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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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langage

Publié à 10:26 par fandeloup Tags : vie chez amour mort heureux nature animaux
langage

J'entre dans ce "langage pur", qui est le langage des animaux eux-mêmes, et qui s'exprime à travers les cinq sens, plus l'émotion. Tout être vivant possède ce langage. L'être humain l'a perdu en cours de route, mais les traditions anciennes le possédaient, tout comme celles qui aujourd'hui vivent encore proches de la nature. Chez nous, en Occident, ce langage n'est pas tout à fait mort, mais il faut apprendre à se reconnecter à lui. ...j'ai aussi appris que la vie était faite pour être heureux. J'ai pris beaucoup de temps à comprendre cela. Les moments de joie les plus forts sont ceux de mes extases, mais j'ai appris à trouver la joie dans toute les expériences de la vie. Si je peux amener les gens à avoir ce goût-là sur le bout de la langue, je suis heureuse. La seule chose réelle est cet amour infini que j'ai ressenti. La seule chose qui peut permettre de changer notre vision, c'est de nous relier à cet amour. je tente juste d'être un porte-parole pour transmettre cela..."Aimez les animaux ils vous le rendront.

balayeuse

Publié à 09:28 par fandeloup Tags : société mort travail artiste
balayeuse

Lors de l'hommage rendu à Louis Vert en 1925, quelques mois après sa mort, la société d'Excursions des Amateurs de Photographies soulignait la qualité du travail de cet artiste amateur. "L'instantané en photographie n'est pas toujours facile et bien que nombre d'amateurs le pratiquent couramment, bien peu arrivent à des résultats vraiment intéressants

bonne nuit

Publié à 20:07 par fandeloup

vendeuse de légumes

Publié à 19:54 par fandeloup Tags : collection société
vendeuse de légumes

Au début du XXe siècle, le photographe Louis Vert a capturé des images touchantes du "petit peuple" parisien. Des clichés en noir et blanc à redécouvrir aujourd'hui, grâce à la société française de photographie, qui nous ouvre sa collection. Ici, une vendeuse de légumes, avec sa carriole et sa balance. A l'arrière-plan, on remarquera des annonces pour des cours de dessin$ et de chant. Et la date : nous sommes en 1906.

nature

Publié à 19:32 par fandeloup Tags : heureux nature
nature

La nature a voulu que nous n'ayons pas besoin d'un nombreux attirail pour être heureux ; chacun de nous est en mesure de faire son propre bonheur. Les choses extérieures ont peu d'importance.

vendeuse de ballons

Publié à 19:20 par fandeloup
vendeuse de ballons

Ce cliché permet d'observer, plus de 100 ans après, les tenues portées par les marchandes ambulantes du début du XXe siècle. Et un landau d'époque.

humour

Publié à 19:08 par fandeloup
humour

CHUT ON NOUS REGARDE

quand

Publié à 18:51 par fandeloup
quand

Quand la souffrance prend la place sur le bonheur, quand le soleil donne sa place à la pluie, quand les larmes prennent le pas sur les fou-rires, quand le noir remplace la lumière, quand l'immortalité ne redevient qu'un fantasme fou, on se dit que le passé ne pourra jamais remplacer l'avenir...quand en à peine une seconde un etre passe du présent à l'imparfait...

fiona rip

Publié à 18:10 par fandeloup Tags : éléments nuit fille internet nature mort amis enfants homme france chiens
fiona rip

Plus de cinq mois après la disparition de Fiona, de nouveaux soupçons pèsent sur la mère de la fillette.

Cécile Bourgeon "n'était pas dans le parc" de Montjuzet, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), où la fillette est censée avoir disparu, selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP.

Cet élément contredit la version donnée par la mère. Ces révélations interviennent alors que Cécile Bourgeon, son compagnon et trois proches du couple sont placés en garde à vue.

Francetv info fait le point sur l'enquête.

Que signifient ces gardes à vue ?

Fiona, 5 ans, est recherchée depuis le 12 mai. Selon le récit de la mère, la fillette a disparu vers 17 heures dans le parc, alors qu'elle jouait avec sa sœur âgée de 2 ans et que sa mère, enceinte de 6 mois, dormait sur un banc (voir la chronologie de France 3 pour retrouver tous les détails).

Selon la source de l'AFP, les policiers, qui piétinent depuis des mois sur ce dossier, auraient attendu l'accouchement de Cécile Bourgeon, fin août, pour procéder à son interpellation.

Le quotidien régional avance deux hypothèses pour expliquer ces gardes à vue. La police pourrait posséder un nouvel élément décisif menant à la piste du couple, ou alors les enquêteurs tenteraient un "coup de bluff" pour mettre la pression sur le couple.

Selon le journaliste de France 3 Edouard Da Costa, qui reste prudent, les policiers seraient en possession de témoignages évoquant la mort accidentelle de la fillette.

Une des hypothèses des enquêteurs serait que Fiona ait pu avaler des médicaments ou des produits stupéfiants avant de mourir.

(EDOUARD DA COSTA - FRANCE 3)

Gilles-Jean Portejoie, l'avocat de Cécile Bourgeon, ne cache pas sa surprise, tout en indiquant ignorer s'il existe de nouveaux éléments. Il précise à La Montagne que "dans un dossier comme celui-là, les rebondissements de cette nature n’ont rien d’exceptionnel", avant d'ajouter qu'il fallait traiter ça avec "calme, sang-froid et sérénité".

De son côté, Claude Savary, l'avocat du père biologique de Fiona, appelle à la prudence, estimant que l’erreur consisterait à considérer les gardes à vue "comme des preuves de culpabilité".

Quelles sont les zones d'ombre du dossier ?

La police souhaiterait confronter certaines déclarations contradictoires du couple, a confié un enquêteur à RTL mercredi matin.

La mère et son compagnon n'auraient pas tout dit, voire auraient menti. Les policiers chercheraient également à éclaircir plusieurs points du dossier, notamment les raisons du départ du couple pour Perpignan et l'emploi du temps de la mère le jour de la disparition, détaille La Montagne.

Le quotidien régional rappelle qu'il n’a jamais pu être établi avec certitude que Fiona se trouvait bien dans les allées du parc Montjuzet ce jour-là.

Le Parisien va plus loin en affirmant que les enquêteurs sont désormais persuadés d'une mise en scène concernant la disparition de la fillette.

Afin de trouver de nouveaux éléments, les enquêteurs ont donc perquisitionné l'appartement de la mère de Fiona et de son concubin à Perpignan mardi soir, ainsi que leur ancien logement de Clermont-Ferrand, selon BFMTV.

Ils ont également saisi leur véhicule.

Europe 1 révèle aussi que le couple était placé sur écoute depuis plusieurs semaines.

Selon la source citée par l'AFP, cette surveillance "a permis d'établir que les cinq personnes gardées à vue ont fait la fête et étaient très alcoolisées la veille ou l'avant-veille de la disparition présumée". Les enquêteurs "pensent que quelque chose s'est passé ce soir-là".

Après plusieurs heures de recherches, le corps de la petite Fiona n'a pas été retrouvé ce jeudi près du lac d'Aydat (Puy-de-Dôme).

Les fouilles ont donc été suspendues vers 15h30. La mère de la fillette, passée aux aveux la veille, avait pourtant été conduite sur les lieux pour aiguiller les forces déployées en nombre.

La mère et le beau-père en garde à vue . Un homme sort de garde à vue menotté VIDEOS. Un homme sort de garde à vue menotté . La mère et le beau-père de Fiona s'étaient renseignés sur les disparitions d'enfants. Ce que Cécile Bourgeon et Berkane Maklouf disaient avant... Ce que Cécile Bourgeon et Berkane Maklouf disaient avant... Trois chiens de la gendarmerie spécialisés dans la recherche de restes humains ont été engagés, ainsi que 40 gendarmes pour participer aux fouilles.

C'est lors de leur garde à vue, après leur arrestation mardi à Perpignan, que la mère et le beau-père de l'enfant étaient passés à des aveux complets sur la mort de l'enfant disparue depuis le 12 mai dernier.

Cécile Bourgeon a reconnu la première son mensonge. Son enfant n'a pas disparu mais a succombé, selon elle, à des coups portés par son compagnon, Berkane Maklouf, lors d'une soirée arrosée.

Trois autres personnes sont gardées à vue dans cette affaire, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), où s'est déroulé le drame. Comme la mère et son compagnon, elles sont soupçonnées d'avoir été présentes lors de la soirée fatale :

Arrivée des gendarmes dans la zone de recherches (BFM TV)

Le compagnon de la mère de Fiona a lui aussi reconnu son mensonge au cours de sa garde à vue, durant la nuit de mercredi à jeudi. «Il a reconnu un accident domestique et il a reconnu que le couple avait monté un scénario.

Selon lui, l'enfant s'est étouffée dans son vomi. Ils l'ont trouvée le matin dans cet état et ont paniqué», a expliqué son avocat, Me Xavier Capelet.

Berkane Maklouf admet que Fiona avait reçu des coups quelques jours auparavant, mais sans indiquer qui les a portés. En revanche, lors de la soirée passée par le couple avec des amis, «il y a juste eu une fessée pour empêcher l'enfant de se faire vomir», a assuré l'avocat.

Fiona s'amusait selon son client à imiter sa mère qui, enceinte, avait des nausées. «Ils se sont enfermés dans leur mensonge. Ils ont été complètement dépassés par l'impact médiatique de cette affaire» ajoute Me Capelet.

Berkane Maklouf évoque un accident domestique selon son avocat

Fiona : le beau-père passe aux aveux - 26/09/13 à 7h00

Des fouilles jeudi dans une forêt clermontoise Berkane Maklouf a été transféré dans la nuit à Clermont-Ferrand, où les enquêteurs sont désormais à la recherche du corps de la fillette. «Il n'a pas pu être très précis.

Il n'a pas le permis de conduire, ni le sens de l'orientation. C'est la mère qui conduisait. C'est elle qui a le plus d'éléments», a poursuivi Me Xavier Capelet. Son client n'a qu'une «vague idée» de l'endroit où a pu être enterrée Fiona. Cécile Bourgeon assurait jusqu'alors que sa fille avait disparu dans un parc alors qu'elle-même, enceinte, sommeillait sur un banc. Elle craqué mercredi après-midi sous les questions pressantes de la police judiciaire de Perpignan, admettant la mort de Fiona la veille ou l'avant-veille du 12 mai, date supposée de sa disparition.

Selon les informations recueillies par Dominique Rizet, consultant police-justice pour BFMTV, Céline Bourgeon a indiqué l'«endroit précis» où Fiona a été inhumée. «C'est lui (NDLR : Berkane Maklouf) qui a creusé le trou, a précisé Dominique Rizet. Ils ont déshabillé Fiona. Elle a été enterrée toute nue.»  Fiona est morte à la suite de coups et a été enterrée .

Ils ont consulté des articles sur les disparitions d'enfants comme l'a révélé «Le Parisien -

Aujourd'hui en France», la mère et le beau-père de Fiona ont consulté quelques jours avant la disparition supposée de Fiona, des archives de presse sur internet concernant des affaires de disparitions d'enfants.

Une affaire a particulièrement intéressé le couple dévoile jeudi Dominique Rizet, le consultant police-justice de BFM TV. Il s'agit de l'affaire de la disparition de deux enfants, Samir et Aïcha, le 11 mai 2013, dans le Parc Chanot à Marseille. Ces deux enfants avaient échappé à la vigilance de leurs parents... avant d'être finalement retrouvés.

Ce sont les analyses informatiques menées par la police scientifique de la PJ qui ont permis d'établir la consultation de ces archives. Cet élément, très troublant aux yeux enquêteurs, est l’une des raisons pour lesquelles Cécile Bourgeon et Berkane Maklouf, ont été placés en garde à vue mardi soir, à Perpignan, où le couple venait de s'installer.

Quand le beau-père de Fiona demandait qu'on le laisse tranquille Cécile Bourgeon, 25 ans, avait suscité la compassion de la France entière en exprimant son désarroi et son désespoir dans les médias, reprochant aux enquêteurs de ne pas aller assez vite pour retrouver sa fille.

Mais sa version des faits, soutenue également par son compagnon Berkane Maklouf, n'a pas résisté à des semaines d'investigations policières scrupuleuses et a volé en éclats mercredi.

L'émotion de la mère de Fiona, sept jours après la disparition Me Claude Savary, l'avocat de Nicolas Chafoulais, le père biologique de Fiona, s'est dit attristé par ces nouveaux éléments . «En tant qu'homme, je suis extrêmement peiné d'apprendre cette nouvelle.

C'était parti sur un enlèvement, beaucoup de moyens ont été mis en place», a-t-il dit. Il a expliqué n'avoir pu encore contacter son client, dont les relations avec Cécile Bourgeon n'étaient «pas au beau fixe» et celles avec Berkane Maklouf, «carrément désagréables».

 Mort de Fiona : le beau-père se sent «indirectement» responsable Les membres du comité de soutien «écoeurés» Le comité de soutien à Fiona, qui s'était fortement mobilisé après sa disparition, en participant à des recherches et en organisant des rassemblements, a réagi jeudi matin aux aveux de la mère et du beau-père de la fillette. «D'apprendre aujourd'hui ce qu'on vient d'apprendre, c'est inhumain. On est retournés, c'est pas possible ce qu'ils viennent d'avouer», s'est indigné Stéphane Pozo, membre du groupe de soutien «Tous ensemble toujours là pour Fiona», jeudi matin sur Europe 1. «Cela fait quatre mois qu'ils nous amusent, ça peut pas se passer comme ça», a-t-il ajouté, très remonté, alors que le comité avait créé une page Facebook très active pour soutenir la famille de Fiona.

Jennifer, autre membre du comité de soutien, a aussi rappelé à quel point ce comité s'était «beaucoup mobilisé» pendant ces quatre mois. «On a fait des battues, des recherches trois jours sous la pluie. Au départ, on pensait à une disparition. Donc, on s'est dit il faut qu'on trouve, peut-être qu'on trouvera rien mais il fallait qu'on cherche. Ça nous aidait à avancer aussi», a-t-elle déploré. «On est écoeurés, on a la haine», a-t-elle ajouté.

Vanessa, une amie d’enfance de la mère de Fiona, interrogée sur BFM TV, indique qu'elle n'avait «plus de nouvelle de Cécile depuis plusieurs semaines et je pense que c’était pour éviter de parler.

Personnellement, vers la fin, avant le dénouement tragique, j’étais persuadée qu’ils y étaient pour quelque chose.» Elle ajoute également: «Elle laissait ses filles toutes seules, elle sortait, elle était dans la drogue».

justice

Publié à 17:02 par fandeloup Tags : divers éléments femme france 2010 enfant couples
justice

Nancy, France

La mère et le beau-père qui ont violé à plusieurs reprises l’enfant de 4 ans dans le parloir de la maison d’arrêt de Toul (Meurthe-et-Moselle) viennent d’être jugés.

Ils écopent de la peine maximale.

La Cour d’Assises de Strasbourg (Bas-Rhin) a décidé de condamner la mère de famille et le beau-père à 20 ans de réclusion criminelle pour le viol répété de leur enfant de 4 ans.

Les faits s’étaient déroulés dans le parloir de la maison d’arrêt de Toul (Meurthe-et-Moselle) où le beau-père de l’enfant martyr était détenu pour des violences exercées sur sa compagne.

En février 2010, Sabrina Bonner, une mère de famille de 25 ans et son compagnon – le beau père de l’enfant - âgé de 4 ans à l’époque avouent avoir abusé sexuellement du garçon à plusieurs reprises.

C’est l’homme de 31 ans, détenu à l’époque dans cette prison de Lorraine qui a abusé de l’enfant. Sa mère aurait emmené son fils au parloir de la prison, lui aurait demandé de se mettre à genoux. La suite est insoutenable : la mère place un bandeau sur les yeux de son fils et le retient pendant que son beau-père procède au viol.

L’ensemble de la scène est filmée à l’aide d’un téléphone portable. La mère de famille était enceinte de six mois d’un second enfant au moment des faits.

Mais selon les éléments de l’enquête aujourd’hui bouclée, la mère aurait déjà procédé à plusieurs viols et agressions sexuelles sur son enfant entre 2009 et 2010.

Le violeur présumé était incarcéré depuis 2009 pour des violences sur sa compagne. Il est considéré par les spécialistes comme étant schizophrène. Dans la prison au moment du viol, le personnel de surveillance affirme n’avoir rien vu.

En effet, des sacs poubelles étaient posés contre la vitre du parloir permettant d’offrir une certaine «intimité» aux couples se voyant en prison lors des visites autorisées.

L’avocat de l’enfant, aujourd’hui âgé de 8 ans a affirmé durant le procès qui s’est ouvert ce lundi et refermé mercredi soir étudier une possibilité d’attaquer en justice la prison. «Mme Bonner s'est rendue complice du crime en conduisant son fils au parloir par deux fois dans la même journée» a par ailleurs indiqué le pénaliste à l’AFP La victime quant à elle est aujourd’hui placée sous protection dans un foyer spécialisé.

Des images insoutenables

Dans la journée de mercredi avant les réquisitions, l’avocat de la maman du garçon avait dénoncé la possibilité qu’elle soit condamnée à 20 ans de prison. «Cette jeune femme est dévastée. Elle reconnaît la réalité des faits et plaidera coupable cet après-midi devant la Cour d’Assises» affirmait ce mercredi l’avocat de la mère de famille qui a participé aux viols en prison. «Elle était clairement sous l’emprise de son compagnon».

C’est en effet son compagnon – le beau-père de l’enfant – qui aurait demandé à la mère d’amener le garçon lors des visites autorisées pour abuser de lui. «Elle a pris l’initiative de se dénoncer et de dénoncer son compagnon.

La justice doit aussi penser au petit garçon car l’avenir de sa mère se joue aujourd’hui» affirme le pénaliste. Pour lui, «20 ans de prison paraît excessif».

La Cour a estimé que les accusés ne bénéficiaient pas de circonstances atténuantes, d’où la peine maximale prononcée à leur encontre.

Selon les experts médicaux, le beau-père est atteint d’une psychose incurable. Le couple avait des pratiques sexuelles sado-maso a expliqué un expert psychiatrique durant le procès. La mère comme le beau-père sont jugés complètement responsables des actes reprochés durant le procès.

Les images insoutenables des viols du petit garçon diffusées aux jurés a également marqué le procès et n’a pas joué en la faveur du couple.