’infectent parfois, induisant souffrance et mal être.

Les images prises clandestinement ont été rendues publiques par le BUAV, British Union for Abolition of Vivisection. Fondée à Londres en 1899, l’association milite pour l’abolition totale de toute expérimentation animale.

Ses investigations anonymes l’ont menée ces dernières années dans des laboratoires en Grande-Bretagne, chez des pourvoyeurs de primates au Vietnam, en Malaisie, en Espagne.

Pour cette dernière enquête à Tübingen, les Britanniques se sont associés avec leurs correspondants en Allemagne, l’association Soko-Tierschutz.

Sensibles à la douleur ou pas ?

« L’animal ne ressent pas les électrodes dans son cerveau, car son cerveau n’a pas de recepteur de la douleur », expliquait l’institut Max-Planck en 2009 après les protestations d’une association de médecins allemands contre l’expérimentation animale.

L’absence de perception de douleur par les animaux est un sujet très controversé, récemment commenté par de philosophes et des théologiens aux Etats-Unis. Des travaux universitaires menés sur des macaques rhésus en 1964 ont montré qu’un de ces singes refusait de tirer sur une chaîne qui lui fournit de la nourriture, quand ce geste provoquait un électrochoc à un autre singe dans la cage voisine.

Cette recherche concluait que le macaque est capable d’empathie avec ses semblables. Air France sans états d’âme La diffusion de l’investigation divulguée par BUAV et Soko-Tierschutz a causé quelque émoi en Allemagne.

Elle a aussi conduit l’association française One Voice à dénoncer la compagnie Air France, qui achemine sans états d’âme ces singes de l’Île Maurice jusqu’en Europe. Air France est d’ailleurs la dernière compagnie aérienne de passagers dans le monde à continuer à effectuer ces transports des singes voués à l’expérimentation, malgré les protestations, notamment de l’experte en primates et anthropologue britannique Jane Goodhall.

Un zoo français fournisseur de singes cobayes Après la diffusion du film « Un cauchemar vivant », des ramifications et compléments d’enquête mènent en Loire-Atlantique, où un zoo et un élevage, très liés l’un à l’autre, ont fourni sept animaux.

Daté de décembre 2011 et janvier 2012, des dizaines de document photographiés révèlent les attestations sanitaires délivrées pour ces macaques rhésus mâles (Maccacca mulata) en transit dans les murs de la société BioPrim à Baziège, près de Toulouse. Il a joué le rôle d’un centre d’accueil des singes importés, soumis à quarantaine, avant d’être répartis ailleurs pour des expérimentations médicales ou pharmaceutiques.

Un centre décrié dès sa création en 2001, mais que son gérant, Éric André, considère alors comme un « hôtel Hilton pour singes ». Nés en captivité, vendus au labo Les macaques rhésus expédiés à l’institut Max-Plank ne sont donc pas tous nés à l’état sauvage à l’Île Maurice.

Les documents vétérinaires produits par l’association de défense des animaux One Voice prouvent sans équivoque que ces singes parvenus en janvier 2012 en Allemagne sont nés au sein du zoo Planète Sauvage, à Port-Saint-Père, et souvent acheminés via une société d’élevage voisine, Savane Nature, située à cinquante kilomètres de là, dans le vignoble nantais.

Selon les documents, dont certains portent le tampon de la préfecture de Loire-Atlantique, la provenance d’un même singe, identifié par le matricule à cinq chiffres de son tatouage, indique soit Savane Nature, soit Planète Sauvage, soit Safari Africain (le premier nom du zoo de 1992 à 1998).

« Passer par une structure extérieure permet à un zoo d’écouler sans souci les macaques rhésus en trop. Il faut dire que ce sont des animaux qui se reproduisent facilement et que pour attirer le public, il est préférable que des petits naissent. C’est le cas pour tous les animaux dans tous les zoos », explique Muriel Arnal, présidente de l’association One Voice.

Une « maison de retraite »

La Sarl Savane Nature a été créée en 2005 par l’ancien directeur de Planète Sauvage, Dany Laurent, décédé accidentellement à son domicile le 30 septembre dernier. Son entreprise avait été dissoute en 2013. Liquidatrice de la société , Véronique Laurent, veuve de Dany Laurent, donne aujourd’hui une version diamétralement opposée de ce qu’attestent les documents :

« Mon mari avait ces singes pour le plaisir. On les a récupérés d’un labo qui s’en débarrassait, en Allemagne, je crois. Ils étaient super bien, ici. C’était leur maison de retraite. Ils ont fait des bébés. Après je ne sais pas. Mon mari les a sans doute donnés... Il ne les aurait pas vendus. C’était pas le genre. J’ai sans doute les papiers de tout ça, mais c’est dans son bureau et franchement, je n’ai pas la force d’y aller ».

Personne ne prétend que les singes ont été maltraités avant d’être vendus au laboratoire allemand, mais leur double provenance, zoo et élevage de son ancien directeur n’est pas contestable.

« Non non, Planète Sauvage n’a rien à voir là-dedans », répond pourtant Véronique Laurent. Dany Laurent avait créé il y a trente ans le zoo de La Boissière-du-Doré, à l’est du département de Loire-Atlantique, toujours géré aujourd’hui par son fils. En 1992, Dany Laurent avait ensuite fondé à Port-Saint-Père la société Safari Africain, renommée Planète Sauvage, structure qu’il a dirigée jusqu’en 2005.

« Contraire à nos valeurs »

Le zoo a été racheté en 2005 par la Compagnie des Alpes, filiale de la Caisse des dépôts & consignations, qui gère des domaines skiables et des parcs d’attraction comme le parc Astérix, le Futuroscope mais aussi des parcs animaliers en Suisse, Belgique, Hollande et Allemagne.

« Depuis que Planète Sauvage a été racheté par la Compagnie des Alpes, aucun animal sauvage n’a été vendu, dit Clémentine Amar, responsable de la communication du parc. On ne vend pas à des instituts. C’est contraire à toutes nos valeurs. Nous n’avons que des cessions, dons ou échanges, avec d’autres parcs animaliers dans le cadre européen. Voire avec un éleveur comme Dany Laurent, mais il n’y a pas de transaction d’argent. Il n’y a aucun problème juridique. Planète Sauvage peut être l’éleveur initial des macaques, mais notre seul interlocuteur, c’était Dany Laurent. Nous n’avons pas de doute quant à notre éthique. »

Les documents attestant le transit par BioPrim à Toulouse, et que Reporterre a consulté, indiquent pourtant clairement : « Cause de la sortie : vente ».

Exemple : le macaque mâle de près de quatre kilos, portant le numéro 60892, né à Planète Sauvage le 10 mars 2009, a été l’objet d’une acquisition par Savane Nature, qui, après quarantaine et examens sanitaires à Toulouse, l’a revendu à l’institut Max-Planck où il a été livré le 26 janvier 2012.

Les explications pour le moins contradictoires des deux structures, Planète Sauvage et Safari Nature, parties prenantes, laissent planer le doute d’un genre d’« externalisation du risque », déplaçant hors du zoo la responsabilité de cette transmission « contraire aux valeurs » d’animaux envoyés au laboratoire qui pratique la vivisection. Contraire au code éthique, ou pas...

Philippe Vignaud, le directeur de Planète Sauvage, ne sait pas ce qui s’est passé avec les macaques nés dans son parc : « Je me suis déplacé pour visiter les installations d’élevage de Dany Laurent, à qui nous avons confié en dépôt plusieurs groupes de macaques rhésus que nous avions en surplus", explique-t-il à Reporterre.

De très belles installations agréées, en règle, proches de chez nous et que nous avons contrôlées, administrativement et physiquement. Dany Laurent, un professionnel connu pour ses bonnes bonnes pratiques, aurait dû nous prévenir s’il souhaitait placer ces animaux ailleurs.

Nous n’avons été avertis de rien. Nous n’avons jamais eu de contact avec cet institut Max-Planck. » Planète Sauvage est membre de l’EAZA, European Association of Zoos and Aquaria, qui met en avant le bien-être animal. Reporterre a joint le siège bruxellois de cette fédération de zoos et aquariums privés. Son porte-parole reconnait que « la vente de singes à des laboratoires pratiquant des expérimentations animales est contraire au code éthique », mais que cette objection ne s’appliquerait pas à l’institut Max-Planck du fait qu’« aucune expérimentation chimique ou médicale » ne serait pratiquée sur les primates. Alors que ces expérimentations consitutent le quotidien de l’institut Max-Planck de Tübingen.

Le laboratoire allemand concède des progrès à faire L’institut Max-Planck justifie son activité d’expérimentation avec des animaux vivants en invoquant le bien fondé de ses recherches sur les connections des systèmes neurologiques sous-tendant les capacités cognitives humaines. Il s’agit donc de comprendre comment le cerveau traite les informations qu’il reçoit.

- Macaque trépané -

L’institut revendique sa contribution à « la recherche pour résoudre des enjeux centraux pour la science et pour établir des bases de nouvelles approches de traitements médicaux ». Ces recherches sont menées sur des NHP, pour « non human primates », et des rongeurs.

Après la diffusion du film par Stern TV, l’institut Max-Planck a reconnu que des hémorragies post opératoires peuvent survenir après des interventions, comme dans le cas d’opérations de chirurgie effectuées sur des patients humains.

Le communiqué ajoute que le personnel du centre est bien formé et que les primates font l’objet d’un suivi sanitaire, sans négligence, concédant quand même une augmentation immédiate des moyens vétérinaires de suivi des animaux, avec l’embauche d’un vétérinaire à temps plein. Sont aussi envisageés des « améliorations en terme d’organisation », notamment un suivi informatique des singes et de leur alimentation.

Les associations de défense des animaux rétorquent que de telles expérimentations ne se justifient pas sur des cobayes animaux et qu’il existe des alternatives pour mener ces recherches. Il existe même un centre européen de recherche sur ces alternatives à la vivisection, l’EURL-ECVAM (European Union Reference Laboratory for alternatives to animal testing) basé à Ispra, en Lombardie, Italie.

sapin

Publié à 14:32 par fandeloup
sapin

Avec trois fois rien on fait un sapin et C'est simple !

horreur

Publié à 14:23 par fandeloup Tags : éléments chez mort animaux neige
horreur

Une ONG révèle l’horreur des conditions de transport des animaux au Canada

Mercy for Animals vient de dévoiler une vidéo qui révèle « l’horreur cachée du transport des animaux de ferme ».

Une bénévole de l’ONG Mercy for Animals s’est infiltrée, en caméra cachée, chez un transporteur d’animaux dédiés à la consommation humaine.

A l’aide d’une caméra cachée, elle a filmé des images très dures, qui montrent notamment des cochons malades ou blessés qui n’arrivent pas à tenir sur leurs pattes et qui sont forcés par les employés à avancer en étant frappés ou électrocutés ;

des animaux battus violemment et mutilés sans anesthésie ;

d’autres entassés dans des camions par des chaleurs étouffantes, sans eau, et pendant des centaines de kilomètres, etc.

Clairement, les animaux d’élevage sont transportés dans des conditions épouvantables, subissent des abus et sont victimes de grandes négligences au sein de l’industrie canadienne de la viande et du lait.

Ils sont « entassés dans des remorques surchargées et forcés d’endurer des conditions éprouvantes par tous les temps, même les plus extrêmes, sans nourriture, eau ou repos, plus de 8 millions d’animaux de ferme arrivent chaque année dans les abattoirs canadiens déjà morts, ou si malades ou blessés qu’ils doivent être tués lors du déchargement », déplore Mercy for Animals.

Une législation « archaïque »

Il faut dire que la législation canadienne est beaucoup plus permissive que la notre dans ce domaine. En Europe, depuis 2004, la réglementation est très stricte (même si la souffrance des animaux est toujours présente) :

une certaine épaisseur de litière est requise, de l’eau doit être à la disposition des animaux si le transport dure plus de huit heures, ainsi que des ventilateurs et des moniteurs de température, etc.

Au Canada en revanche, rien de tout cela. Rien n’oblige les professionnels a prendre certaines mesures pour le bien-être des bêtes, aussi, ils préfèrent souvent ignorer leurs besoins ou leur confort pour éviter des « dépenses inutiles » (sic).

De plus, dans ce pays, la loi n’oblige pas les transporteurs à avoir une formation en manipulation des animaux. « La réglementation canadienne sur le transport des animaux est obsolète et tout simplement déplorable, accusant un retard sur tous les autres pays occidentaux (…) Les camions de transport ne sont ni proprement protégés contre les éléments, ni à ambiance contrôlée. Pendant l’été, la température à l’intérieur des camions peut atteindre plus de 40 ° C, particulièrement lorsque ceux-ci sont à l’arrêt, ce qui peut conduire à du stress thermique et des crises cardiaques. Combinées avec des niveaux élevés d’ammoniac, ces hautes températures peuvent entraîner la mort d’animaux par asphyxie. Pendant l’hiver, l’exposition à la neige, aux vents et températures glacials, et au refroidissement éolien extrême peut mener les animaux à geler sur le plancher, ou contre l’un des côtés, du camion et à mourir de froid », dénonce Mercy for Animals.

avoir

Publié à 11:22 par fandeloup Tags : enfant
avoir

Ce que j'avais, ce que j'ai, ce que j'aurai toujours : mon âme d'enfant.

honteux

Publié à 11:02 par fandeloup Tags : mort animal animaux merci
honteux

Ce lycéen de 16 ans est un criminel, une plainte a été déposé contre lui pour sévices et actes de cruauté envers un animal.

Le 28 novembre 2014, ce lycéen scolarisé au lycée d'Artois à Noeux les Mines (62) a donné un coup de pied mortel à un chaton de deux mois l'envoyant dans les airs.

Nous demandons dans un premier temps l'expulsion définitive de ce lycéen. Le nom de l'étudiant ne sera pas dévoilé pour le moment, le principal connait l'auteur des faits.

Merci de réagir.

Lycée d'Artois

rue Jules Mousseron

BP 35 62290 Noeux-les-Mines

Tél. : 03 21 61 63 21

Fax : 03 21 61 63 29 Mél : ce.0624440p@ac-lille.fr

 

Madame ou Monsieur le Directeur, Je suis ulcérée par le comportement d'un de vos élèves de 16 ans pouvant commettre une telle atrocité sur un chaton à présent mort ! Je sollicite une sanction en vous demandant l’expulsion de cet élève « pour avoir délibérément donner la mort à ce chaton ». Pour la notoriété de votre lycée, j’espère une réactivité punitive à l’encontre de ce criminel ! Cet acte barbare conduira inconditionnellement cet adolescent à aller plus loin "toujours avec violence" si ce n'est pas déjà fait sur d'autres êtres sans défense « élèves et animaux compris » Cordiales salutations,

message

Publié à 10:16 par fandeloup Tags : vie enfants amis coeur femme sourire fleur
message

Seule dans son fauteuil, seule personne d’autre.. Seule dans sa tête, dans sa vie, dans son âme elle regarde à la fenêtre, que pourrait-elle faire d’autre.. Elle n’a pas d’amis, pas de famille, pauvre femme .. Depuis combien de temps dure cette agonie.. Des mois, des années peut être.. Elle en a même perdu ses manies.. Elle en a oublié son bien-être.. Des mamies, des papys comme elle se sont multipliés.. Des êtres publiés, délaissés, abandonnés.. Ils se laissent aller ont tant à dire mais ne veulent parler.. Pas question pour eux de supplier.. Mamie, Papy qui ont tant donné, ont tant aimé ont vu le temps se dessiner sur leurs visages.. Ce temps ne les a pas épargné.. Leurs enfants, leurs amis ont tourné la page.. Les voilà seuls avec leur souvenirs.. Le temps passé ne leur donne pas envie de voir l’avenir.. Le coeur serré personne à voir venir.. Ils n’ont plus qu’à se laisser mourir.. La tristesse les a détruit.. La tristesse d’être rejetés.. La tristesse les envahit.. La tristesse est leur ennemi.. Donnez , un peu de votre coeur à ces personnes.. Un sourire, un geste et dans leur coeur une cloche sonne.. Cette cloche redonnera un peu d’espoir et de la vie, ils recommenceront à y croire.. Une larme coulée commencera à sécher, un sourire redonnera vie et permettra à ces personnes âgées qui sont oubliés et gênants car ils sont trop vieux selon leur proches, de revivre et de vieillir avec une fleur dans le coeur. Beaucoup trop de personnes âgées sont abandonnées comme une plante qu’on a oublié d’arroser, redonner leur vie et leur sourire sera un baume dans le coeur. Nous serons tous amenés à être âgés et une question se pose y aura t’il quelqu’un pour se souvenir de nous?

vue

Publié à 09:35 par fandeloup Tags : chats chat bleu animaux nuit bonne rouge
vue

La vue du chat vue chat

Le chat a une excellente vue, même en lumière très faible, en raison de la présence du tapis choroïdien, ou tapetum lucidum, une couche de cellules réfléchissantes située derrière la rétine.

Ces cellules réfléchissent les rayons lumineux qui n’ont pas été captés au cours du premier passage, octroyant ainsi aux cônes et aux bâtonnets rétiniens l’opportunité d’un second passage.

C’est pour cela que l’oeil du chat est phosphorescent dans l’obscurité, lorsqu’une lumière infime est réfléchie par la rétine. Le chat ne remarque pas une proie immobile !

Le tapis choroïdien augmente de 40 % l’efficacité de la vision du chat. La pupille peut en outre se dilater à tel point que, la nuit, la vue du félin est cinq fois supérieure à celle de l’homme et ne peut donc se comparer qu’à celle des animaux de nuit.

Les cônes rétiniens du chat étant trichromatiques, il devrait percevoir le bleu, le vert et le rouge. Mais il semblerait que cela ne soit pas prouvé, que le chat ne distingue pas bien le vert, alors qu’il voit le bleu et le rouge et perçoit également la gamme des gris.

Il suit distinctement une proie en mouvement car son champ de vision est supérieur à 180 °, mais peut ne même pas remarquer une proie immobile.

La vue du chat Siamois

Les Siamois n’ont pas tout à fait la même vue que les chats des autres races. Leur perception du scintillement est notamment très réduite, en raison d’une plus petite quantité de cellules ganglionnaires présente dans la rétine.

La vision stéréoscopique est également minimale, quoique chaque oeil présente une bonne capacité résolutive. Ceci explique le regard souvent convergent (strabisme) du félin. Il y a longtemps, on le recherchait pour cette particularité, ainsi que pour sa queue coupée ou enroulée.

bonne nuit

Publié à 19:34 par fandeloup

LA RHINOTRACHEITE

Publié à 19:30 par fandeloup Tags : chat chats monde bonne mort jeux
LA RHINOTRACHEITE

LA RHINOTRACHEITE VIRALE FELINE

La rhinotrachéite virale représente 40 % environ des cas de coryza félin et est souvent responsable de signes cliniques respiratoires graves. Il s'agit d'une infection qui reste persistante, latente, avec des ré-expressions ultérieures possibles.

 

 

UNE MALADIE CAUSEE PAR UN HERPESVIRUS…

Le virus responsable de la rhinotrachéite féline est l'Herpèsvirus félin. Il existe plusieurs « souches » virales ayant plusieurs degrés de virulence. Ce virus est présent dans le monde entier et affecte aussi bien les chats domestiques que les félidés sauvages. Il s'agit d'un virus peu résistant dans le milieu extérieur. L'herpèsvirus a la particularité de causer une infection persistante, dont l'organisme ne peut se débarrasser. Il infecte certaines cellules nerveuses et y reste « caché », inactif, latent. Les sites principaux de latence du virus sont les neurones sensoriels du ganglion trijumeau. Le virus pourra être « réveillé », réactivé de façon intermittente.

 

 

QUELS SONT LES CHATS LES PLUS SENSIBLES ?

Les chats les plus sensibles sont ceux qui entretiennent des contacts étroits avec leurs congénères. Les chatons sont généralement infectés via leur mère et leur sensibilité est importante entre 2 et 12 semaines. Les chatons qui ne sont pas nourris pas leur mère sont en général extrêmement sensibles et vulnérables (absence d'anticorps maternels). Les chats vivants en collectivité sont aussi très exposés, d'autant plus que le virus persiste dans les organismes de façon latente et qu'il est ré-excrété sporadiquement.

 

 

COMMENT LES CHATS SONT-ILS CONTAMINES ?

La contamination s'effectue par voie oro-nasale ou oculaire lors de contacts rapprochés entre chats. Le virus est présent dans la salive, les sécrétions nasales et oculaires. Les chats infectés excrètent le virus dans l'environnement dès 24 heures après leur infection et cette excrétion se prolonge durant 1 à 3 semaines. Il y a donc une excrétion virale avant et après les manifestations cliniques de la maladie. Cela contribue à la large dissémination du virus. Lors de réactivation du virus celui-ci est également ré-excrété dans l'environnement pendant 1 à 13 jours. Cette ré-excrétion passe souvent inaperçue mais les chats environnants sont contaminés par le biais de cette dissémination silencieuse ! Les chatons se contaminent directement auprès de leur mère. Les chats en communauté se contaminent via les gamelles, les contacts proches.

 

 

COMMENT LE VIRUS AGIT-IL ?

Le virus atteint surtout les cellules des voies respiratoires supérieures et de la conjonctive oculaire ainsi que les cellules nerveuses. Une dissémination sanguine (virémie) est parfois observée. Le virus colonise les voies respiratoires supérieures et inférieures, du nez jusqu'aux bronches et y cause des lésions. Les lésions causées par le virus peuvent être aggravée par des infections bactériennes secondaires parfois très délétères. Le virus, comme expliqué précédemment, reste ensuite latent dans l'organisme. Il est réactivé de façon sporadique sous l'influence de différents facteurs comme le stress, d'autres maladies, l'injection de substances immunodépressives (glucocorticoïde)… A ce moment là le virus emprunte le trajet des nerfs pour coloniser à nouveau les voies respiratoires, surtout supérieures cette fois-ci. Le virus est également ré-excrété dans le milieu extérieur lors de sa réactivation.

 

 

LES SIGNES DE LA MALADIE…

Lors de la première infection : L'incubation est de 2 à 6 jours. On observe de la fièvre, de l'abattement, une perte d'appétit, une rhinite avec des éternuements, des écoulements au niveau du nez, une conjonctivite avec des écoulements aux niveaux des yeux voire de la toux.

Les cas graves peuvent évoluer en ulcères cornéens. Lors d'absence d'infection virale concomitante, notamment par le virus de la leucose, et lors d'infections bactériennes secondaires modérées, les chats infectés guérissent spontanément en 10 à 14 jours.

Lors d'immunodépression les effets du virus peuvent être plus graves. Les lésions de rhinite et la conjonctivite bilatérale peuvent être chronique et durer des mois. Les atteintes bactériennes secondaires, notamment pulmonaires, peuvent causer une pneumonie et entrainer la mort du chaton.

Lors de réactivation du virus : Les lésions causées par le virus au niveau des voies respiratoires supérieures n'entrainent généralement pas de symptômes et la réactivation du virus reste sub-clinique. Dans certains cas toutefois on peut observer une rhinite récurrente. Cependant, si le chat est affaibli par une maladie concomitante, ou immunodéprimé (leucose par exemple), alors les signes cliniques peuvent être marqués. Rappelons que le virus est ré-excrété dans le milieu extérieur mais cela passe très souvent inaperçu !

 

SOIGNER ET PREVENIR…

Les soins passent par du nursing : Les soins vétérinaires consisteront surtout à maintenir le chaton au chaud et à l'aider, grâce à des antibiotiques, à lutter contre les infections bactériennes secondaires. L'organisme du chaton devra lutter seul contre la composante virale.

La prévention passe par une bonne hygiène et la limitation du stress : Nous avons indiqué que lors de réactivation virale, il se produisait une ré-excrétion silencieuse, sans alerte clinique, du virus. Néanmoins cette réactivation virale est largement dépendante de l'état de santé du chat et des conditions d'entretien.

Si le chat est en bonne santé et s'il ne subit aucun stress alors le virus reste, dans la très grande majorité des cas, silencieux, caché, sans dissémination. La désinfection avec de l'eau de Javel ou des ammoniums quaternaires est efficace. Ces produits sont vendus par des professionnels et doivent être utilisés en respectant les règles de sécurité et d'emploi correct.

La prévention passe par une détection des porteurs et excréteurs du virus : Dans les collectivités de chats il est important de repérer les chats qui sont porteurs du virus et susceptibles de l'excréter.

La détection des porteurs est importante afin de constituer un groupe de chats non-porteurs et un groupe de chats porteurs. Les deux groupes seront strictement isolés (matériel, vêtement, jeux, nourriture…) afin de limiter la dissémination du virus.

La vaccination confère une protection efficace : Il est possible de vacciner contre le « coryza ». Le vaccin contre le « coryza » imunise généralement contre les deux virus majeurs impliqués dans ce syndrome : herpèsvirus et calicivirus, et certains vaccins immunisent aussi contre la bactérie chlamydophila felis.

Rappelons que la vaccination n'empêche pas l'infection mais qu'elle permet à l'organisme de répondre très rapidement et très efficacement à l'agression virale.

Un chat vacciné peut donc être infecté, ne présenter aucun signe clinique mais devenir porteur latent du virus. Dans ce cas la vaccination limite la réactivation du virus ainsi que la durée et l'intensité de sa ré-excrétion, sans l'empêcher complètement.

Le protocole recommandé est de vacciner tous les chats, surtout qu'ils sortent, à partir de 8 ou 10 semaines. Le vétérinaire effectuera 2 injections à 3 ou 4 semaines d'intervalle puis un premier rappel 12 mois après la première injection. Un rappel annuel est ensuite préconisé.