Fandeloup

Dans un monde irréel ou bien lointain, mon esprit voyage et se perd en chemin, peut-être s'est-il égaré en admirant ces magnifiques champs de fleurs ou cimes de montagnes enneigées ? Peut-être s'est-il aussi simplement perdu, en chemin ou au détour d'une foret?

MERCI

Le grand dragon, en son antre sombre, déverse une fumée de ses larges naseaux, il guette le silence, assis dans l'ombre, et ses entrailles rugissent comme un volcan dans l'eau. Ses yeux chantent l'enfer, avec malice, immobile et serein, il se repose enfin, sentant ses griffes rougies par le sang humain,il vibre de puissance et de délice…

HUMOUR

A l'étroit dans ma fourrure, J'ai mis une patte dans ta chaussure: Je garde tes souvenirs, je conserve aussi tes sourires. Tous les calins reçus, je pourrai te les dire. Un par un, tu pourras les écrire, puis les offrir à d'autres, en cadeau d'avenir. Un petit goût d'aventure

Rien n'est pareil a cette innocence. Un donné pour la periode d'enfance... Les yeux qui brillent.... La bouche qui rit..... C'est lebébé.... Il chante quand il mange..... ça voix est comme celle de l'ange..... Eh ouais c'est le début de ça vie.... Il ne sait pas que la joie va partir.... Il ne sait pas qu'il va souffrir..... On étaient comme lui.... Mais tout-a-coup tout a changé !!!!!!!!!!!!!!!

 À la tombée de la nuit, sous un ciel étoilé, au cœur de la nature, lové dans les bras de sa mère, un tout-petit s’endort.

et le temps passe!!! ou est mon souhait d'il y'a 20ans, quand je ne revais que de beau temps, tous les gens etaient gentils il n'y avait pas de méchants.. ou est mon souhait d'il y'a 10 ans, quand je réver de gloire et de magie, je ne savais pas que j'aller vivre la monotonie ,quels seront mes reves de demain, seront t'ils aussi loin que toute ses étoiles

Sous ces rayons cléments des soleils de janvier,le ciel est doux, mais pâle, et la terre jaunit. Dans les forêts la feuille a la couleur de l’ambre ; L’oiseau ne chante plus sur le bord de son nid. Du toit des laboureurs ont fui les hirondelles ; La faucille a passé sur l’épi d’or des blés ; On n’entend plus dans l’air des frémissements d’ailes : Le merle siffle seul au fond des bois troublés. La mousse est sans parfum, les herbes sans mollesse ; Le jonc sur les étangs se penche soucieux ; Le soleil, qui pâlit, d’une tiède tristesse Emplit au loin la plaine et les monts et les cieux. Les jours s’abrègent ; l’eau qui court dans la vallée N’a plus ces joyeux bruits qui réjouissaient l’air : Il semble que la terre, et frileuse et voilée, Dans ses premiers frissons sente arriver l’hiver