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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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unique

Publié à 11:32 par fandeloup
unique

Il est indispensable et naturel de ne pas être comme les autres... Je suis unique et je compte bien le rester

inutile

Publié à 11:16 par fandeloup Tags : vie
inutile

Quand une vie n'a connu que souffrances et échecs, arrive un moment ou il faut se mettre à l'évidence , et reconnaître que tout espoir est inutile

st bernard

Publié à 10:59 par fandeloup Tags : vie histoire roman film chien livre bleu hiver neige dessin chiens
st bernard

Chien du Saint-Bernard

Le chien du Saint-Bernard (couramment appelé « Saint-Bernard ») est une race de grands chiens de montagne, souvent dressés comme chiens de recherche en avalanche. L'imaginaire populaire les affuble d'un tonnelet de Whisky accroché au cou qui serait destiné à revigorer les victimes du froid. Cette pratique a été utilisée surtout à la fin du xixe siècle dans la recherche de personnes perdues dans les montagnes ou victimes d'une avalanche.
La devise du Chien du Saint-Bernard est: « Noblesse, dévouement et sacrifice »

Appellation :

Leur nom provient de l’hospice du Grand-Saint-Bernard, situé au col homonyme dans les Alpes Suisses, à la frontière avec l'Italie, où ils étaient utilisés par les moines d'abord pour la garde et la défense puis pour la recherche des voyageurs en hiver. C'est une coïncidence pour l'étymologie Bernard et Barry.
 
 Histoire :

Il semble cependant que les chiens initialement utilisés par les religieux appartenaient à une race aujourd'hui disparue qu'ils auraient tenté de recréer en lui enlevant sa férocité. Un spécimen empaillé de la race initiale (sans bajoues et sans oreilles tombantes) est visible à l'hospice.
Le chien viendrait de Haute-Assyrie. Des bas-reliefs ont été retrouvés au Moyen-Orient datant de plus de trente siècles, ressemblant énormément au Saint-Bernard à poil court. Il descendrait du légendaire Mâtin du Tibet, et donc originaire d'Asie. Quelques spécimens furent importés en Grèce, puis à Rome et ensuite se seraient dispersé dans l'Europe Occidentale par le biais des armées romaines probablement au ier siècle. Quelques armoiries, en 1350, de familles nobles figurent le Saint-Bernard.
Vers 1660-1670, des chiens sont offerts au Grand-Saint-Bernard, par des familles vaudoises et valaisannes.
Ce chien est décrit pour la première fois à l'hospice du Saint-Bernard, en 1709 par le Prieur Ballalu : « En 1700, le Chanoine Camos, économe de la Maison, fit faire une roue dans laquelle on met un chien pour faire tourner la broche...». En 1735, le prieur note la réparation du collier d'un chien dans les comptes du Prieur.
Les chroniques qui seront publiées en Europe sur les exploits de ces chiens, sauvant des voyageurs égarés dans la neige ainsi que des récits de soldats de Bonaparte lorsque l'armée de celui-ci franchit le col en 1800, ont fait sa renommée.
Grâce à un élevage systématique, la race actuelle fut créée. En 1867, Heinrich Schumacher, habitant Holligen près de Berne établit des documents généalogiques pour ses chiens. Le livre des origines suisse fut ouvert en février 1884 et le premier à y être inscrit fut un saint-bernard nommé Léon. Le club suisse du Saint-Bernard fut créé le 15 mars 1884 à Bâle et le chien du Saint-Bernard fut reconnu comme race d'origine suisse et son standard adopté lors d'un congrès international de cynologie en juin 1887. Il est alors devenu le chien national suisse.

Saint-Bernard à poil court x Terre-Neuve :

À cause de la consanguinité, un croisement s'opéra entre le Terre-Neuve et le chien du Saint-Bernard à poil court. De ce fait, la corpulence et les qualités du Terre-Neuve furent ajoutées au croisement. Un Saint-Bernard plus gros et plus grand à poil long apparut. Henry Schumacher (1831-1903) expose ces chiens sensationnels à Paris, et en 1884, fonde le club du Saint-Bernard. Un club suisse. L'hospice fut bien étonnée de cette variété de chien à la fin du xixe siècle.
Il existe deux variétés de Saint-Bernard : une variété à poil court et double et une variété à poil long (caractère qui serait réapparu à la fin du xixe siècle). La variété à poil court est d'ailleurs une race moins répandue parmi les chiens du Saint-Bernard.
Mais coûteux à instruire et à entretenir, les chiens du Saint-Bernard sont de plus en plus remplacés par d'autres races plus communes comme le berger allemand, chien polyvalent, comme chien de secours en montagne

Apparence :

Le Saint-Bernard est un chien ayant une grosse tête. Le plus massif chien du Saint-Bernard enregistré était de 107 cm de hauteur, 89 cm au niveau des épaules, et 2,59 m de long et pesait 100 kg. Le poids moyen de la race est entre 64 et 120 kg ou plus et la hauteur approximative au garrot est de 70 à 90 cm.
Le manteau peut être lisse ou rugueux, avec à la fin du tronc, un pelage lisse et plat. La fourrure ondulée est abondante, dense mais plate, et un peu plus autour du cou et des pattes postérieures. Le pelage est typiquement de couleur rouge avec du blanc, ou parfois un brin acajou et -toujours- avec du blanc. Un ombrage noir se trouve généralement sur le visage et les oreilles du chien du Saint-Bernard. La queue est longue et lourde, pendue vers le bas, avec l'extrémité tournée vers le haut. Les yeux noirs sont munis d'auréoles étanches naturellement, avec une "conjonctive peu visible". Parfois, les yeux, bruns en général, peuvent être bleu glacial, presque blancs.

Santé :

Le taux de croissance et la prise de poids d'un Saint-Bernard étant rapides, ceux-ci peuvent conduire à une dégradation très grave de l'os, si le chien ne reçoit pas de la nourriture appropriée et de l'exercice physique. Beaucoup de chiens sont génétiquement touchés par la dysplasie de la hanche ou la dysplasie du coude. Il a été démontré que l'ostéosarcome (cancer des os) était héréditaire dans cette race.
Ils sont sensibles aux troubles de la vue tels l'entropion et l'ectropion, dans lequel la paupière se retourne en avant ou en arrière. Le standard de la race indique qu'il s'agit d'un défaut majeur. La race est également sensible aux crises d'épilepsie, à une maladie cardiaque appelée cardiomyopathie dilatée et à l'eczéma. En raison de la probabilité de problèmes de santé au cours des années du chien du Saint-Bernard, l'espérance de vie moyenne pour un Saint-Bernard est d'environ 8 ans. Un Saint-Bernard peut vivre au-delà de 10 ans, mais cela est assez rare.

Caractère :

Le chien du Saint-Bernard est doux, comédien et très têtu. Attention le chien du Saint-Bernard n'est pas une peluche. Il est donc nécessaire de suite, d'appliquer les règles d'une éducation stricte est obligatoire pour que plus tard, ce chien soit agréable à vivre au quotidien. Le chien du Saint-Bernard n'est absolument pas un chien pour novices, sa particularité, c'est de prendre sa place à la maison, et pour certain de rentrer en conflit. Par son instinct de chien de sauvetage, il aidera son maître ou une personne en danger sans hésitations. Il convient très bien en tant que chien de garde (qui était sa première fonction à l'hospice, voir plus haut) puisqu'il est attaché à son territoire. Il n'est pas agressif du tout, sauf envers des personnes mettant en danger son maître. Ce chien n'est strictement pas citadin, de ce fait, il a besoin de beaucoup d'espace.

Sauvetage :

Le chien du Saint-Bernard peut détecter une présence jusqu'à six mètres sous la neige grâce à sa truffe humide. En effet, il possède, contrairement à la plupart des chiens, un sens de l'orientation extrêmement développé, pourrait prévoir des avalanches et des tempêtes de neige, et serait à même de percevoir si une personne est vivante ou morte sous la neige.

Hospice :

L'hospice du Grand-Saint-Bernard a conservé jusqu'en 2004 un élevage de chiens de Saint-Bernard, pour maintenir la tradition et augmenter l'intérêt touristique du site. Depuis janvier 2005, la congrégation des chanoines du Grand-Saint-Bernard a remis la charge du chenil et de l'élevage des chiens du Saint-Bernard à la fondation Barry basée à Martigny, du côté suisse de la route du col du Saint-Bernard.

Cinéma :

À l'instar du dalmatien popularisé et propagé par le dessin animé Les 101 Dalmatiens, cette race de chiens a connu les appuis du public grâce au cinéma :
le court-métrage de Mickey Mouse, Les Alpinistes (1936)
le film de Richard Pottier, Barry (1948) avec Pierre Fresnay et Pauline Carton.
le film québécois à grand succès, La Guerre des tuques (1984).
le film Beethoven et ses suites sortie au cinéma dans les années 1990.
le film Cujo sorti en 1983 adapté du roman de Stephen King.
 

nature

Publié à 09:51 par fandeloup Tags : nature
nature

La nature ajoute une étincelle dans l'oeil de celui qui prend la peine de l'admirer

triste

Publié à 09:42 par fandeloup Tags : mort animaux amour nature oiseaux
triste

La nature a beaucoup de moments tristes que nous perçoivent pas. Cette fois, vous verrez une série d'images de deux oiseaux Hirundo rustica où l'on peut les voir en bas avec une blessure mortelle, et une démonstration de l'amour inconditionnel de sont ami, qui reste à proximité, couverts de leurs ailes, donne des aliments et de l'eau, et l'accompagne à la mort. Je suis très désolé pour ce poste, mais ça vaut la peine l'amour qu'ils peuvent ressentir les animaux. ?
Les oiseaux quand ils tombent amoureux,ne trompent pas j'usque à la mort

pompier

Publié à 09:04 par fandeloup
pompier

Sécurité Civile !

respect

Publié à 08:59 par fandeloup Tags : livre annonce enfants histoire animaux aimer
respect

Les hommes sont parfois bizarres : ils disent aimer les animaux, mais ne se gênent pas pour les chasser, les traquer pour leur peau, leurs défenses ou leur viande, les faire travailler, les enfermer, les exploiter, et même les faire jouer dans un cirque... Tout ça sans leur demander leur avis, bien sûr.

annonce l'auteur en quatrième de couverture. Et de l'assurer à ses jeunes lecteurs : "Grâce à ce livre, tu découvriras comment l'histoire des animaux et celle des hommes se mêlent étroitement, et pourquoi il est nécessaire de lutter pour le respect des animaux qui nous entourent."

J'ouvre donc, un peu inquiète à l'idée de m'embarquer pour le pays des Bisounours et des bonnes intentions... Et je découvre un modèle de livre pédagogique. Evoquant Aristote, Montaigne, les Cathares et les Egyptiens sans être pontifiant. Employant des mots compliqués – spécisme, éthique animale, euthanasie – sans être rébarbatif ni faire perdre le fil. Retraçant en courts paragraphes la complexité des rapports nourris de tous temps entre eux et nous. Depuis l’homme préhistorique, qui cherchait à se protéger des animaux et à survivre parmi eux, jusqu'à l'époque actuelle, où il devient admis que nos compagnons à poils et à plumes ont aussi des droits.

"Cette récente prise de conscience est en passe de modifier profondément les rapports entre l’humain et l’animal", affirme Florence Pinaud, par ailleurs journaliste en presse écrite dans les domaines économique et social. "Les éthologues, qui étudient les mœurs animales, ont montré que les animaux sont sensibles à la douleur, communiquent, sont capables de mentir, de rire, d’établir des stratégies. Malgré ces avancées, les abus envers les animaux restent fréquents : conditions d’élevage souvent cruelles, expériences menées par des laboratoires sur des animaux cobayes, nombreuses menaces sur les espèces ou actes de maltraitance envers les animaux de compagnie. Sous la pression des associations et de certaines stars, les gouvernements commencent à prendre des mesures de protection, mais il reste beaucoup à faire !"

Exposés sous forme de courts chapitres – "Les premiers défenseurs des animaux", "La science explore leurs mystères", "Les animaux ont-ils une conscience", "Les cobayes de laboratoire", "Quand les animaux finissent dans nos assiettes", "Les mauvaises raisons pour ne rien changer", etc. –, tous ces aspects sont abordés de façon simple et directe. Tout le contraire du langage bêtifiant (tiens ! revoilà les bêtes...) que l'on prend parfois pour parler aux enfants. Comme si ces petits êtres, eux non plus, ne pouvaient rien comprendre. Un livre instructif et lumineux, dont on peut user et abuser !

on dit

Publié à 07:31 par fandeloup Tags : vie moi coeur mort
on dit

On dit que la vie dure le temps d'un soupire et moi je vous dit qu'être mort dans une vie c'est pire que mourir.Je vous raconte ma vie en écoutant mes larmes qui crient.Je vous parle de ma vie, je vous parle de mon coeur détruit.Je vous emporte vers mes nuits pleine de chagrin et d’ennui.Je vous sert la mains car je craint les lendemains.Je vous dit que je suis mort dans ma vie. Mon âme flétrit dans les nuages de mon existence assombrit. Si vraiment la vie ne dure que l'espace d'un cri, alors la mort dure sans toi l'espace de toute ma vie

méprisable

Publié à 06:58 par fandeloup Tags : enfant bébé
méprisable

Une mère et son bébé. Enchaînés. Terrifiés. Maltraités et qui souffrent .
Pour ceux qui voient les militants animalistes comme des terroristes, pourquoi vous ne voyez pas plutôt ceci comme du terrorisme ?

bonne nuit

Publié à 19:44 par fandeloup