Fandeloup

Coucou, je suis un petit hommevert Je fais de temps en temps un tour sur Terre Dans ma silencieuse soucoupe volante Je vole à une vitesse impressionnante

Je sens passer souvent le vent glacé de tant de solitudes meurtries, heurter mes épaules voutées de tant d'incertitudes subies. Je sens frémir souvent le vent sournois de tant d'angoisses rentrées, gifler mon visage froid de tant de pleurs freinés. Je sens mugir souvent le vent de la colère de tant de mots galvaudés, déchirer mon ame solitaire de tant de reves inachevés.

Je ne suis nulle part..Je n'existe plus..Les gens continuent leur chemin sans meme me voir. Pas un mot,pas un regard  

Sublime solitude de l’âme voyageuse de pérégrinations cosmiques à l’exil en son être.

Pleurer ...crier de souffrance mais sans voix.J'essaye de rester en vie malgré que j'ai perdu mon coeur. La mort ne m'inquiète pas,mais c'est le silence qui me fait peur.. Le bruit s'invite dans mon chenil pour quelque secondes,puis le silence colonise à nouveau mon monde. J'entends quelques voix qui m'avaient promi de rester. Les battements d'un coeur qui a juste voulu me tester .Trop de "je t'aime" qui étaient juste une belle rime. Beaucoup de baisers qui ont fait de moi la victime.Mais après toutes ces choses...le silence revien et plus fort .Je vois ruisseler mes larmes par terre .Je vois se dessiner sur le mur les images des plus chers. Le silence m'acompagne et je suis incapable de l'éloigner. Et c'est tragique de savoir que celui qui ma aimer,ma aussi abandonner

J'irai dormir au cimetière sur le cercueil d'une rose bleu. Sentir le calme de l'air,et le frisson de quelques branches .J'irai m'étendre aux amours perdus, pour y croiser l'inaudible qui veille, avant que les vivants ne me tuent. De rien de tout , sommes tous pareils. J'irai à la tombe la plus modeste.Brisant de vie fini au calme. Un moment oublier que tu me séquestres,toi monde de douleurs et de drames

A l'ombre de ce ciel gris,je traîne ma triste vie. Marionette démantibulée, enchaînnée à son sort, je supplie le ciel de me délivrer, un souffle s'échappe de mes lèvres closes, les yeux embués de tant de larmes si longtemps refoulées... un torrent de misère s'écoule dans mes veines enflammés, et déculpe mes émotions .Je suis assis au bord du précipice, je regarde le vide, y déverse ma mélancolie, elle flotte un instant au dessus de ce corps meurtri et s'éparpille comme la lave au pied du volcan ,formant une tâche rougeoiyante et incandécente, ces souvenirs qui s'embrasent atteignent mon ♥ qui tressaute comme un fou, un étau serre ma poitrine au comble de l'explosion, la gorge sérrée je les regarde disparaîtrent dans ce brasier, je devrais ressentir un soulagement, une délivrance mais mon âme saigne, et rejoint cette flaque visqueuse, je m'évapore ,me dissout,me délecte de ce bain salvateur, j'aspire à cette fin si longtemps attendue

BONNE NUIT A TOUS

Je me suis égaré sur les chemins de l'incertitude. Des larmes à la peur, je suis devenue solitude. Pensant ne plus maîtriser le cours de ma vie,je n'étais que l'ombre de moi-même en survie,ressentant la servitude de tout ce qui m'entoure,et la souffrance de ne plus voir un nouveau parcours .Je me suis perdu dans les méandres de mon existence,au souvenir d'un passé douloureux et sans confiance .N'ayant plus de repaires, je me suis réfugié dans mes douleurs,sans écouter l'espoir se trouvant enfoui en mon intérieur. Mes sentiments se sont mélangés, ont semé en moi la confusion .Ce fut le malheur de mon âme en perdition dans l'incompréhension.À la fatalité de ma destiné, j'ai perdu la force du combattant .L'esprit noirci de questions sans réponses, j'ai fait mon bilan Je cherche la source qui me donnera le courage de continuer. À trouver un sens à mon existence et l'énergie d'avancer

On est si peu de choses. On s'égare et on dépose sur des lèvres des baisers ou des ecchymoses. Tu sais le temps nous presse, se joue de tout sans cesse, se fou des départs, des ♥♥ en détresse. Alors dors, ne t'en fais pas. Dors je reste là .Ne t'en fais pas .Apprends à tout tout donner et à ne rien gacher,car quand viendra l'heure,les remors et les regrèts chercheront a nous hanter .Alors rêves, dors ne t'en fais pas, je reste la tout contre toi...Rêves...Rêves...