Fandeloup

Ses cheveux avait blanchit. Son visage c'était doucement ridé. Déjà vouté par le poids des ans ,il marchait avec une canne maintenant .Ses yeux c'était obscurcit mais il savait encore voir avec le cœur. Ses mains c'étaient fripées ,elle ce mettait doucement a trembler. Ses gestes se faisaient de plus en plus malhabiles mais il vivait heureux de ce qu’il avait et il voyait encore son épouse comme lui d'un âge avancé. Avec le même regard, avec la même tendresse. Déjà toute une vie commune mais aucun nuage ne venait entamer ce bonheur. Peu être avait t'ils juste apprivoisé ce bonheur. Alors ensemble ils faisaient encore des projets d'avenir. Juste pour ne pas vieillir .Juste pour ne pas mourir

Rêver d inaccessibles choses .Rêver d'impossibles sommets ,perdu dans une nuée d'immensité ,éclairé par des rondes d'étoiles. Rêver des choses intemporelles sur des passerelles d'éternité. Rêver de pouvoir décrocher la lune comme on peut rêver de skier sur des dunes. Chanter pour ne pas pleurer .Pleurer pour ne pas oublier .Mais toujours cet espoir de rêver. Juste pour réinventer sa vie

Tes cheveux ont blanchit ,ils ont la couleur craie que l’on écrit, ton visage s’est creusé ,halé et buriné par ces années de souffrance, ton regard a changé à force d’avoir pleuré, mais tu es resté la même, toujours souriante, habillé de lumière, ton insouciance et mon espérance sur lequel j’écris, mon existence alors quand moi aussi je vieillirais, c’est à tes côté que je m’éveillerais, et quand viendra l’heure ensemble nous partirons, sans bruit éternel ,amoureux au paradis unit pour l’éternité dans les chariots des cieux

Le collier électrique pour chiens, un outil de torture moderne

L'avis d'un vétérinaire : Les critères à mon avis qu'il faut connaître se situent au niveau des conséquences agressives, au niveau du désordre dans les apprentissages et dans la compréhension du chien des situations sociales et environnementales.

Cela va bien au delà du constat de douleur immédiat. Les effets pervers de l'électricité sur la physiologie de l'être vivant passent par les neurones et restent mémorisés à vie. D'où le risque agressif qui ressort à des moments que vous ne prévoyez pas forcément. Quand je constate cela , je suis malheureusement obligée de faire euthanasier le pauvre chien car l'imprévisibilité et l'impulsivité des morsures sont chaque fois importantes. Lorsqu'on tente des rééducations et des thérapeutiques sur ce genre de cas, le risque de renouvellement de la morsure persiste très souvent, quoi qu'on fasse. Il ne faut pas se fier aux résultats immédiats de l'éducation ou du traitement. En effet, c'est la stabilité du résultat sur plusieurs mois ou années qui est importante. Or, chez les chiens "électrifiés", même si le risque de morsure diminue, il existe à des moments où on ne l'attend pas, ce qui crée le plus grand danger.

Dr Vétérinaire Nathalie SIMON http://www.nathalie-simon-veterinaire.fr/

L’espérance c’est, l’espoir de gommer le poids de ses souffrances, mettre des mots sur ses blessures d’enfances ,c’est chercher l’amour qui nous a manqué ,c’est refermer la porte sur l’inachevé, c’est aimer se réfugier, pleurer et se cacher. L’espérance c est simplement la clé, une délivrance ,c’est refaire sa vie en apaisant les choses qui nous on meurtrie ,c’est tendre simplement la main pour cueillir des matins. L’espérance c’est de donner des sourires, c’est de vendre des dimanches ,c’est simplement être soit sans tricher.L’espérance c’est la tolérance, juste un peu plus d’humanité, c’est juste poser un regard sur les oubliés, les aider à se lever et les refaire marcher. L’espérance c’est simplement nous tous

Dehors ont entends les oiseaux chanter ,et les animaux eux son réveiller égaux a eux meme ,chaques jours qui passe alors doucement, moi aussi je me suis levè sans bruit ,j ai entrouvert la fenetre pour moi aussi entendre les oiseaux ,ce ne sont que chants et gazouillis mais deja mon coeur se rempli de sourire, de joie et de gaite, juste pour recommencer une autres journee

Quand mes yeux seront noirs ,quand mes nuits seront froide, quand je ne saurais plus voir que ce noir, emmène moi rêver ailleurs, fais moi voir les couleurs, ceux que mes yeux ne savant plus voir ,élargis mon horizon et décris moi ce que tu vois. Quand mes paroles se feront sourde ,quand plus aucun son ne sortira de ma voix, fais moi encore entendre les chants d'autrefois ,et quand mes jambes ne seront plus marcher, que mes gestes seront maladroit, fais moi encore espérer, dit que je suis encore un clown, le clown de ma vie juste un instant, une minute, une heure, et alors mon cœur partira plein d'espoir et mes nuits ne seront plus noir, car je verrais la clarté et je vivrai dans l'immensité

TEXTE D'UN TEMOIGNAGE VIDEO SUR LA VIVISECTION

La vidéo "racontée" dans le texte ci-dessous, est la première "vivisection" que j'ai visualisée, elle est impossible à trouver maintenant. Je n'ai pu la regarder jusqu'au bout tant je ne comprenais pas pourquoi ainsi martyriser ces 2 animaux et j'aurais souhaité pouvoir les libérer. Cela était de la torture pour la torture... La vidéo était longue... "Les chercheurs ont mis une mère guenon qui tenait encore son petit dans les bras sur une plaque chauffante, dont ils augmentaient constamment la température. Ils attendaient que la mère relâche son bébé, qu'elle le mette entre elle et la plaque chauffante pour se protéger. Elle ne l'a pas fait ... elle a été brulée au troisième dégré !" Que voulaient prouver les expérimentateurs ? Si la mère guenon avait réagi comme ils l'attendaient, ils en auraient tout de suite déduit, fiers, que l'instinct maternel n'existe pas chez l'espèce animale et que seuls les êtres humains en sont capables. Cette mère guenon a souffert attrocement pour rien ! Voici pourquoi, j'engage chacun à signer cette initiative citoyenne européenne qui nous permet de tenter de les libérer. Chaque signature compte.

HUMOUR

D'aucuns diront : plaisir sadique... Et quand bien même ? Le sadisme, l'insoutenable cruauté sont ailleurs. Les images sont violentes, les blessures spectaculaires, les collants roses mais le matador du cliché n'est pas mort. De ce théâtre funèbre, de cette arène sanglante, les taureaux, eux, ne survivent jamais. Chacun son tour. En attendant l'abolition de cette insoutenable barbarie qui se pérénise au nom de la sacrosainte tradition