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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Chacun de nous à sa façon de voir les choses, chacun de nous à ses peurs, ses sentiments, ses problèmes, ses blessures... Chacun de nous a sa manière d’aimer et de haïr et n’oublie pas, si chacun de nous est seul, nous sommes unis dans notre solitude
J'ai existé... et puis j'ai découvert que j'ai des yeux ...j'ai médité ce qui m'entoure et puis j'ai constaté que j'ai la faculté de raisonner..Alors j'ai voulu comprendre,comprendre tout, le monde, l'Homme, la nature, l'existence,j'ai commencé à m'interroger, à poser des questions, à analyser.Et quand mon cerveau a baissé les bras pour une première fois avouant que son entendement est limité, j'ai assimilé la loi du coeur, j'ai compris l'importance,quand ces questions m'ont fatigué, j'ai découvert que j'ai droit au repos, droit à la sérénité,que le rêve et l'imagination me garantissent les voyages les plus merveilleux dans le temps et l'espace..... Voyage terminé, je reviens pour recommencer le cycle merveilleux de mon bonheur modeste..
La vie a ses mystères, ses questions sans réponses. La vie est éphémère, alors vis tes rêves, vas-y fonce ! La vie a tout son temps, mais Toi, hélas non. La vie est pareil au vent, il n'est pas en ta possession. La vie elle est ce qu'elle est, et que dire de Toi ? La vie est un enfant, elle t'écoute, t'observe, te voit .La vie ne meure jamais, quand tu pars d'autres respirent .La vie a ses meilleurs, mais Toi tu ne vois que son Pire. La vie c'est les bras qui te serrent pour ne pas que tu aie froid. La vie c'est la mère qui t'enterre quand tu fais le mauvais choix Lorsque tu décide de mourir par tes mains, écrasé par le chagrin .Sache qu'à la fin, elle sera là, en haut comme en bas, c'est le destin !
J’ai le sentiment d’être perdu, sans repère ni boussole. Je n’arrête pas de me cogner partout. Je suis devenu un fou. Jamais encore je n’avais été perdu, c’était toi qui m’indiquais le nord. Je retrouvais toujours mon chemin, car tu étais mon chemin. Je suis perdu sans toi. Je n'ai plus d'âme, plus de foyer, je suis tel un oiseau solitaire qui vole sans savoir où il va. Je suis tout cela et rien du tout. Voilà à quoi se résume ma vie sans toi
La peur en elle-même est enfermée dans un système très cynique et pervers, en quelque sorte une spirale limitante et vicieuse. Dès lors que nous rencontrerons une difficulté on ressent se redessiner l’effigie de la peur, peut-être la peur de l’échec, la peur de l’abandon, la peur de se sentir découragé, la peur de réessayer, la peur de l’autre, la peur de se sentir rejeté, la peur de la douleur, et bien d’autres peur. Notre inconscient nous dicte alors de rester immobile, que la peur est là, telle une cuirasse de protection, il nous prescrit l’artifice du statut de l’immobilité afin de déjouer le fait de se nuire et de souffrir une nouvelle fois.
Il arrive que deux âmes se rencontrent pour n'en former plus qu'une. Elles dépendent alors à jamais l'une de l'autre. Elles sont indissociables et n'auront de cesse de se retrouver, de vie en vie. Si au cours d'une de ces existences terrestres, une moitié venait à se dissocier de l'autre, à rompre le serment qui les lie, les deux âmes s'éteindraient aussitôt. L'une ne peut continuer son voyage sans l'autre.
Je devrais plutôt tenter de dire ce que les rencontres, les séparations, les découvertes, les éblouissements comme les désespérances m’ont appris dans le sens de me découvrir, de me construire, d’influencer le déroulement de mon existence. J’ai ainsi appris que la vie n’est faite que de rencontres et de séparations et qu’il nous appartient de les vivre en acceptant de nous responsabiliser face à chacune. J’ai appris encore qu’il y a toujours une part d’imprévisible dans le déroulement des jours et donc qu’il m’appartenait de savoir accueillir les cadeaux inouïs ou les blessures qui peuvent surgir dans l’immensité d’un jour. J’ai appris bien sûr à vivre au présent, à entrer de plain-pied dans l’instant, à ne pas rester enfermé dans mon passé ou me laisser envahir par des projections sur un futur trop chimérique.J’ai appris patiemment que nul ne sait à l’avance la durée de vie d’un amour et que toute relation amoureuse est une relation à risques. Des risques que j’ai pris.J’ai appris sans même le vouloir, que j’avais des besoins et qu’il ne fallait pas les confondre avec des désirs. J’ai appris avec soulagement que je pouvais désapprendre tout l’inutile dont je me suis encombré pendant des années. J’ai appris joyeusement à planter des arbres. C’est le cadeau le plus vivant que je peux faire jusqu’à ma mort à cette planète merveilleuse qui a accueilli mes ancêtres et surtout ma génitrice. J’ai appris doucement à recevoir le silence et à méditer quelques minutes chaque jour pour laisser aux vibrations de l’univers la possibilité de me rejoindre et de m’apprivoiser encore un peu. Oui j’ai appris beaucoup et pourtant je cherche encore l’essentiel.
Adieu ! je crois qu’en cette vie .Je ne te reverrai jamais.En te perdant je sens que je t’aimais. Pas de pleurs, pas de plainte vaine. Je sais respecter l’avenir. Vienne la voile qui m’emmène, en souriant je me verrai partir. Tu t’en vas pleine d’espérance, avec orgueil tu reviendras; Mais ceux qui vont souffrir de ton absence, tu ne les reconnaîtras pas. Adieu ! tu vas faire un beau rêve Et t’enivrer d’un plaisir dangereux; Un jour tu sentiras peut-être le prix d’un cœur ,le bien qu’on trouve à le connaître, et ce qu’on souffre en le perdant."
L'erreur est de vouloir une vie immobile. On veut que le temps s'arrête, que l'amour soit éternel, que rien ne meure jamais, pour se prélasser dans une perpétuelle enfance dorlotée. On bâtit des murs pour se protéger et ce sont ces murs qui un jour deviennent une prison.