Fandeloup

Les caresses des yeux sont les plus adorables.Elles apportent l'âme aux limites de l'être, et livrent des secrets autrement ineffables, dans lesquels seul le fond du ♥ peut apparaître.

Si on pouvez prendre le temps rien qu’un instant pour laisser les heures nous caresser sous le temps et faire que nous prenions le temps de vivre sous la vie de qui nous prête à sourire

Je ne sais comment vous dire ce que je ressens quand scintillent devant mes yeux éblouis,des milliers de petits poissons sous le charme de ce soleil bienfaisant,dans la mer se miroitant

De ce bouquet, je ne pouvais espérer un beau final car j’avais vu et sentis couler des larmes qui ne pouvaient que faire mal

Racontes moi tes rêves pour que je puisse t'écouter,toi qui m'emmène au galop sous la brise du vent. Racontes moi la plus secrète de tes pensées quand tendrement tu me laisse la liberté de te chevaucher

J'aurais voulu un grand voyage qui m’emmène dans les paradis. Qui me parlerait d'un autre âge. Les choses seraient belles comme on dit ou je n'aurais plus de douleur dans l’éventail de ses couleurs. Mais si je reste avec moi-même je ne saurais pas si je m'aime.Aller y retrouver mon âme qu'on m'a prise quand j'étais enfant car j'en ai fait longtemps un drame,même aujourd'hui c'est perturbant.J'aurais voulu un grand voyage qui m'aurait mené loin d'ici .Un peu partout dans les villages,celui qu'on fait quand on grandit. Peut-être aller dans les manèges ou y passeraient des cortèges de fleurs et bouquets d'avenir,en y laissant mes souvenirs

Sur un arbre perché un jour de printemps Monsieur petit oiseau s’est posé tout en se demandant pourquoi il pleuvait .Lui qui aimait siffloter la douceur du temps.

Il va être l heure pour nous, de fermer la fenêtre .Doucement pousser le verrou sur le jour pour que vive la nuit en toute tranquillité

Prendre la brise le long de mes ailes,pour ne jamais rebrousser chemin et faire que cette route me mène là où est mon destin pour qu'à jamais mes échecs et mes peines ne soient qu'un miroir lointain,dans l'ombre de mes battements sans refrain.Vole, vole, vers ce qui peut être tien car de ce parcours, je pourrais peut être en revenir demain et faire que mes yeux dans ce bleu azuré puisse oublié ce qui m à blessé et de ces paysages de vie, je ne garderai que le plus doux pour m'en recouvrir lanuit et me faire oublier mes doutes. Et au matin, à l appel de la vie qui me sourit je prendrai cet envol dans mon esprit

Tout commence dans les yeux, lorsqu'ils se mettent à trembler sous la pression de trop de malheur,que tout devient désespéré,les joues s'innondent. Tout se bouscule.Un raz-de-marrée dévastateur,assassin de l'âme. Chaque goutte de l'océan de solitude est une infime partie de l'homme.Ces flots de souffrance viennent attaquer une chair brûlante.Agissent comme un acide: Dissouent le ♥. Etouffent ce ♥rouge vif qui disparaît en criant à l'agonie. L'océan ravageur s'envole ensuite, torture éphémère, l'océan s'assèche,laisse apparaître le désert de cette solitude cachée au fond des yeux: Celle de l'être humain simplement confronté a lui même...