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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Publié à 19:02 par fandeloup
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Partage si tu es d'accord !

humour

Publié à 18:54 par fandeloup
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? Renard, sacripan, sacripouille, coquet coquin ? ?

Renard, chenapan, chacripouille, sacré vaurien ?

humour

Publié à 18:35 par fandeloup Tags : humour

les images qui suivent sont fortes et peuvent choquer

Publié à 18:30 par fandeloup Tags : animaux monde dieu animal
les images qui suivent sont fortes et peuvent choquer

Gadhimai : une célébration hindoue sanglante qui sacrifie 300.000 animaux tous les 5 ans

Abbatage à ciel ouvert lors du festival Gadhimai Badhimai est un festival religieux hindou qui abbat des centaines de milliers d'animaux tous les cinq ans, dans le but de vénérer un dieu.

Bien que contesté, cet évènement se déroulera au Népal en novembre prochain. Gadhimai est un festival religieux hindou qui abat des centaines de milliers d'animaux tous les cinq ans, dans le but de vénérer un dieu.

Bien que contesté, cet évènement se déroulera au Népal en novembre prochain. Un massacre gigantesque Le festival de Gadhimai est une célébration hindoue qui se déroule tous les cinq ans à Bariyapur, une ville située à 160 km au sud de Katmandou au Népal.

Pour les croyants, ce moment important de leur religion est l’occasion d’un sacrifice considérable, effectué dans le but d’honorer Gadhimai, déesse de la puissance dans la religion hindoue.

Buffles, porcs, chèvres, poulets, pigeons, entre 150.000 et 300.000 animaux sont tués en l’espace de deux jours. Il s’agit du deuxième plus grand sacrifice animal au monde derrière l’Aïd el Kebir, la grande fête musulmane du sacrifice.

La majorité des participants sont des Indiens, du nord de pays, qui détournent l’interdiction de sacrifice dans leur pays en se rendant sur les terres du Népal.

Moment de grande spiritualité pour les Hindous Tradition depuis plusieurs siècles, le festival Népalais commence au temple de Bariyapur où des millions de fidèles se lavent les mains avant de se diriger vers le lieu d’abattage à ciel ouvert. Les hindous accordent beaucoup d’importance au sacrifice de l’animal.

Ils croient que cette offrande leur apportera la prospérité. Ils sont également convaincus qu’en mangeant la viande du sacrifié, ils seront protégés du diable.

En deux jours, l’ensemble des animaux sont tués par plusieurs centaines d’hommes. Après la cérémonie, les carcasses sont vendues aux bouchers et à des entreprises de transformation pour être revendu aux fidèles et aux locaux.

Opposition grandissante Des opposants à travers le monde entier manifestent depuis de nombreuses années pour essayer d’interdire cet évènement, affirmant que les animaux sont des êtres pensant et qu’ils ne devraient pas être traités de telles sortes. Brigitte Bardot et Maneka Gandhi ont été très actives lors du précédent festival de 2009.

Cependant, malgré plusieurs tentatives et des lettres au gouvernement, le festival s’est déroulé. Ram Bahadur Bomjon, considéré comme la réincarnation de Bouddha, a même prêché la non violence en offrant sa bénédiction à la place.

Une pétition est actuellement en ligne sur la plateforme mondiale pour le changement change.org et recense 35.000 signatures, mais malgré les protestations grandissantes, la prochaine célébration aura lieu cette année, les 24 et 25 novembre prochains. Le point de vue “hypocrite” des occidentaux Les observateurs Népalais sont conscients des vagues de protestation.

Toutefois, ils estiment que ce rite hindou n’est pas vraiment différent des abattages modernes qu’on retrouve dans les pays occidentaux. De plus, les pratiquants sont persuadés que le sacrifice va leur porter chance. Ils voient l’évènement différemment. Bien que végétarienne, Sushma Joshi, écrivain et cinéaste Népalaise explique :

“Certes, la culture ne justifie par tout, mais le sacrifice de Gadhimai ne devrait pas choquer autant les familiers de l’abattage électrique, en Europe et aux États-Unis par exemple.

Combien d’animaux sont tués tous les jours dans les abattoirs du globe ?

Pour la population Népalaise, pauvre, la viande demeure un luxe. Le festival est la seule occasion de l’année au cours de laquelle ils peuvent en manger. C’est pourquoi je trouve hypocrite de décrier cet évènement.

Gadhimai ne fait que montrer ce qui se passe tous les jours dans les abattoirs du monde entier, et que le monde entier refuse de voir. La seule différence est que, ici, on voit la violence avec laquelle les bêtes sont tuées.”

http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/15214/gadhimai-celebration-hindoue-sanglante-qui-sacrifie-300000-animaux-tous-5-ans#sthash.GTw1PKe5.dpuf

Mâcon : un ado agressé par un clown

Publié à 17:47 par fandeloup Tags : divers photo rouge chez enfants france
Mâcon : un ado agressé par un clown

SAÔNE-ET-LOIRE -

L’agression s’est produite lundi en fin d’après-midi sur le boulevard des Perrières, à Mâcon.

Lundi, un garçon de 14 ans a été frappé par un individu déguisé. Deux autres clowns ont été aperçus en ville. Ils étaient armés d’une batte de base-ball et d’une hache.

L’affaire est prise très au sérieux par les enquêteurs du commissariat de Mâcon. Lundi, vers 17 h 30, un adolescent de 14 ans a été victime d’une agression gratuite alors qu’il rentrait chez lui.

Marchant boulevard des Perrières, ce garçon a été plaqué au sol par un individu déguisé en clown. Une fois par terre, il a reçu des coups de genou et de pied au niveau du dos.

Il est ensuite parvenu à prendre la fuite, se faisant copieusement insulter. Une fois chez lui, il a prévenu sa famille qui a immédiatement contacté le commissariat de Mâcon pour porter plainte. Un signalement réalisé Selon nos informations, l’agresseur était vêtu d’une chemise bicolore jaune et rouge, avec des manches en dentelle.

Il portait également des gants de couleur blanche, un pantalon noir et des chaussures blanches. Son visage était caché derrière un masque « avec des yeux rieurs ». L’homme mesurait environ 1,75 mètre.

Aucune interpellation Quelques minutes plus tard, peu après 18 heures, deux autres clowns, armés d’une batte de base-ball et d’une hache, ont été aperçus par deux jeunes qui attendaient leur bus, avenue Edouard-Herriot.

L’un des deux individus était habillé d’une salopette bleue et d’une chemise noire et rouge. Des insultes et des menaces ont été proférées en direction des jeunes qui, apeurés, ont rapidement pris la fuite.

Fort heureusement, ces adolescents n’ont pas été agressés. Si aucune interpellation n’a été réalisée, les forces de l’ordre sont mobilisées pour enrayer ce phénomène inquiétant qui se développe en France.

D’autant plus que la fête d’Halloween approche. Le préfet de Saône-et-Loire rappelait hier dans un communiqué que « le fait de menacer autrui sur la voie publique avec une arme, même factice, tout en ayant le visage masqué est passible d’une peine d’emprisonnement et du versement d’une amende.

Par ailleurs, les personnes chassant les clowns encourent également une condamnation ». Il en appelait aussi « à la responsabilité de chacun pour ne pas relayer le phénomène sur les réseaux sociaux et sensibiliser les enfants ». Contact Tout comportement suspect doit être signalé sans délai en composant le 17 ou le 112.

Ebola peut-il toucher les animaux

Publié à 16:29 par fandeloup Tags : chat chats homme animal animaux chien afrique chiens
Ebola peut-il toucher les animaux

Ebola peut-il toucher les animaux domestiques ?

Après l'euthanasie d'Excalibur, le chien de l'aide-soignante espagnole infectée par Ebola, beaucoup de personnes se posent des questions sur les risques d'infection du virus sur les animaux de compagnie. Mais qu'en est-il vraiment ?

Quels sont les animaux qui peuvent être touchés par le virus Ebola ?

Des études ont montré que seuls quelques mammifères ont développé le virus Ebola. Il s'agit pour la plupart de primates et de chauve-souries frugivores.

Il a également été démontré que ces animaux, quand ils sont infectés par le virus, peuvent ensuite le transmettre à l'Homme.

Les chiens et les chats risquent-ils de contracter Ebola ?

Même en Afrique, dans des zones qui n'en sont malheureusement pas à leur première épidémie, aucun cas incluant des chiens ou des chats infectés n'a été signalé.

Aucune transmission à l'homme n'a également été indiquée. Le seul cas qui attire l'attention s'est déroulé au Gabon, lors de l'épidémie qui a durement touché le pays entre 2001 et 2002.

En effet, des études ont rapportées que des chiens errants avaient développé des anticorps contre le virus. Selon les chercheurs, ces chiens errants ont sûrement été exposés au virus après avoir mangé des cadavres humains infectés par Ebola.

Ces chiens n'ont développé aucun symptôme. Or, il faut savoir que le virus se transmet uniquement quand les symptômes sont apparus. Vous l'aurez compris, les risques de voir votre chat ou chien contracter Ebola sont infimes.

En effet, il reste assez rare qu'un animal de compagnie se retrouve en contact direct avec les fluides corporels d'un humain. C'est par cet intermédiaire que se transmet le virus d'homme à homme.

Cependant, la communauté scientifique ne sait pas encore si les animaux de compagnie peuvent être porteurs du virus, notamment par leur pelage ou le dessous de leurs pattes.

Il n'est également pas exclu que leurs urines, matières fécales et salive puissent transmettre le virus.

L'euthanasie d'Excalibur aurait-elle pu être évitée ?

Bien que contestée, l'euthanasie du chien de l'aide-soignante, ordonnée par les autorités espagnoles, a fait office de mesure de prévention.

Le département de Santé de la communauté de Madrid a d'ailleurs expliqué ne pas disposer des structures suffisamment sécurisées pour placer le chien en observation. De nombreux scientifiques ont déploré ce comportement jugé comme extrême.

Ils soulignent notamment que des tests plus poussés auraient permis de répondre à de multiples questions et fait avancer la recherche dans la compréhension du virus Ebola.

A Dijon aussi, on a pratiqué

A Dijon aussi, on a pratiqué

A Dijon aussi, on a pratiqué (et assez violemment) la corrida

Encore pratiquées lors des annuelles ferias, on les croyait traditionnellement réservées aux villes du Sud de la France. Pourtant, pendant quelques années, la ville de Dijon a elle aussi eu droit aux corridas et combats de taureaux.

Les Dijonnais en étaient même dingues… avant leur interdiction pure et simple, au tournant du 20e siècle. 5 000 spectateurs au Vélodrome du Parc Tout le monde connait les corridas, notamment en raison des vives polémiques que leur pratique suscite au sein des militants de la cause animale.

Dans l’imaginaire collectif, draps rouges, costumes à paillettes et vachettes évoquent avant tout l’Espagne, Nîmes, Arles ou encore Dax.

Mais qui aurait pu penser qu’à Dijon, ville “nordiste” au demeurant, ce genre d’événement ait pu avoir lieu et rassembler plus des milliers de personnes ?

Ce fut en effet le cas entre 1896 et 1902, lorsqu’une cuadrilla de toreros eu l’idée de proposer ce genre de spectacle à l’occasion des Fêtes du 14 juillet.

A l’instar des cirques ambulants, toute la troupe débarquait chaque année avec décors et animaux aux Vélodrome de Dijon. Pas celui que nous connaissons, mais l’ancien et gigantesque Vélodrome des Allées du Parc, détruit à la fin des années 1920.

Installé à la fin du 19e siècle au moment de l’essor des courses cyclistes, le Vélodrome du Parc était implanté entre les actuelles rues de Longvic, Augustin Chancenotte et Clément Janin.

Dédié aux événements populaires, il pouvait accueillir plusieurs milliers de personnes et bénéficiait de son propre arrêt de tramway. L'entrée du Vélodrome depuis les allées du Parc

L’endroit était donc idéal pour attirer la curiosité et la soif d’exotisme de la population locale. Dès 1897, la presse de l’époque relate que plus de 5 000 billets de tribune à 1 franc seulement ont été vendus pour assister aux courses de taureaux, soit 15% de la population ! Dans le Progrès de Côte-d’Or, le 13 juillet 1897, le journaliste se fait même promoteur de l’événement :

“Les courses de taureaux, sont une fête pour les yeux, et nul ami de l’esthétique aspect des choses ne saurait se soustraire au charme intense de la corrida”.

Plus encore, une parade était organisée à travers toutes les rues du centre-ville, et les costumes du matadore exposés dans les vitrines du Bazar de la Ménagère, rue de la Liberté. Puis, à 15h30 précises, les passes entre toreros et taureaux commençaient, sous la chaleur de l’été. Une fois échaudés par les premières représentations, les Dijonnais amateurs pouvaient, s’ils s’en sentaient le courage, descendre dans l’arène et tenter de décrocher une cocarde rouge fixée sur la tête d’une vachette.

Récompense promise : 30 francs. En 1897, c’est le garçon-boulanger de la rue Monge André Vaillant, 22 ans, qui eu droit aux honneurs. L’année suivante, son excès de témérité lui coûta la rubrique faits-divers et un aller simple vers l’hôpital, “le visage ensanglanté”, “sérieusement blessé à la tête”.

Du pain, des jeux et…du sang Mais soyons honnêtes ; au delà du simple exotisme, c’est bien le spectacle sanguinaire qui fascinait la foule. Lorsque le combat était dangereux ou que le taureau était mis à mort, les Dijonnais hurlaient leur joie. Quand l’animal n’était pas assez vaillant, ils huaient les organisateurs. Voici d’ailleurs comme la presse locale relatait dès le lendemain le spectacle, dans un long article-résumé :

“Après une dizaine de passes de muleta, Felix Robert (célèbre torero, ndlr), d’un coup bien dirigé, plante l’épée presque jusqu’à la garde; l’animal arrête son élan, balance son corps, chancelle à peine une minute et s’abat sur le flanc droit. On applaudit à tout rompre ; le matador parcourt l’arène en saluant. Pendant que les deux chevaux entrainent le cadavre, la foule escalade les barrières et se précipite à gauche de l’arène, où l’animal est tombé”.

Sauf que le taureau n’était pas abattu à chaque combat, ce qui avait le don de provoquer la colère de la foule dijonnaise, qui passée la découverte exotique, exigeait chaque année au en juillet un spectacle plus violent que la fois précédente.

En 1898 et 1899, les résumés de spectacle suivent d’ailleurs l’avis du public, qualifiant de peu intéressant un combat où l’issue n’a pas été fatale pour l’animal… “Emeutes au Vélodrome – Courses interdites” Si bien qu’au bout de quelques années seulement, l’événement qui se voulait populaire a dégénéré. D’année en année, le public exigeait au Vélodrome du Parc un spectacle plus impressionnant, plus sanglant. Jusqu’à ce fameux 6 juillet 1902, où le Progrès titre : “Emeutes au Vélodrome – Courses interdites”.

Avant d’ajouter, non sans une pointe d’ironie : “Deux matadors ont été blessés – l’un assez grièvement – non par le taureau, mais par les spectateurs qui trouvaient qu’ils n’en avaient pas eu pour leur argent”.

La cuadrilla du célèbre matadore Félix Robert, venue plusieurs années à Dijon La cuadrilla du célèbre matadore Félix Robert, venue plusieurs années à Dijon Ayant eu écho de l’événement, la presse parisienne s’en mêle, dénonce – déjà à l’époque – la barbarie de la tradition tauromachique et insulte largement le caractère primaire de la population dijonnaise.

Dès le lendemain, des mesures sont prises : l’administration du Vélodrome annonce l’annulation des spectacles du 14 juillet 1902, remplacés au pied levé par des “courses vélocipédiques et une réunion de course à ânes”.

Dans le même temps, le maire Auguste Fournier fait interdire définitivement les courses de taureaux sur le territoire de Dijon dès le 8 juillet 1902 au motif que “ce genre de spectacles à Dijon est de nature à troubler l’ordre public et peut causer des accidents”. Et la presse locale de conclure, en dessous de l’arrêté municipal : “C’en est fait de notre naissante réputation de sanguinaire sauvagerie.

Nous n’aurons plus l’occasion de nous faire qualifier de cannibales par les journaux parisiens “.

une fillette de 3 ans chute

Publié à 14:22 par fandeloup Tags : enfant fille
une fillette de 3 ans chute

Lyon : une fillette de 3 ans chute du 7e étage et se tue

Une fillette âgée de 3 ans, laissée seule dans l'appartement familial, a fait une chute mortelle du 7e étage d'un immeuble du 3e arrondissement de Lyon (Rhône), mardi soir.

«Vers 18h15, le père de famille a quitté l'appartement en laissant la porte-fenêtre de la cuisine ouverte», a déclaré une source policière mercredi matin.

Selon Le Progrès, qui a révélé le drame, il sortait descendre les poubelles.

«Sa fille de trois ans, laissée seule, serait passée par-dessus la rambarde», a poursuivi la source policière.

Transférée à l'hôpital dans un état grave, l'enfant est décédé vers 21h00.

Le 15 octobre à Saint-Etienne, un enfant de quatre ans, laissé seul devant la télévision par sa mère sortie faire des courses, avait réchappé miraculeusement à une chute de neuf étages, amortie par des arbustes.

adoption

Publié à 14:05 par fandeloup Tags : vie monde chez bonne amour france société heureux internet nature chien chiens
adoption

8 raisons d’adopter un chien dans un refuge

Vous êtes décidé à partager votre vie avec le meilleur ami de l’homme, votre décision est mûrement réfléchie et vous savez que l’adoption est un acte responsable ?

Et bien félicitations, vous allez vivre des instants magiques en sa compagnie faisant votre bonheur commun.

Mais où allez-vous adopter votre futur compagnon ?

Dans notre société de consommation où le chien est encore considéré comme un meuble, malgré d’infimes modifications du code civil récemment, beaucoup sont tentés de se diriger vers la première animalerie ou les petite annonces sur internet.

Alors que des dizaines de milliers de chiens sont abandonnés chaque année en France, pourquoi un tel choix ?

Hélas les chiens peuplant les refuges souffrent d’une double peine :

de l’abandon odieux de leur maître lâche et insensible et des idées reçues qui courent à leur propos, catalogués comme des chiens de refuge vieux et malades, mal éduqués ou encore souffrant de problèmes comportementaux.

Voici huit raisons qui, espérons-le, vous persuaderons d’adopter votre futur compagnon dans un refuge et sauver l’un de ces nombreux chiens victimes malgré eux de la stupidité de leurs « humains » et d’idées fausses :

 

1. Sauver non pas une mais deux vies !

Sauver non pas une mais deux viesOn l’oublie souvent, mais en adoptant un chien dans un refuge, l’adoptant sauve à la fois son futur compagnon et permet au refuge d’accueillir un autre chien, qui connaîtra peut être le même destin heureux. Les refuges font face à une surpopulation de chiens abandonnés et n’ont pas les moyens logistiques nécessaires de tous les accueillir. De nombreuses personnes semblent encore l’ignorer, mais beaucoup de refuges ont recours à l’euthanasie par manque de moyens. Ainsi les plus vieux, les malades ou les chiens catégorisés sont tués par manque de place… En adoptant votre chien dans un refuge, vous libérez une place et sauvez certainement une seconde vie.

 

2. Le privilège de donner une seconde chance et recevoir un amour inconditionnel

L’être humain, de nature, a tendance à « donner pour recevoir » et attendre une contrepartie lorsqu’il effectue une bonne action. Et bien rassurez-vous, un chien abandonné à qui vous donnez une seconde chance vous le rendra à l’infini, chaque jour de sa vie, chaque seconde à vos cotés. Sauver la vie d’un chien de refuge est une immense joie et lui offrir une seconde chance, un privilège devant l’amour inconditionnel qu’il vous témoignera.

 

3. Vous ne financez pas le trafic d’animaux

Vous ne financez pas le trafic d'animauxEn achetant votre chiot dans une animalerie, vous avez de fortes chances de tomber sur un chiot provenant des usines à chiots. Des chiots élevés en batterie et importés illégalement d’Europe de l’est, dans un état sanitaire déplorable, séparés précocement de leur mère et qui risquent grandement de présenter des pathologies comportementales. Rappelons que le trafic d’animaux est le 3ème plus lucratif au monde après le trafic de drogues et la vente d’armes. Avec près de 100 000 chiots et chatons importés illégalement chaque année en France, vous avez donc de grandes probabilités d’enrichir des trafiquants dans le but est de vendre toujours plus et d’augmenter leur marges bénéficiaires au détriment de tout sens moral et de toute considération de la vie animale. Le trafic d’animaux ne concerne pas seulement les animaleries mais aussi les petites annonces de particuliers et certains éleveurs véreux.

 

4. L’assurance d’adopter un chien en bonne santé adopter chien en bonne santé

Les chiens peuplant les refuges reçoivent des soins réguliers, sont à jour de leurs vaccins, vermifugés et stérilisés. Vous avez l’assurance, en adoptant dans un refuge, d’avoir un chien en bonne santé et ayant été régulièrement suivi par un vétérinaire.

 

5. Vous voulez absolument un chien de race ?

Ils sont nombreux dans les refuges ! Vous voulez absolument un chien de race Vous avez craqué pour une race de chien en particulier pour ses traits de caractère ou ses traits physiques ?

Personne ne vous ferra changer d’avis ?

Mais savez-vous que de nombreux chiens de race attendent aussi d’être adoptés dans les refuges ?

Une croyance populaire bien ancrée tend à laisser croire que seul des chiens croisés ou vulgairement appelés « bâtards » sont proposés à l’adoption. Mais de nombreux chiens de race, même rares, attendent d’être adoptés dans les refuges. Alors avant de vous précipiter chez un éleveur ou dans une animalerie, renseignez-vous auprès des nombreux refuges et associations de votre région ainsi qu’au niveau national. En effet, l’économie concédée par l’adoption en refuge vous paiera largement le trajet si vous deviez vous déplacer loin de votre domicile pour adopter votre futur compagnon.

 

6. Vous économisez de l’argent pour offrir un meilleur confort de vie à votre compagnon

Comme nous l’avons vu plus haut, nous vous déconseillons fortement d’acheter un chien dans une animalerie pour les raisons évoquées. Les chiots y sont vendus aux environs de 1000€ alors qu’un refuge ne vous demandera qu’une participation financière aux soins vétérinaires du chien, s’échelonnant entre 150 et 200€ selon l’âge du chien à la SPA. Pourquoi ne garderiez-vous pas ces 1000 € pour offrir un meilleur confort de vie à votre compagnon plutôt qu’enrichir ces supermarchés qui vous octroient même des crédits pour vous vendre un chien en « promotion »? Cette somme pourra financer son assurance santé pendant plus de quatre ans par exemple, à raison de 20€/mois, ou encore payer un abonnement en club canin pour pratiquer agility et obéissance durant plusieurs années.

 

7. Adopter un chien adulte, déjà propre et éduqué

Adopter un chien adulte déjà propre éduqué Un autre avantage de l’adoption en refuge est la possibilité d’adopter un chien adulte qui aura déjà vécu en famille, propre, un minimum éduqué et socialisé. De plus, s’il venait à présenter des problèmes comportementaux à son arrivée au refuge, de nombreux éducateurs canins rééduquent ces chiens bénévolement.

 

8. Vous serez un ambassadeur de l’adoption

En adoptant un chien dans un refuge, vous deviendrez un ambassadeur de l’adoption. Lorsque l’on vous dira combien votre chien est beau et bien éduqué et que l’on vous demandera d’où il vient, vous répondrez fièrement que vous l’avez adopté dans un refuge ! Vous susciterez ainsi l’intérêt de vos interlocuteurs à penser adoption plutôt qu’achat. Pour conclure Chaque adoptant qui a un jour franchi les portes d’un refuge témoignera de ce moment intense et rempli d’émotions qu’a été la première rencontre avec son compagnon adopté.

Cet instant où les regards se sont croisés et cette promesse personnelle et solennelle qu’il ne sera plus jamais abandonné. Ces chiens, que la bêtise humaine n’a pas épargné, sont tout à fait conscients de la seconde chance que vous leur offrirez et vous donneront en retour un amour inconditionnel.

Avez-vous besoin de plus de raisons pour adopter votre futur compagnon dans un refuge ?

Dix ans de prison pour avoir tué

Publié à 11:50 par fandeloup Tags : société photo femme femmes moi
Dix ans de prison pour avoir tué

JUSTICE - Une femme qui a tué son mari en 2012 après des années d’enfer conjugal - faits de coups et d’abus sexuels sur ses filles - a été condamnée mardi 28 octobre à 10 ans de prison ferme par la cour d’assises du Loiret.

Une décision incomprise et dénoncée sur les réseaux sociaux.

L'avocate générale avait requis entre 12 et 14 ans de prison mais sans retenir la préméditation contre Jacqueline Sauvage, 65 ans.

La cour d’assises du Loiret a condamné à 10 ans de prison une femme qui avait tué son mari en 2012.

La raison??

Pendant plusieurs dizaines d’années, elle était battue et ses filles violées par son mari, alcoolique et violent. Le fils, également victime de violences de la part du père, s’était suicidé la veille du geste désespéré de sa mère.

L'avocate générale avait requis entre 12 et 14 ans de prison mais sans retenir la préméditation contre Jacqueline Sauvage, 65 ans, initialement mise en examen pour assassinat, qui a tiré trois coups de fusil dans le dos de son mari le 10 septembre 2012.

Lors de l'audience entamée vendredi, les filles de la victime ont témoigné violemment à charge contre leur père, entrepreneur d'une société de transport, tué à 65 ans.

"On avait peur de lui, il nous terrifiait" "Notre père est décédé et pour moi, c'est un soulagement", a déclaré l'une des filles, violée dès l'âge de 16 ans.

"Il était sans pitié, c'était plus fort que lui", a ajouté sa sœur aînée.

"Il m'a détruite intérieurement, je n'arrive pas à tourner la page", a ajouté la troisième.

Toutes trois ont été violées et battues comme l'était leur mère. Au cours de l'audience, la présidente de la Cour Catherine Paffenhoff a en revanche longuement questionné la passivité de l'épouse face à ce mari tyran, gros consommateur d'alcool, la non-dénonciation des coups, des incestes.

"On avait peur de lui, il nous terrifiait", a répondu l'une de ses filles. Une réponse comprise par beaucoup de femmes qui exprimaient leur soutien via Twitter, mais n’arrivaient pas à comprendre pourquoi, après tant d’années de souffrance et de désespoir, une femme pouvait aller en prison pour ce geste.