Fandeloup

Voila l'automne avec son cortège rougeoyant la nature se couvre d'an rouge sang comme si ell saigné d'avoir trop briller pendant toute la saison d'été.

humour

Les sentiments et le reste………………….

Tu as connu le bonheur et le malheur. Tu as eu droit à l’amour et à la tendresse. Tu as su ce qu’étaient : La force et la faiblesse. La compagnie des autres, le rejet et l’abandon. La bonté et la méchanceté. La reconnaissance et l’oubli. La sollicitude et l’indifférence. Le bien être et la douleur. La patience et l’impatience. La confiance et la méfiance. La joie et la peine. L’espoir et le désespoir. La crainte et la peur. La trahison et le mensonge. Les regrets mais pas les remords. Les rires et les larmes. La beauté et la laideur. Le bruit et le silence. La mémoire et l’oubli. L’attente et la délivrance. Il t’a fallu du courage pour supporter la souffrance. Toujours en gardant le silence, sans le montrer. Mais moi je la voyais et je la vivais avec toi. Tous ces sentiments et bien d’autres tu les as ressentis. Ils t’ont accompagné pendant toute ta vie. Il t’a manqué du temps pour réaliser tes rêves. Mais maintenant que tu es au paradis, tu as rejoint les anges. Et de là haut tu veilles sur moi à chaque instant. Car tu sais qu’en bas c’est un combat, la lutte pour survivre. Et tu sais aussi que je me bats pour vivre sans toi. Je me dois d’attendre le jour où il décidera de t’envoyer me chercher pour que nous soyons enfin réunis. Et que nous vivions ensemble dans une autre vie. En attendant ce moment, je vais les vivre ces sentiments. Certains ne me sont pas inconnus, mais je sais déjà qu’il y en a un que je n’éprouverai jamais plus. Car c’est à toi que je l’ai donné et il t’est à jamais réservé.

Il faut identifier le bonheur lorsqu'il est à ses pieds, avoir le courage et la détermination de se baisser pour le prendre dans ses bras et le garder.

Le soleil qui me réveille me ramène a mon chagrin. Dans mon rêve tu m’entoure de merveilles. Mais le jours casse la nuit et ma vie revient, mais toi tu es la bas, dans ce jardin d’éden .Tu me manques et pas a pas, je me dirige vers toi sans peine. Quand viendra le temps ,tu me donneras des ailes pour te rejoindre pour la fin des temps dans tonjardin éternel .Ton image imprimé en moi et dans mon demi sommeil, ton parfum m’émerveille,quand j'ai le mal de toi. Mourir, c'est rien quand je te sens loin de moi. Mourir demain, mais pas sans ta main entre mes doigts. Quand viendra le temps  tu me donneras des ailes pour rejoindre pour la fin des temps .Donne moi des ailes, pour une vie nouvelle. Sourire devant, souffrir dedans. L'espoir, c’est que je suis sur de te revoir, demain, ce soir ou bien plus tard. Croire qu'on nous sépare ne peut plus m’atteindre dans cette espoir .

hUMOUR

Cette nuit j’ai fait le rêve si doux,que j’avais rencontré une fée. Et pourtant nous n’avions pas rendez vous. Soudainement en silence, elle était arrivée. Elle m’avait pris la main, comme pour me guider. Et moi confiante je l’avais suivie. Comme par enchantement j’ai été transportée dans le pays où vivent les fées. Quel émerveillement, tout était si paisible. Je voulais y rester, je m’y voyais déjà installée. Mais au petit matin je me suis éveillée. Je suis vite revenue à la réalité. Il a fallu que je me rende à l’évidence. Tout ceci je l’avais bien rêvé. J’en aurai au moins gardé le souvenir. Et la chose qui a toute son importance. C’est qu’en ce monde rempli d’interdits. Il est encore permis de rêver. Et voilà pourquoi je vous l’ai raconté.

On voit, quand vient l'automne, aux fils télégraphiques De longues lignes d'hirondelles grelotter. On sent leurs petits ♥♥  qui ont froid s'inquiéter. Même sans l'avoir vu, les plus toutes petites Aspirent au ciel chaud et sans tâche d'Afrique. C'est dur d'abandonner le porche de l'église ! Dur qu'il ne soit plus tiède ainsi qu'aux mois passés ! Oh ! Comme elles s'attristent ! Oh ! Pourquoi le noyer. Les a-t-il donc trompées en n'ayant plus de feuilles ? La nichée de l'année ne le reconnaît point, ce printemps que l'automne a recouvert de deuil.

Allez hop c'est parti pour la gym

La rosée du matin répand ses gouttes fraiches,qui vient ensorceler les champs,et les prairies .Comme une main d'amour qui prend,mais qui respecte les jours ensoleillés d'un été qui s'enfuit.Sur les toiles tendues entre les fleurs,les herbes brillent de beaux diamants de perles de rosée Dans le ciel les oiseaux forment des boucles brunes, font des cercles gracieux de leurs ailes embrumées. Les nuages cendrés retrouvent tous leurs places,prémice de jours pluvieux ,soyeux voile léger. Sur le fil l'hirondelle agacée prépare son voyage vers l'Orient mystérieux .Telle est sa destinée en pensant seulement aux gourmandises tendres qui l'attende là-bas