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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
J'ai les pieds sur terre mais je voudrais tellement entrer dans le monde féerique. Faudrait pour cela que le rêve soit en moi mais je ne rêve plus... Que faudrait-il pour que ce monde imaginaire devienne réalité ? Changer l'esprit n'est en rien changer la vie, simplement c'est changer sa façon de l'assumer d'un regard averti
La vie est un dessin. Il faut la colorier pour la rendre belle. Il y a des parties plus sombres, et d'autres plus colorées. C'est ce qui crée toute sa beauté. Et peu importe ce qui va arriver, il faut continuer de dessiner, et sans effacer, pour ne pas détruire tous ces beaux moments passés
Parfois, on aimerait partir loin de tout, faire le vide, s’évader, rêver un peu… Juste un peu.
Ecoutez beaucoup, afin de diminuer vos doutes ; soyez attentifs à ce que vous dites, afin de ne rien dire de superflu ; alors, vous commettrez rarement des fautes
Nous qui sommes avec un passé, nous qui avons une histoire, depuis la nuit des temps,les loups, nous sommes le continent noir.Levons-nous et brisons nos entraves. Debout, debout, debout ! Asservis, humiliés,achetés. Seuls dans notre malheur,ignoré, ils nous ont divisés,et de nos fréres séparées. Le temps de la colère, notre temps, est arrivé, connaissons notre force, découvrons-nous des milliers ! Ensemble, on nous opprime.Ensemble, Révoltons-nous !
Chaque matin nous naissons à nouveau Ce que nous décidons de faire Aujourd'hui C'est ce qui compte...'' Enfin le printemps est là
Quand des animaux de laboratoire découvrent la vie Situé à Nogent-le-Phaye (Eure-et-Loir), près de Chartres, le zoo refuge de La Tanière, qui ouvrira ses portes au public en 2020, accueille déjà de nombreuses espèces, dont neuf singes de laboratoires de recherche médicale. Un concept inédit en France.
Ils s'appellent Arthur, Wallace, Rocco ou Dexter. Neuf singes de laboratoires de recherche médicale goûtent pour la première fois de leur existence à une vie paisible au futur zoo refuge La Tanière, près de Chartres. Voués comme 2000 à 3000 primates, selon le Gircor, (Groupe interprofessionnel de réflexion et de communication sur la recherche) à l'euthanasie, ces animaux sauvages, des macaques fascicularis, cynomolgus et rhesus, sont arrivés la semaine dernière de Belgique et de France, à Nogent-le-Phaye (Eure-et-Loir).
Deux autres doivent encore arriver la semaine prochaine. Jusqu'à aujourd'hui, il n'existait pas de structure en France en mesure d'accueillir ces animaux. Ils sont désormais calfeutrés pendant un mois en zone de quarantaine comme le stipule la législation, dans un bâtiment unique en Europe adapté aux primates. Ensuite, ils rejoindront de grandes volières à l'air libre où ils tenteront d'apprendre à vivre presque normalement leur vie d'animal en captivité.
Pour le maître des lieux, Patrick Violas, l'objectif «n'est pas de les garder, mais de les sauver».
À La Tanière, Patrick Violas et son épouse, Francine, ont vu les choses en grand. Alors que le zoo refuge doit ouvrir ses portes en 2020, ils ont d'ores et déjà aménagé un grand bâtiment de 800 m² avec, au total, neuf loges pour accueillir les animaux en quarantaine. Chaque loge mesure entre 9 et 20 m².
«C'est la première fois que les singes ont autant d'espace parce qu'ils vivaient dans des cages. Quand on les a recueillis, ils ne comprenaient pas ce qui leur arrivait», explique le propriétaire. «Aujourd'hui, on leur a même installé la télévision. On avait remarqué qu'ils étaient fascinés par les écrans de téléphone», poursuit-il avec amusement.
Outre cet équipement, les primates peuvent se balancer sur les agrès mis à sa disposition, ou se délasser tranquillement en regardant par la fenêtre, ce qui permet à certains de voir la nature pour la première fois de leur vie. À l'issue de leur quarantaine, prévue le 8 avril, les macaques seront introduits dans une volière avec des abris intérieurs et extérieurs.
«Lorsque ces singes auront été bien suivis par nos équipes et que l'on aura reconstitué une ou plusieurs communautés, nous nous efforcerons de les replacer dans des zoos plus classiques, dans des endroits où ils seront bien traités», indique Patrick Violas. L'arrivée de ces primates est l'issue d'un «long combat que nous avons gagné», se réjouit pour sa part Marie-Françoise Lheureux, présidente et fondatrice du Graal (Groupement de réflexion et d'action pour l'animal), association grâce à laquelle les animaux sont arrivés au refuge.
«Ces primates, sur lesquels des expériences scientifiques ont été réalisées durant dix à vingt ans dans le domaine des neurosciences et de l'optique, attendaient depuis deux ans de rejoindre La Tanière», explique-t-elle. À cet égard, l'exemple de Cannelle, la seule macaque femelle du groupe, est édifiant. Âgée de 21 ans, elle vient de Chine et a passé 19 ans en laboratoire où elle a servi dans des recherches sur la rétine humaine. Une deuxième vie Malgré les histoires tragiques de ses pensionnaires, Patrick Violas s'efforce de ne jamais être dans le jugement.
«Notre combat est le bien-être des animaux. D'autres organisations font très bien le travail de sensibilisation», affirme-t-il. Titulaire d'un bac agricole, cet homme de 58 ans a commencé sa carrière professionnelle comme garçon vacher dans une ferme laitière. Mais très vite, il rejoint un groupe automobile et grimpe les échelons pour devenir directeur commercial. Dans les années 1980/1990, il crée, avec son épouse, une boutique de téléphonie mobile en Eure-et-Loir, «5/5», puis deux, puis trois, jusqu'à 270 dans toute la France, avec 1800 salariés sous ses ordres. Un empire qu'il a vendu en 2009 et qui lui a permis de faire fortune. En 2011, il tourne la page des affaires pour revenir à ses premières amours, les animaux, en rachetant un corps de ferme à l'abandon aux portes de Chartres. Il y crée «La Ferme pédagogique de la Renaissance» qui accueille près de 400 animaux, principalement de basse-cour, délaissés ou maltraités.
La ferme est ouverte au public. Au détour d'une rencontre avec des gens du cirque qu'il a depuis fait venir avec lui, Patrick Violas décide de donner une nouvelle dimension à sa ferme en accueillant des animaux sauvages. Il s'entoure de professionnels reconnus comme Florence Ollivet-Courtois, vétérinaire spécialiste des animaux sauvages
«Sans doute la meilleure en Europe dans son domaine», s'enorgueillit-il. Il investit massivement dans de nouveaux bâtiments et des équipements neufs, ainsi que dans une clinique vétérinaire de pointe. La nouvelle structure adossée à la ferme pédagogique accueille désormais des animaux de cirque à la retraite, d'autres saisis chez des particuliers qui n'avaient pas d'autorisation, ou provenant d'élevages clandestins...
«Mon rêve, ce serait de fermer tout de suite, parce que cela voudrait dire qu'il n'y a plus d'animaux à sauver» Patrick Violas, propriétaire du zoo refuge La Tanière Aujourd'hui on y trouve des ours, des otaries, des wallabies et autres animaux exotiques ou sauvages... Plus d'un millier d'animaux, de l'écureuil à l'éléphant, devraient trouver leur place dans ce zoo refuge baptisé La Tanière qui ouvrira au public en 2020, ce qui permettra d'aider à financer son fonctionnement. Patrick Violas se définit comme «un amoureux» des animaux.
«Ils sont plus nombreux que nous et souvent en situation de détresse à cause de nous. Et si demain il n'y a plus d'animaux sur Terre, nous ne serons plus là non plus car nous faisons partie de la chaîne alimentaire. Les animaux valent autant que les humains».
Son rêve?
«Qu'on ne soit pas obligé d'aller dans des parcs, d'ici quelques années, pour voir des animaux qui auront disparu à l'état sauvage». Et, Patrick Violas l'avoue, il préférerait «fermer tout de suite La Tanière parce que cela voudrait dire qu'il n'y a plus d'animaux à sauver». En attendant, son combat continue, et les appels lui demandant d'accueillir de nouveaux spécimens ne cessent d'augmenter.
« Farout », la planète la plus éloignée du Soleil jamais découverte
La planète naine, un caillou au reflet rose , se trouve à dix-huit milliards de kilomètres du Soleil. Dix-huit milliards de kilomètres.
C’est la distance qui sépare la planète naine VG18 du Soleil, soit 120 unités astronomiques (UA, une UA correspondant à la distance entre la Terre et le Soleil, soit environ 150 millions de kilomètres).
Ou encore trois fois la distance qui sépare Pluton du Soleil. Ce caillou aux reflets rosés de 500 kilomètres de diamètre a été observé avec le télescope Subaru, à Hawaï, par l’équipe de Scott Sheppard, du Carnegie Institution for Science. Baptisé « Farout » (loin), c’est l’objet le plus éloigné du Soleil qu’on ait découvert à ce jour.
« Nous avons immédiatement su que c’était un objet intéressant », explique au New York Times M. Sheppard, lundi 17 décembre. Les chercheurs supposent que ses reflets rosés sont dus à une surface glacée, mais la composition de Farout demeure inconnue. Son orbite n’est pas non plus connue, tant le mouvement de cette planète si lointaine est lent.
« Cela prendra des années pour déterminer son orbite », précise Scott Sheppard. On ne sait pas si elle pourrait être influencée par l’hypothétique « planet X », une planète dont l’existence permettrait d’expliquer les trajectoires de nombreux objets situés bien au-delà de Neptune et de Pluton.
Le troublant secret de fabrication du café le plus cher du monde
Mauvaise nouvelle pour les civettes, le kopi luwak est fabriqué à base de graines de café ramassées dans leurs excréments. Les civettes en captivité sont parfois nourries exclusivement de cerises de café, le fruit qui produit les graines de café. Dans la nature, leur régime alimentaire compte également des fruits, des insectes et des reptiles.
C’est le café le plus cher du monde, et il est préparé à partir de crottes. Enfin, à partir de grains de café partiellement digérés puis expulsées par la civette, une petite créature de la taille d’un chat. Une tasse de kopi luwak, c’est son nom, peut atteindre le prix de 80 dollars (71,50 euros) aux Etats-Unis.
La civette, que l’on retrouve en Asie du Sud-est et en Afrique Sub-saharienne, possède une longue queue comme les singes, des marques sur le visage comme les ratons-laveurs, et des rayures ou des taches sur son corps. Elle joue un rôle important dans la chaîne alimentaire, puisqu’elle se nourrit d’insectes et de petits reptiles en plus de fruits tels que les cerises de café et les mangues, et se fait dévorer par les léopards, les gros serpents et les crocodiles.
Au début, le commerce de café de civette laissait présager un bel avenir pour l’animal. En Indonésie, on considère souvent la civette palmiste, qui pille les exploitations fruitières, comme nuisible. La croissance de l’industrie du kopi luwak a donc encouragé sa protection par les agriculteurs locaux pour la valeur de ses excréments. Ses enzymes digestives changent la structure des protéines présentes dans le grain de café, lui enlevant une certaine acidité pour un rendu final plus doux dans la tasse.
Mais le café de civette a gagné en popularité. Alors que l’Indonésie devient une destination touristique où de plus en plus de voyageurs veulent observer la nature et interagir avec les animaux, un nombre croissant de civettes sauvages sont enfermées dans des cages sur des plantations de café en partie pour la production de café, mais faire payer les touristes qui veulent observer l’animal. Les excréments de civettes, parsemés de graines de café partiellement digérées, étaient auparavant recherchés dans la nature. De plus en plus de civettes sont désormais enfermées dans des cages insalubres sur des plantations de café.
Des chercheurs de l’unité de recherche en conservation de la faune de l’université d’Oxford et de l’ONG World Animal Protection, basée à Londres, ont étudié les conditions de vie de près de 50 civettes sauvages retenues en captivité sur 16 plantations à Bali. Les résultats, publiés jeudi dans la revue Animal Welfare, brossent un tableau sinistre du phénomène.
De la taille à la propreté des cages en passant par la possibilité laissée à leurs habitants de se comporter normalement, aucune des plantations visitées par les chercheurs n’a réussi l’examen des exigences minimum en matière de bien-être animal. « Certaines cages étaient vraiment minuscules, de vrais clapiers à lapins. Elles sont complètement imbibées d’urine et recouvertes de crottes », a déclaré Neil D’Cruze, l’un des chercheurs de l’étude.
Certaines civettes étaient très maigres parce qu’elles étaient nourries exclusivement de cerises de café, le fruit qui entoure le grain de café. D’autres étaient obèses à cause du manque d’espace pour se déplacer librement. Et d’autres encore étaient devenues complètement accros à la caféine, décrit D’Cruze. Ce qui selon lui était le plus troublant était le sol grillagé sur lequel de nombreuses civettes étaient forcées de se tenir debout, assises ou allongées pour dormir à longueur de journée.
« Si vous vous tenez sur ce genre de grillage métallique en permanence, vous allez vous retrouver avec des douleurs et des abrasions. Elles n’ont nulle part où aller pour éviter ce sol », a dit D’Cruze. « C’est une source constante et intense de douleurs et d’inconfort. »
De plus, de nombreuses civettes n’avaient pas d’accès à l’eau potable ni aucune opportunité d’interagir avec d’autres membres de leur espèce. Et il ne faut pas oublier l’exposition au bruit lié à la circulation et aux visites touristiques au cours de la journée, ce qui peut être très dérangeant pour cet animal nocturne. Un civette en captivité, probablement capturée dans la nature, regarde par les grilles de sa cage où elle est enfermée pour produire du kopi luwak, le café le plus cher du monde.
SAUVAGE OU EN CAGE, QUI SAIT ?
Tout ça pour un produit de luxe, et d’ailleurs une version inférieure d’un produit de luxe. Les experts affirment que si le kopi luwak est remarquable, c’est en partie parce que les civettes sauvages choisissent les meilleures cerises de café pour se nourrir. Le fait d’enfermer les civettes dans des cages et de leur donner à manger n’importe quelles vieilles cerises produit un café de qualité inférieure. D’autre part, un expert en café cité dans un article pour la Specialty Coffee Association of America, l’organisation américaine des torréfacteurs et des commerçants de café gourmets, a affirmé que le kopi luwak n’était même pas si bon que ça.
Le processus digestif des civettes a beau adoucir le café, il enlève également les bons acides et les saveurs caractéristiques d’une bonne tasse de café. Il n’y a maintenant plus aucun moyen de savoir si un sac de kopi luwak a été préparé au moyen de civettes sauvages ou en captivité. Un reportage en caméra cachée réalisé par la BBC en 2013 a révévé que du café préparé par des civettes retenues en captivité dans d’atroces conditions se retrouve commercialisé en Europe avec une étiquette indiquant l’origine sauvage des civettes. Même Tony Wild, le négociant en café qui a introduit le kopi luwak en Occident, a pris position contre ce produit dans un article publié dans le quotidien britannique The Guardian.
« C’est devenu un produit sur-industrialisé, abusif et contrefait », écrit-il. Il n’existe aucun programme de certification pour s’assurer que le café commercialisé comme « sauvage » le soit réellement. D’autres organismes de certification du café qui travaillent pour garantir une agriculture et une production respectueuses de l’environnement refusent de certifier le kopi luwak, tout simplement. Les normes du Réseau d’agriculture durable (ou Sustainable Agriculture Network, SAN), utilisées par de nombreux organismes de certification de café comme la Rainforest Alliance pour accorder leur vignette, interdisent la chasse et la capture d’animaux sauvages sur les exploitations.
L’interdiction de civettes en captivité est spécifiquement mentionnée dans les critères du SAN pour le café en Indonésie. UTZ, autre importante norme de certification de café durable, interdit également l’enfermement dans des cages d’animaux sauvages sur les exploitations, et n’accorde sa certification à aucun kopi luwak. Alex Morgan de la Rainforest Alliance, qui suit les normes SAN, explique qu’il est trop risqué de certifier le kopi luwak parce qu’il est trop difficile de savoir avec certitude si les graines sont bien d’origine 100 % sauvage.
« Mon conseil personnel est généralement de l’éviter », dit-il. « Vous avez plus de chances de vous retrouver avec un produit provenant d’une production en cage. » Cet article a été réalisé par l’unité spéciale de recherche (SIU) de National Geographic, qui s’intéresse aux crimes commis contre la vie animale. Il a pu être réalisé grâce aux bourses de la BAND Foundation et du Woodtiger Fund. Retrouvez plus d’articles de la SIU sur Wildlife Watch.
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