Fandeloup

Tu sait que j'apprécie ton amitié

Je veux t’aimer jusqu’à ce que toutes les étoiles du monde se tiennent au ciel  de tes yeux et jusqu’à ce que les gouttes de pluie ruisselant sur mon visage deviennent les mille baisers de l’aurore ,que tu cueilles encore en mes bras ,ses éternelles gerbes de frissons. Je veux t’aimer jusqu’à ce que les chemins de l’infini nous conduisent au bout de l’éternité ,et qu’ensemble dans une éternelle jeunesse nous parcourions le temps sans jamais délaisser les liens qui nous unissent. Je veux que chaque jour fleurisse dans l’écho de tes mots de tendresse.

Comme ce pauvre loulou, je me sens en cage. Incompris, inécouté, oublié.... Nous ne sommes pourtant pas une simple page Que l'on peut, à sa guise, tourner...

Si l'être humain pouvait être plus réfléchi et sage, Beaucoup de souffrances pourraient être éviter...

Nos vies sont prises en otage Par l'égoïsme et l'absurdité...

Humains et animaux, mêmes mots

Animaux et humains, mêmes maux

Cette mélancolie porte mon cœur dans la douceurdes tes ruisseaux de l’âme. J’y sens comme ruisseler une pluie d’étoiles qui peint l’amour en cent millions de rêves. Toutes ses pensées couchées dans l’ombre ravivent un peu les vagues de ma mémoire. Ton nom berce ma raison ,puis m’emporte en ce sublime naufrage des jours heureux. Qu’il était donc doux ce refuge, où coulait à flot ce délire de nos soupirs. Il me semble encore entendre ce murmure de tes doux baisers perdus en vain dans l’immensité de mes vents fous . Dis-moi toi qui crie si fort en longs sanglots muets, portant les empreintes d’une amère solitude ,pourquoi donc mon cœur a-t-il gardé en mémoire la magie secrète de cette douloureuses absence ? En quelle ivresse as-tu donc peins ses relents de regrets ? Il y a tant de mélancolie au fleuve de mes mots que je m’y perds et m’y noie presque, que c’est en radeau ivre que j’y remonte tu sais, le courant de nos amours passés. C’est dans la plainte des vagues que j’entends toujours mes longs sanglots muets ,le temps passe bien trop vite au quai des rêves

oui il ne ce dresse pas seul, car il ne serai pas méchant

Sous la voûte bleuie du ciel errent les émois Habillés je crois en frissons du désir. Le printemps encore loin des portes de l’hiver passe dans l’enchevêtrement des gouttes de pluie. Je n’ai plus au cœur aucun espoir de te revoir ,de réentendre murmurer nos brises d’été. Tu t’es envolé sur les ailes du vent, sous cet humble lune qui créer les rêves et qui s’enfuit bien loin de ma galaxie. Mon cœur maintenant tangue sur une mer sans âme. J’ai entre les mains une gerbe de fleurs d’écume qui ne portent que des parfums de larmes. Un jardin d’eau où ne pousse que lit de mousse. Mille regrets je crois, marquent l’aube de baisers d’adieu….Tu n’es plus là et ton reflet dans les ombres dansantes ,mirée dans un étang de mélancolie jette en mon coeur des larmes nostalgiques

contre la maltraitance animale et contre la fourrure on est pas a la préhistoire et on ne vit pas a -375°C donc je ne vois pas l ’ intérêt de porter des animaux morts sur soi . si vous avez un argument qui tient la route (et j 'en doute) car j'ai du mal a comprendre ces personnes qui en portent, pire celles qui en sont fière

À quoi bon rêver du soleil de tes mains ,quand ce ne sont que des gouttes de pluie que je cueille les matins. Ton absence ne m’impreingne que de nuit. J’ai devant les yeux  des rouleaux de ciel et des vagues meurtries de douloureux silences. L’âme de tes baisers n’a plus ce goût de miel ,et sur ma peau, les frissons marquent l’errance. Qu’il est donc lourd ce chagrin au fond mon cœur ,quand toute cette pluie déferle ,vient assouvir mes pauvres espoirs de bonheur. À quoi bon rêver d’amour à tes berges blanches? Ta tendresse s’est tarie au fleuve de mes étés. Je ne suis plus qu’une vielle ombre en ces jours ,prenant appui sur ces mélancoliques rochers

un regard qui en dit long

La vie ça n'se respire qu'une seule fois,et le bonheur ça se vit sans aucune loi ..Etre libre, voilà mon véritable combat ..Tout faire pour que ma colome intérieure ait enfin le ♥ qui bat.. Mais des fois j'lâche, dans ma tête c'est le désordre .