Fandeloup

Je regarde tes yeux ,mais je ne vois ni joie ni pensé. Juste de la tristesse. Alors je fixe tes grands yeux de chagrin .Et avant que tu m'échappes .Je te demande une dernière fois ,pourquoi ne m'aimes-tu pas?

Lorsque tu pleures, une partie de moi meurt... Tu cries de douleur, je m'effondre d'horreur... Quand la tristesse t'envahit, je sens mon coeur qui faiblit... Quand ton âme saigne, les lumières de mon regard s'éteignent... tout simplement

Le soir est déjà là .IL m’étreint de ses vers. Au-delà des revers. J’oublie le fracas. Les débats et les heurts. Me détend sans tracas. Libre et quiétude au cœur .Je me pose à nouveau sur des nuages fermes ,sans souci ni fardeau.Heureux en simple terme .Le soir est toujours fier .Il me tient par la patte s’en va le triste hier

Plus rien ne me retiens, je veux partir pour un autre horizon, une nouvelle vie. L'infini est près de moi, aurais-je la force de passer ce chemin ?? L'infini n'a pas de limite, je le vois qui brille dans les cieux, Je dois parvenir au seuil de ces limites, alors mon âme sera en paix

JE M'APPELAIS F O R E S T.... J'AVAIS 3 ANS MA VIE N'A ETE FAITE QUE DE CHANGEMENTS DE PANIERS. PERSONNE N'A VOULU ME COMPRENDRE.

ET ON M'A JETTE D'UNE FAMILLE A L'AUTRE. JE NE DEMANDAIS QUE DE L'AMOUR........ ET ON M'A DONNE LA MORT..... PARCE QUE JE GENAIS.....PERSONNE N'EST VENU A MON SECOURS ....MEME PAS LASSO UCPV QUI ETAIT AU COURANT DE MA MORT PROGRAMMEE ET QUI N'A PAS VOULU ME REPRENDRE MALGRE LES DIFFERENTES DEMANDES DE L'ADOPTANTE.

JE N'ETAIS PAS UN CHIEN MORDEUR SEULEMENT UN CHIEN PERTURBE ET MALHEUREUX. NE M'OUBLIEZ PAS.......

FAITES EN SORTE QUE MES FRERES LES TOUTOUS NE CONNAISSENT JAMAIS LE MEME SORT QUE MOI.

JE M'APPELAIS F O R E S T ........J'AVAIS TROIS ANS

L'oeil... Tout l'univers est en lui, puisqu'il voit, puisqu'il reflète

Le voyage apprend la tolérance

Pour comprendre que le ciel est bleu partout, nul besoin de parcourir le monde

Ce n’est donc plus aux hommes que je m’adresse ; c’est à toi, Dieu de tous les êtres, de tous les mondes et de tous les temps : s’il est permis à de faibles créatures perdues dans l’immensité, et imperceptibles au reste de l’univers, d’oser te demander quelque chose, à toi qui as tout donné, à toi dont les décrets sont immuables comme éternels, daigne regarder en pitié les erreurs attachées à notre nature ; que ces erreurs ne fassent point nos calamités. Tu ne nous as point donné un cœur pour nous haïr, et des pattes pour nous égorger ; que toutes ces petites nuances qui distinguent les atomes appelés hommes ne soient pas des signaux de haine et de persécution ;

Le coeur humain est comme la mer , il est immense et c'est dans ses profondeurs que l'on trouve ses richesses