aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Pour terminer cette journée comme nous l’avions commencé, comment ne pas finir en compagnie d’un doux petit lutin, qui réveillé lui par les heures qui doucement se sont écoulées, vient tendrement nous accompagner pour nos voyages des rêves lointains, tout en faisant le pitre pour faire naitre un dernier sourire avant d’entamer cette nuit vers nos multiples rivages et désirs.
Des lueurs qui s’allument peu à peu sous la marche de la lune et de son obscurité,qui chaque soir prennent leurs quartiers dans nos petites demeures de vie, un doux son paisible peut être imaginé comme une douce symphonie pour le bonheur de nos sens qui se mettent un peu au repos ,et qui par celui de l’imagination de nos âmes d’enfant créant un nouveau monde, fait que d’une lumière, d’un néon de rue, d’une étoile ou d’une bougie, nous ressentons le monde prendre une autre dimension sur l’infini, Lorsque nous mettons dans nos iris un peu de musique dans sa ronde.
Immobile sans un bruit portant en toi ce mystère de tes chemins traversés,tu restes dans l’ombre en cachant ce visage pour éviter de ne plus subir le pouvoir de la vie ou de la convoitise qui ont mordu ta chaire au plus profond de tes soupirs .Sous le murmure de ces guerres du temps, sous l’apprentissage du passé qui inlassablement te pousse à masquer ce que l’on pourrait désirer, de ce que le regard posé voit avant de pénétrer ce que tu peux réellement offrir, et qui du modelage de ton visage qui doucement a dû être caressé par la vie tel un plaisir, fait que tu essayes tout simplement de vivre pour toi et non pour ce que l’on veut posséder. Alors tu restes blotti pour éviter la moindre pression de ces hommes ,qui sous la moindre brèche que tu ouvrirais, s’engouffreraient tels des vautours, pour profiter de la moindre faille de ta carapace à la tombée du petit jour, et faire que tu deviennes l’offrande de vie des pulsions de leurs corps affamés
Regard posé sur cette journée qui de ses yeux se portant sur l'horizon donne l'espoir à l'âme naissante au moindre son du murmure de vie et de ses rivages rêvés.Alors va petit regard sur tes multiples paysages,pour caresser tes sens sur la flamme de tes sourires, et faire que le moindre écho de ton rire
Les refuges redoutent les traditionnels retours d'animaux en Janvier
On a tous cette belle image en tête : des enfants ouvrant un gros carton où se trouve à l'intérieur un adorable chiot au pied du sapin...
Mais à la vue du nombre des animaux abandonnés qui tombe chaque année en Janvier, l'animal comme cadeau de Noël est définitivement une très mauvaise idée.
« Avec la crise, il y a des gens qui réfléchissent à deux fois avant de prendre un animal. Ils savent que ça sera un investissement en temps et en argent. » explique une bénévole de la SPA d'Haguenau. Mais tous n'y réfléchissent pas autant, ainsi les refuges voient de plus en plus d'animaux arriver chaque année, contre de moins en moins d'adoption...
« Les gens craquent pour un animal et le jour où il tombe malade, ils se rendent compte qu'ils n'ont pas les moyens financiers de l'amener chez le vétérinaire pour le faire soigner... alors il finit chez nous. »
L'animal offert comme cadeau de Noël peut également être synonyme d'élevage trop rapide, par exemple, les éleveurs peu scrupuleux se dépêcheront de mettre les dernières portées sur le marché, à peine sevré juste pour que les animaux soient offerts à temps pour le 25 Décembre...
Ce qui engendre beaucoup de troubles de comportement chez l'animal.
Ainsi, les chiffres de Janvier sont redoutés : désormais on retrouve en refuge des races que l'on ne voyait pas il y a quelques années : Rottweilers, Labradors, Malinois, Cockers, et également des races de chat.
Pour ceux qui pensent encore que les animaux non humain n'ont pas de conscience et ne souffrent pas...A méditer et "si possible" changer votre façon de consommer.
Paul Watson :
"Les défenseurs de l'environnement sont considérés comme des terroristes potentiels" C'est la première fois qu'il revient sur ses quinze mois de cavale en mer depuis qu'il a retrouvé la terre ferme aux Etats-Unis, le 28 octobre.
A bientôt 63 ans, Paul Watson, qui possède la double nationalité canadienne et américaine, reste un eco-warrior, un défenseur farouche des océans.
Adolescent, ce héros des défenseurs de l'environnement militait contre la chasse aux phoques.
Il n'a jamais cessé depuis d'aller défier les baleiniers japonais pour les empêcher de capturer les mammifères marins.
Plusieurs fois, les navires de Sea Shepherd, son organisation, forte d'un équipage international de 120 membres, ont été éperonnés. Son militantisme lui vaut d'être poursuivi par Interpol.
Arrêté en Allemagne en mai 2012, il réussit à s'enfuir alors que ses deux passeports lui avaient été confisqués. Il affronte aujourd'hui la justice américaine et souhaite être accueilli par la France, avec laquelle il est en train de négocier.
Pourquoi vous êtes-vous enfui d'Allemagne ?
Paul Watson : J'ai quitté Francfort le jeudi 26 juillet 2012 car quelqu'un du ministère allemand de la justice m'a prévenu qu'on allait m'extrader vers le Japon le lundi suivant sans passer devant un juge. Je n'avais guère le choix. Le dimanche, je suis parti pour les Pays-Bas et j'ai pris un bateau. J'ai traversé l'Atlantique, puis le Pacifique et, le 29 novembre, j'ai rejoint mon bateau, le Steve-Irwin, aux îles Samoa. De là, nous avons piqué vers le sud pour notre campagne contre les baleiniers japonais dans l'Antarctique. Je suis finalement retourné à Los Angeles par la mer, le 28 octobre 2013.
Comment êtes-vous entré sur le territoire américain ?
Sans aucun problème. Mon avocat avait négocié avec le gouvernement américain. La famille Kennedy m'a beaucoup soutenu. J'ai hésité entre les Etats-Unis et la France. Ce sont, je crois, les deux seuls pays où je pouvais bénéficier d'une procédure équitable. Je ne dis pas : « Ne m'extradez pas au Japon », je veux juste avoir le droit d'expliquer ma position avant qu'une décision soit prise à mon égard. Mon avocat, William Bourdon, est très optimiste sur la possibilité que la France m'accueille. Nous y avons beaucoup de soutiens, plus de 100 000 personnes ont signé une pétition pour que je puisse venir. Mais je vais devoir obtenir l'autorisation des Etats-Unis auparavant.
Que va-t-il se passer avec la justice américaine ?
Je ne sais pas exactement. J'ai vu un juge le 6 novembre, à Seattle. Je dois rester à la disposition des autorités. Mais l'affaire n'est pas finie. Je figure sur la liste rouge d'Interpol, initialement à la demande du Japon, du Costa Rica et de l'Allemagne. Mais ces deux derniers pays ont laissé tomber depuis. Je ne comprends pas pourquoi je me retrouve sur la même liste que des assassins, des terroristes, juste parce que je veux sauver quelques baleines. C'est une affaire politique, certainement pas criminelle. Les défenseurs de l'environnement sont les nouveaux ennemis. Au Canada, ils sont considérés comme des terroristes potentiels. Aux Etats-Unis, la liste du FBI les place, avec Al-Qaida et les militants des droits des animaux, parmi les menaces terroristes intérieures les plus importantes.
Pourquoi être resté si longtemps en mer ?
Cela a été long avant de savoir si je pouvais rentrer. Entre-temps, nous avons obtenu une déclaration sous serment du membre d'équipage de Sea Shepherd qui prétendait que je lui avais ordonné de monter sur un navire japonais. Il est désormais clair qu'un accord avait été passé entre lui et Tokyo. Les autorités japonaises le menaçaient de la prison s'il ne m'accusait pas. Il a fini par déclarer sous serment avoir menti. Sea Shepherd n'a jamais fait le moindre mal à personne. Nos adversaires détruisent nos bateaux, blessent nos membres, nous poursuivent devant des tribunaux et nous ne pouvons rien faire…
Que savez-vous sur les liens entre le Japon et le Costa Rica vous concernant ?
Je sais que le Costa Rica a réclamé mon arrestation dix jours seulement après une rencontre entre son président et le premier ministre japonais. Ils ont alors remis sur la table des faits vieux de dix ans, à savoir une action de Sea Shepherd contre des braconniers costaricains pour laquelle un non-lieu avait été prononcé. Le Costa Rica pratique le shark finning : ils envoient environ 30 tonnes d'ailerons de requins chaque année en Chine tout en rejetant le reste des carcasses par-dessus bord. Cela ne les réjouit pas que nous le fassions savoir. Qui plus est, le Costa Rica est un pays très dangereux. En mai, Jairo Mora Sandoval y a été assassiné pour ses actions de protection des tortues de mer et ce n'est pas le seul meurtre de ce type ces dernières années.
Pourquoi les Japonais continuent-ils la chasse à la baleine ?
Leur industrie de la pêche veut continuer à tuer des baleines, même si la viande lui reste sur les bras et part dans la nourriture pour chiens. Car, si le Japon cède sur ce point, il devra également fléchir sur le thon rouge. Tokyo veut aussi – comme tout le monde – mettre le pied dans la porte de l'exploitation économique de l'Antarctique. Le Japon est l'une des nations qui exploite le plus nos océans, sans penser au futur. Considérez-vous toujours le sort des baleines comme le thème le plus mobilisateur pour sauver les océans ? Elles captent toute l'attention mais il y a beaucoup d'autres problèmes. Nous nous battons contre la chasse massive des requins, des phoques ou des tortues… On essaie de travailler avec les gouvernements, avec l'Equateur par exemple, pour protéger les îles Galapagos, avec ceux d'Afrique de l'Ouest dans la lutte contre la pêche illégale. Sea Shepherd France est leader dans cette campagne au Sénégal, et au Liberia. Si nous ne sauvons pas les océans, nous ne nous sauverons pas nous-mêmes. Si l'océan meurt, nous mourrons. Voilà mon seul message. Je viens de passer du temps en Australie sur la Grande Barrière de corail. Plus de la moitié est déjà morte. C'est vraiment déprimant. Ces quatre derniers mois, j'ai contribué à collecter des ordures dans des régions isolées du Pacifique Sud. Nous en avons ramassé des tonnes. Sur n'importe quelle île déserte, vous retrouvez du plastique.
Comment réagissez-vous au sort des « 30 » de Greenpeace incarcérés en Russie ?
Pendant des années, j'ai mis en cause Greenpeace comme une organisation inutile. Je dois reconnaître que je les soutiens à fond maintenant. Là, ils ont vraiment pris position. Et c'est admirable. De manière tout à fait surprenante, la justice russe s'est basée sur l'opinion d'un juge américain qui me qualifiait de pirate pour attaquer à son tour Greenpeace pour des faits de piraterie… Et tout cela, juste pour avoir brandi une banderole de protestation. Malheureusement, l'accusation a changé. A mon avis, il aurait été plus facile pour les militants de Greenpeace de se défendre de ce chef d'inculpation-là plutôt que de celui de vandalisme. Cette affaire peut réveiller l'opinion publique. Pour les compagnies pétrolières, c'est une façon de lancer un message fort, de prévenir qu'elles ne toléreront pas la protestation. Or ce sont elles qui dirigent le monde, des Etats-Unis à la Russie, en passant par la Chine.
Cruauté envers un animal domestique : un chien jeté par la fenêtre à Fourmies
Encore une fête qui a tristement mal tourné, samedi dernier à la Tour Bellevue de Fourmies et c’est une pauvre petite chienne qui en a fait les frais.
Au cours d’une soirée bien arrosée, le propriétaire a balancé son bouledogue femelle noir d’un an et demi par dessus le balcon de son appartement.
Tombé du septième étage, l’animal n’a pas survécu. Placé en garde à vue, l’homme a reconnu les faits et devra répondre de ses actes devant la Justice.
La Société protectrice des animaux (SPA) Grande Thiérache d’Hirson et la Fondation Brigitte-Bardot de Paris se sont portées partie civile.