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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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rencontre

Publié à 10:58 par fandeloup Tags : vie amitié
rencontre

Il existe des moments dans la vie qui vous change des lendemains,des petits moments d'échanges qui avec leur mot d'amitié deviennent de grandes espérances .Sur le chemin de l'amitié un jour j'ai eu la joie de te rencontrer,avec des mots d'amitié,de réconfort .Balayer les nuages de ma vie pour mettre sur ce chemin de l'amitié,le soleil pour des moments magiques

regarde

Publié à 10:36 par fandeloup Tags : chien moi mer animal
regarde

Regarde la mer comme elle est agitée, elle est comme moi, très dévastée. Elle est énervée comme si on lui avait fait du mal, elle est comme moi, blessée. Regarde comme elle fait du bruit, elle est triste, elle est comme moi, en colère. Elle bouge tel une louve enragée, tel un animal emprisonnée, elle est comme moi enfermée. Elle n'attend que ça, être libérée.

il loue un hélicoptère pour retrouver son chien

Publié à 10:04 par fandeloup Tags : annonce moi chez jeune message chien livres
il loue un hélicoptère pour retrouver son chien

Grâce aux dons des internautes, il loue un hélicoptère pour retrouver son chien.

Murphy est un jeune Boxer victime de sa propre curiosité. Trop enthousiaste lors d’une promenade avec son maître dans le parc national anglais du Lake District, le chien profita d’un moment d’inattention pour s’enfuir en courant en direction d’un troupeau de moutons. Sourd aux appels d’Owen Blythe, son propriétaire, Murphy disparut rapidement de son champ de vision et ne revint pas.

Déterminé à retrouver son Boxer, qu’il n’avait pas réussi à retrouver seul dans les 2 280 km² de terrain du Lake District, M. Blythe fit appel à une équipe de sauvetage, la Patterdale Mountain Rescue. En tout, il passa cinq jours à chercher Murphy, mais en vain : le chien avait disparu sans laisser de trace dans les vastes vallées du parc national.

Retrouver Murphy à tout prix M. Blythe était sur le point d’abandonner quand, en dernier recours, il envoya un appel à l’aide sur Facebook. Il posta son message sur sur la page de The Notts and Yorkshire Boxer Rescue (un groupe d’aide aux Boxers dans les régions du Yorkshire et du Nottinghamshire en Angelterre).

Jamais il ne se serait douté du buzz, aussi impressionnant qu’imprévisible, que provoquerait son annonce.En effet, relayé sur Twitter par des célébrités telles que l’actrice Jessica Biel ou la présentatrice Claire Balding, l’appel de M. Blythe a touché un grand nombre de personnes.

Sous le choc de l’ampleur prise par son message, le propriétaire de Murphy constata que les dons s’élevaient à 1 000 livres sterlings (plus de 1200 euros). Soit assez d’argent pour engager un pilote d’hélicoptère pour l’aider à retrouver son chien.

Une vision inespérée C’est donc dans la journée de samedi que M. Blythe s’est envolé pour parcourir la région depuis le ciel, dans l’espoir qu’un peu de hauteur l’aiderait à apercevoir l’animal.

Et c’est en passant pour la troisième fois au-dessus de la zone où Murphy avait échappé à son maître que le miracle arriva. Sous leurs yeux, au milieu d'une vaste étendue d'herbe, se trouvait le jeune chien perdu.« Nous l’avons vu allongé dans l’herbe.

Il a levé les yeux vers nous, il s’est assis, mais il n’a pas bougé », raconte l’homme, comblé. « Puis nous nous sommes posés dans un champ un peu plus bas et j’ai pu le prendre dans mes bras et le tenir contre moi ».

Murphy avait perdu cinq kilos après tant de jours passés sans manger, mais ne semblait pas avoir souffert d’autre chose que de la faim pendant son escapade.

Et c’est avec un bonheur immense que son maître a ramené chez lui le jeune Boxer.

sourire

Publié à 09:12 par fandeloup Tags : sourire
sourire

Le sourire est universel et n'a aucune frontière. Il ne s’arrête pas à la couleur de peau, de race, de nation.

cochon

Publié à 08:57 par fandeloup Tags : heureux
cochon

Vous auriez le courage de le tuer pour le manger ? Je le préfère heureux, curieux, joyeux plutôt qu'en saucisse.. Et vous ?

honteux

Publié à 08:49 par fandeloup Tags : société photo texte france
honteux

J'ai HONTE de cette France, J'ai HONTE de cette société, Cette photo est une ignominie pour nous, les humains.

Elle est l'aboutissement de notre dés-évolution vers le pire. Ils meurent de faim ? Qu'ils meurent, mais plus vite alors !

Ne leurs laissons surtout pas continuer à vivre avec nos invendus, avec notre gaspillage !

Et je reprendrais ce texte tellement il va bien à nos "politicards' pourris (26.000 € de primes de départ, rappelez vous..) "J'aimerais être cannibale, non pas pour manger l'Humanité, mais pour pouvoir la vomir !"

un pas « totalement symbolique »

un pas « totalement symbolique »

Les animaux reconnus comme « êtres sensibles », un pas « totalement symbolique »

C'est une formule qui n'avait guère changé depuis la création du code civil napoléonien, et pourrait être modifiée prochainement : mardi 15 avril, les parlementaires ont adopté un amendement socialiste qui reconnaît les animaux non plus comme des « biens meubles », mais comme des « êtres vivants doués de sensibilité ».

Une évolution à laquelle près de 90 % des Français sont favorables, selon l'association 30 Millions d'amis. Cet apparent progrès est toutefois accueilli avec un certain scepticisme chez des écologistes, comme la députée EELV Laurence Abeille, tout comme chez des défenseurs des droits des animaux.

Entretien avec Jean-Marc Neumann, juriste, auteur du blog Animaletdroit.com, et vice-président de la LFDA (Fondation droit animal, éthique et sciences).

Si cet amendement est définitivement adopté, qu'est-ce qui va changer concrètement pour le droit des animaux ?

Quelques phrases dans le code civil, mais rien sur le fond. C'est totalement symbolique, il s'agit juste d'une harmonisation du code civil.

Au final, l'animal sera, avec cet amendement, toujours soumis au régime des biens corporels. On peut rappeler que, contrairement à ce qui a été dit, l'animal n'était déjà plus considéré comme un meuble au même titre qu'une chaise.

Quand vous cassez le pied d'une table, il ne vous arrive rien sur le plan pénal, alors que quand vous cassez la patte d'un chien intentionnellement et de façon cruelle, vous encourez deux ans de prison et 30 000 euros d'amende.

Donc cela ne changera pas les comportements envers les animaux, qui pourront toujours être vendus, loués, exploités... Les pratiques les plus cruelles, comme la corrida, la chasse à courre, les combats de coq, l'abattage rituel ou certaines formes de pêche ou d'élevage, ne sont pas du tout remises en cause.

Certains espèrent que les juges seront plus sensibles aux affaires concernant les animaux, mais je pense qu'ils faisaient déjà la différence entre une chaise et un animal. A vrai dire, cet amendement, présenté en catimini au détour d'un vaste projet de loi par les députés du groupe PS, m'a beaucoup surpris. Il donne un peu l'impression de sortir tout d'un coup d'on ne sait où.

Il ne semble pas avoir fait l'objet d'une longue réflexion sur le fond. Or en pratique, l'effet qu'il pourrait avoir, c'est de clore le débat pour les années à venir, sans apporter de réponse adaptée et complète au problème du statut des animaux.

Mais déjà faudra-t-il qu'il soit définitivement adopté, et accepté par le Conseil constitutionnel, ce qui n'est pas gagné. Car on peut le considérer comme un « cavalier législatif » : on peut lui reprocher de ne pas avoir de lien direct avec le projet de loi global dans lequel il s'insère, à savoir la « modernisation et la simplification du droit et des procédures dans les domaines de la justice et des affaires intérieures ».

Que préconiseriez-vous pour améliorer de manière efficace le droit des animaux ? L'idéal serait une grande loi de protection de l'animal, qui remettrait tout à plat. A défaut, il faudrait au moins une proposition beaucoup plus complète, qui ne concerne pas uniquement le code civil, mais harmonise les différents codes : pénal, rural, environnemental.

Par exemple, même si cet amendement est adopté, le code civil continue d'exclure de son domaine les animaux sauvages. Ceux-ci sont pris en compte par le code de l'environnement. Or ce code ne reconnaît pas leur sensibilité.

Il ne les considère pas non plus comme des individus mais comme des espèces, tantôt nuisibles ou protégées. Actuellement, un animal sauvage voit sa sensibilité reconnue tant qu'il est tenu captif, dans un zoo ou un cirque par exemple, mais si le même animal s'enfuit, il n'existe plus juridiquement et n'est plus protégé en tant que tel. C'est complètement aberrant.

Une idée serait déjà de reconnaître la sensibilité de l'animal sauvage vivant en liberté. Ensuite, le code pénal ne reconnaît pas officiellement l'animal comme un être sensible, mais seulement implicitement. Les atteintes aux animaux sont classés à côté des infractions contre les personnes et les biens, dans le chapitre « autres délits ».

Et ces actes de cruauté sont moins sanctionnés qu'un vol simple d'un bien. Il faudrait donc apporter des aménagements à ce code pénal. Quant aux animaux d'élevage, ils sont régis par le code rural, qui est le véritable code animalier, celui qui détermine la façon de les entretenir, de les élever, de les soigner, etc.

Or ce dernier reconnaît déjà l'animal comme être sensible depuis la loi sur la protection de la nature de 1976. Pour autant, cela ne l'empêche pas de considérer, en gros, que leur souffrance est utile car nécessaire à l'alimentation de la population.

Bref, la question, pour qu'il y ait un véritable changement, c'est de savoir dans quelle société on veut vivre : est-ce qu'on veut poursuivre l'exploitation ou la souffrance animale, ou est-ce qu'on est prêts à certains efforts et sacrifices ?

C'est d'abord un débat sociétal qu'il faut avoir, et une discussion avec les éleveurs, les chasseurs, les pêcheurs... L'idée, ce n'est pas de remettre totalement en cause nos modes de vie du jour au lendemain, mais on peut déjà poser des garde-fous pour éviter les pratiques les plus choquantes et les moins respectueuses des animaux, et mettre en cohérence les différents codes.

Lire le décryptage : Les animaux sauvages bientôt chassés des chapiteaux ?

Le code civil concernant le droit des animaux est-il si rétrograde en France ?

En réalité, il y a eu pas mal d'évolutions depuis 1804 et le code civil napoléonien. La dernière date du 6 janvier 1999, qui distingue, dans l'article 528, l'animal des autres corps inanimés. Mais les avancées les plus remarquables ont surtout concerné le code pénal et le code rural.

Au niveau pénal, la dernière évolution a eu lieu en 2006 : on a instauré une peine complémentaire pour les actes de cruauté envers les animaux. La première fois qu'on a sanctionné la maltraitance envers les animaux, c'est en 1850, avec la loi Grammont. Grammont était un général qui était choqué de voir des chevaux, utilisés alors comme moyens de locomotion, maltraités sur la voie publique.

Sa loi ne concernait que les mauvais traitements exercés sur les animaux domestiques en public : en fait, elle visait plutôt la protection de la sensibilité humaine que celle de l'animal. Il faut attendre 1959 pour que les sanctions soient étendues à la maltraitance dans la sphère privée.

Le délit pour acte de cruauté [envers les animaux domestiques, apprivoisés ou en captivité] est établi en 1963. En 1999, ces actes de cruauté sont plus lourdement sanctionnés, jusqu'à deux ans de prison [et 30 000 euros d'amende].

Enfin, en 2004, les sévices sexuels sur animaux sont ajoutés aux actes de cruauté – qui comptaient aussi l'abandon. Mais même avec ces évolutions, on peut dire que la France reste plutôt à la traîne en Europe. Souvent, les quelques progrès y ont été imposés par l'Europe, par exemple sur l'expérimentation animale [Bruxelles a notamment interdit en 2013 les tests sur les animaux pour les cosmétiques vendus en Europe].

Et Paris s'est toujours fait remarquer pour sa lenteur à transposer et appliquer les directives, comme avec la directive oiseaux : des périodes d'ouverture de chasse ne sont pas conformes aux textes européens, malgré les sanctions.

Finalement, quelle que soit l'ambition théorique affichée, la réalité est bien souvent différente.

En Suisse ou en Allemagne par exemple, la protection de l'animal est inscrite dans la Constitution – or les progrès en pratique ne sont guère perceptibles.

 

SUISSE. Bientôt un Smic à 3.240 euros

Publié à 07:27 par fandeloup Tags : monde article 2010 travail google revenu vie
SUISSE. Bientôt un Smic à 3.240 euros

SUISSE. Bientôt un Smic à 3.240 euros

La Suisse pourrait adopter par référendum un salaire minimum à 3.240 euros.

Moins d'un salarié sur 10 serait concerné, car les salaires suisses sont déjà très élevés.

La Suisse pourrait adopter pour la première fois un salaire minimum... à plus de 3000 euros.

Le chiffre a de quoi faire rêver plus d'un salarié européen : la Suisse pourrait adopter par référendum l'instauration d'un salaire minimum à 4.000 francs suisses, l’équivalent de 3.240 euros.

Bien loin donc du Smic français, qui lui s’élève à 1.445 euros bruts. Ce sont deux syndicats helvétiques, l'Union des Syndicats Suisses (USS) et l'Unia, qui ont proposé la mise en place de ce salaire minimum soumis au vote des citoyens le 18 mai prochain.

Pour l’instant, il n’existe pas de Smic suisse, et chaque convention collective fixe sa propre grille de salaires. Moins d'un salarié sur 10 concerné L’objectif de cette "initiative populaire" :

créer "du pouvoir d’achat, de nouveaux emplois et plus de dignité au travail". "Tout le monde en profitera : les patrons qui rétribuent correctement leur personnel n’auront plus à craindre une concurrence déloyale, les contribuables ne devront plus payer l’addition à travers le financement de l’aide sociale et les personnes concernées vivront mieux", peut-on lire dans le communiqué d’un des deux syndicats. Pourtant, ce Smic ne concernerait qu’une minorité de salariés suisses, puisque seulement 9% d’entre eux perçoivent un revenu inférieur à 3.240 euros. Les salariés suisses sont en effet les mieux payés du monde :

le taux de chômage n’y est que de 3,3% et le salaire médian atteignait 4.845 euros en 2010. Mais certains cantons et certains secteurs sont encore plus privilégiés : les fonctionnaires par exemple gagnent en moyenne 7.200 euros par mois.

Cela est notamment dû au coût très élevé de la vie en Suisse, aussi bien pour le logement et l’alimentation que les soins médicaux. La droite et le patronat voteront non Le projet n’est pas du goût du patronat et de la droite suisses. Dans une violente offensive, ils dénoncent l'instauration un "salaire minimum le plus élevé du monde" qui aurait pour effet de "nuire" au "succès" du pays et d'attirer trop de frontaliers.

Johann Schneider-Ammann, ministre de l'Économie et ancien entrepreneur, s'est lui aussi opposé à cette initiative, rapporte le Point. Le Parlement et le Conseil fédéral, le gouvernement suisse, ont également appelé à dire non : "un salaire minimum fixé par l'État n'est pas le bon moyen de soutenir les personnes à faible revenu", affirment-ils.

Pour le gouvernement, un Smic "rendrait plus difficile l'accès au monde du travail pour les personnes peu qualifiées et les jeunes." Les citoyens, eux, sont divisés : selon un sondage relayé par les médias suisses, l'initiative populaire serait rejetée à 52%.

Le Smic suisse pourrait bien rester au stade de doux rêve.

bonne nuit

Publié à 21:26 par fandeloup Tags : bonne nuit bonne nuit

attirer

Publié à 21:17 par fandeloup Tags : vie
attirer

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