Fandeloup

Dans les froids cimetières où s’alignent les tombes, quand le silence profond de la mort plane et tombe, quand la vie a cessé de tourmenter la vvie ,et que les âmes enfin reposent sans envie, les fleurs sont tristes… Sans doute conscientes, émues, respectueuses du deuil, elles se fanent lentement en restant sur le seuil, entre la vie, la mort prolongeant l’éphémère, malheureuses, impuissantes aux tourments de la Terre…. Si tristes sont les fleurs… Que devant la mort, elles pleurent

effet flamme

La mémoire est le miroir, le reflet de l’âme, son tiroir

effet flamme

Quand l’été se termine et que l’hiver arrive, quand les oiseaux se taisent et que chante la grive, rien n’est plus enchanteur qu’un tapis de blancheur, Que des branches pliant comme le poids des ans.

Quand au soleil levant, l’oiseau reprend son chant, quand toute la nature éclate sans bavure ,rien n’est plus merveilleux, pour le plaisir des yeux ,que les bourgeons poussant au fil du jour naissant.

Quand le froid de décembre engourdi tout vos membres ,quand les oiseaux gisants sont bien souvent mourants ,rien n’est plus émouvant que des larmes d’enfant ,que le regard perdu de celui qui n’est plus.

Quand un soleil brûlant réchauffe en nous dorant ,quand pies et moineaux et autres grimpereaux couvent tranquillement en se moquant du vent ,rien n’est plus exaltant que le retour du printemps.

effet flamme

Dans un grain de sable voir un monde.. Dans chaque fleur des champs le Paradis

effet flamme

HUMOUR

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