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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ce centre commercial a été inauguré en 2003, sa façade est couverte de disques d'aluminium qui lui donnent un aspect futuriste. Sa construction a été le signe d'un renouveau pour la ville de Birmingham.
L'état a engrangé 1,2 million d'euros sur le puçage des chiens, mais c'est illégal: pouvez-vous être remboursé?
La taxe sur la puce des chiens est illégale: peut-on être remboursé?
Au 1er janvier 2013, 4€ sur les 12,39€ de redevance qu'on paye pour faire placer une puce électronique (obligatoire) à nos chiens sont officiellement devenus une « taxe » aux yeux de la loi.
Cette taxe justifiait ainsi discrètement la différence de montants qui existait, depuis fin 2010, entre ce que le prestataire de services prend réellement (7,45€) et les 12,39€ que le citoyen paye.
Or il ne peut jamais y avoir de rétroactivité sur une taxe !
L’Etat a donc engrangé 1,2 million d’euros (4€x300.000 chiens) illégalement. Les citoyens qui ont fait pucer leur chien durant cette période seraient en droit de réclamer ces 4€, comme s'apprêtent à le faire les éleveurs.
Ce drôle d'ananas qui vient troubler la skyline de Macau est un hôtel et un casino de 261 mètres de hauteur. Il a été construit sur le modèle d'une feuille de lotus et inauguré en 2006.
Elle vole un chien pour le secourir
Témoin d'une possible situation de maltraitance envers un chien, une jeune femme de Trois-Rivières a décidé de prendre les grands moyens pour le «secourir».
Voulant aider ce chien qu'elle considérait «extrêmement maigre», Camille Roussel est allée elle-même chercher l'animal chez son propriétaire à Saint-Paulin, ce qui l'expose à de possibles accusations de vol.
Exceptionnel, ce cas a même interpellé le ministre Pierre Paradis qui qualifie ce geste «de bonne foi». Il estime de plus qu'une modernisation de la loi sur le bien-être animal s'impose.
La jeune étudiante en technique de santé animale au Collège Laflèche à Trois-Rivières a à coeur le bien-être animal. Elle est de plus entraîneuse auprès d'une quinzaine de chevaux dans un centre d'élevage de la région.
Camille Roussel n'a pas jugé bon, avant de commettre son geste, de porter plainte auprès des autorités compétentes, dont la Société protectrice des animaux (SPA) Mauricie.
La SPA n'a pas directement le mandat pour intervenir à Saint-Paulin, mais peut tout de même prendre les plaintes. Camille Roussel affirme que son expérience lui a montré que les plaintes logées au ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ) concernant des animaux domestiques ne permettent pas de remédier à ces problématiques.
«Ça fait longtemps que je suis dans le domaine des animaux. Ça fait quelques fois que je fais des plaintes, je sais bien qu'ils ne vont rien faire», lance la jeune femme qui a préféré secourir elle-même l'animal.
Camille Roussel a alors décidé le week-end dernier de débarquer sans prévenir chez le propriétaire du chien avec ce qu'elle appelle son «kit de sauvetage», composé notamment de couvertures et de produits de traitement contre les puces.
«Il était tout content. Je l'ai détaché et je lui ai mis la laisse.» Le propriétaire de l'animal n'était évidemment pas heureux de la situation. «Il est sorti sur son balcon et me criait après, mais je lui ai dit de nourrir son chien», précise la jeune femme qui avoue qu'elle a aussi insulté l'homme.
Par la suite, Camille Roussel a apporté le chien à son lieu de travail, où elle entraîne des chevaux. Selon elle, le chien avait très faim. Elle ajoute que l'animal «avait la peau sur les os» et qu'il avait des plaies au postérieur qu'elle a dû désinfecter.
La vétérinaire Nancy Chauvette, propriétaire de l'Hôpital vétérinaire de Houssart à Trois-Rivières, a observé les photographies de l'animal et affirme qu'il est «en état de maigreur extrême». «C'est ce que nous appelons de la cachexie en termes médicaux», affirme la vétérinaire.
Recherchée pour vol Dimanche, des policiers de la Sûreté du Québec (SQ) recherchaient Camille Roussel pour vol. Ils se sont présentés en soirée à l'écurie où elle travaille pour la rencontrer, mais elle n'y était pas. «J'ai téléphoné à la SQ pour leur dire que j'irais porter le chien», précise Mme. Roussel qui a pris cette décision en discutant avec son père, «un ancien policier de la GRC». «La SQ n'a pas le choix de faire de quoi. Il y a des lois pour les animaux. Mais ce n'est pas ça qui s'est passé lundi matin.
Je suis allée au poste de la SQ avec le chien. La SQ prend le chien et va le porter au propriétaire. Et la policière a bien vu que l'animal était maltraité, mais elle ne pouvait pas le déterminer parce que ce n'est pas sa job.»
Le statut juridique de l'animal est au coeur du problème, estime Camille Roussel.
«Un chien c'est comme un bien matériel. C'est donc comme si j'avais volé une télé», dénonce celle qui n'était pas mercredi formellement accusée. Un geste de «bonne foi», estime le ministre Le ministre Pierre Paradis, qui a réagi après une demande d'information générale par Le Nouvelliste au MAPAQ, est déjà conscientisé à cette réalité.
«La maltraitance des animaux m'interpelle comme humain. Je suis conscient de l'impact social de la maltraitance ou de la cruauté envers les animaux», lance d'emblée le ministre qui a manifesté le souhait de discuter avec Camille Roussel afin de s'assurer que l'animal est traité correctement. Le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation ne peut bien sûr cautionner le geste de Camille Roussel. Il souligne toutefois qu'il espère que «le procureur prenne la bonne décision».
Le ministre qualifie son geste commis dans l'illégalité de «bonne foi». Pierre Paradis prépare une modernisation de la législation entourant les droits des animaux. Sensibilisé au sort des animaux, le ministre, qui a lui-même plusieurs animaux, dont des chevaux, affirme qu'il est impératif de modifier les lois. «Le régime actuel ne fonctionne pas correctement.
Le Québec est dans le peloton de queue sur le plan de sa réalité législative sur le traitement des animaux», soutient le ministre qui précise qu'il a déjà communiqué en ce sens avec sa collègue de la Justice. «Je veux que la législation québécoise se rapproche des trois meilleures législations au Canada.
On entend souvent que le Québec est le meilleur endroit au Canada pour ouvrir des usines à chiots, mais je veux qu'il devienne l'endroit où il est le plus difficile de le faire», ajoute le ministre Pierre Paradis. «Il faut passer de la parole aux actes. Nous n'aurons jamais assez d'inspecteurs, ça nous prend la complicité de la population.»
Surnommé "The Egg", "L'oeuf", le centre national des arts du spectacle de Pékin a été inauguré en décembre 2007. Il a été imaginé par le Français Paul Andreu et son motif évoque le traditionnel "ying et yang".
Lire pour minou
Tous les moyens sont bons pour motiver les enfants à lire. Les élèves de 2e et 3e année de l'école primaire Champlain, à Welland, en Ontario, se sont rendus dans un refuge de la Humane Society il y a quelques semaines pour faire la lecture aux... chats!
Il s'agit d'un projet mis sur pied par Terra Webster, une enseignante de l'établissement qui veut favoriser l'apprentissage de la lecture de manière ludique. Les jeunes, divisés en trois groupes de cinq à sept élèves, se sont présentés au refuge afin de faire la lecture aux félins pendant une demi-heure.
L'objectif était d'améliorer leurs habiletés en lecture sans se sentir jugés par les autres. Les chats sont des auditeurs calmes et, contrairement à d'autres enfants ou à des adultes, ils ne seront jamais critiques quand un enfant fait des erreurs. «Les élèves étaient très excités à l'idée de faire cette activité.
Je leur ai dit que les chats aimaient qu'on lise de manière fluide. Alors, ils ont choisi un livre à leur niveau et se sont vraiment exercés plusieurs fois, et ont ensuite lu leur ouvrage dans la classe», explique Terra Webster. Les enfants ont fait la sélection des livres avec le plus grand sérieux.
Leurs choix se sont surtout portés sur des thématiques félines, mais l'un d'entre eux a carrément refusé de lire un livre au sujet des chiens, car il craignait que cela fasse peur aux chats! «Nous avons également fait le point sur les chats, à propos de leur comportement et sur la manière de se comporter au refuge.
C'était une bonne façon pour moi de les motiver à lire et de leur donner des conseils sur la lecture sans qu'ils s'en aperçoivent vraiment!», précise l'enseignante. Terra Webster a ainsi pu observer un grand changement dans les habitudes de lecture de ses élèves, surtout chez ceux qui avaient le plus de difficulté.
«C'était magnifique! Je voulais tenter l'expérience, car j'ai quelques lecteurs débutants, surtout des garçons, qui ont une faible estime d'eux-mêmes. Pendant deux semaines, j'avais plutôt des garçons qui n'aimaient pas la lecture, mais qui étaient en train de lire pour s'assurer qu'ils seraient assez bons pour les chats.»
Terra Webster Les chats ont semblé apprécier cette visite. Certains, plus réticents, ont préféré garder leurs distances, mais plusieurs se sont approchés des enfants, allant jusqu'à s'asseoir sur eux. La joie se lisait sur le visage des élèves pendant qu'ils lisaient les histoires à leur public animal. Cette activité se poursuivra en juin, mais aussi l'an prochain avec un nouveau groupe d'élèves.
Une méthode populaire Aux États-Unis, la lecture à voix haute à des animaux de compagnie en refuge est de plus en plus populaire. C'est d'ailleurs en Pennsylvanie que cette initiative a le plus fait parler d'elle lorsque des photos d'enfants faisant la lecture aux chats ont fait le tour des réseaux sociaux et des sites web.
En Estonie, des bibliothécaires de la ville de Tartu ont quant à eux «embauché» des chiens. Depuis février, à raison d'une séance par mois, les jeunes lecteurs en mettent plein les oreilles à Tentel, lévrier afghan à poil long, à Elli, golden retriever, et au terre-neuve Leero. En Ohio, aux États-Unis, un programme très original, destiné à lutter contre l'ennui et la tristesse des chiens et des chats du refuge Bitter Root Humane Association, situé à Hamilton, a été lancé il y a trois ans.
Chaque semaine, des enfants rendent visite aux animaux abandonnés, pas seulement pour les caresser et jouer avec eux, mais aussi pour leur faire la lecture afin de les apaiser. Un bel échange entre les apprentis lecteurs et leurs fidèles compagnons à quatre pattes.
Bonne nouvelle en France
Les députés français ont reconnu aux animaux la qualité symbolique d'«être vivant doué de sensibilité», alors que jusqu'à maintenant, le Code civil les considérait comme «des biens meubles». Cette modification législative fait suite à une pétition lancée il y a près de deux ans et qui a reçu le soutien de plusieurs intellectuels.
Au Québec, malgré la mobilisation des défenseurs des animaux , la situation demeure toujours la même. À suivre...
Et non, ceci n'est pas un casino à Vegas mais bien la bibliothèque de Minsk en Biélorussie ! Construite en 1989, elle a la forme d'un petit rhombicuboctaèdre
Un bébé wallaby sauvé d'une vente illégale sur Facebook...
Un australien encourt actuellement une lourde peine alors qu'il a essayé de vendre un petit bébé wallaby sur Facebook...
La vente aux enchères est montée jusqu'à 10 000 dollars australiens, soit environ 6700 euros, avant que le coupable soit attrapé.
Le petit marsupial a été secouru par le service australien des parcs et forêts, de la région Ouest du pays, après qu'un officier se faisant passer pour un acheteur intéressé ait rencontré l'organisateur de cette terrible vente.
Agé de 26 ans, il a ainsi commis cinq offenses à la Wildlife Conservation Act, qui protège la faune et la flore australienne. Il encourt notamment une amende de 4000 dollars pour possession et vente d'un animal protégé.
La vente avait commencé à 3500 dollars. "Nous avons compris qu'il y avait une offre à 10 000 dollars d'un acheteur étranger." a indiqué un responsable.
C'est les plaintes des résidents locaux auprès des autorités compétentes qui a permis d'identifier le responsable. "La communauté qui a été outrée par cet incident montre bien que les gens se préoccupent de la protection de notre vie sauvage. C'est illégal de vendre ou de posséder n'importe quel animal sauvage dans notre région, à moins d'avoir une licence particulière. Il y a un véritable marché noir de la faune et la flore australienne, et ces pratiques doivent être stoppées."
Le petit wallaby a quant à lui été pris en charge par des spécialistes qui vont le ramener chez lui, au Nord du pays, là où il avait été enlevé. On espère maintenant qu'il pourra retourner à la vie sauvage sans trop de traumatisme et qu'il sera possible de localiser aussi sa famille...
Ce parc d'une centaine d'hectares est situé derrière l'hôtel Marina Bay Sand, près de la marina de Singapour. Plus qu'un parc public, il s'agit d'un site étonnant où de vastes structures en formes d'arbre et couvertes de végétation laissent rêveur !