Fandeloup

bon mercredi

tigresse qui avait un tigrillon nouveau-né. Dans sa cage rectangulaire, rien ne la protégeait contre l'offense des regards. Point d'ombre, point de niche, point de paille, point de retrait pour allaiter et chérir. De droite à gauche, de gauche à droite, sans repos, elle portait entre ses mâchoires son petit, aveugle encore, qui a fini par en mourir. [..] Du moins en ce qui concerne les fauves et les autres hôtes des grands espaces, oiseaux compris, je me repose sur une certitude funèbre: nous n'avons su que les désespérer.

Recette Présidentielle.

3 cuillerées de: sottise, convoitise, envie et avidité.

1 grosse dose d'ambition et d'égoïsme.

1 sachet de médisance et d'hypocrisie.

2 grosses poignées de mensonges. ...

1 semblant de charité.

Broyer le tout avec force et arrogance.

Pétrir dans le sens des affaires.

Faire chauffer à thermostat AAA en mode %, honneur et célébrité.

Napper de flatteries.

Ne pas oublier de saupoudrer de peur.

Bonne appétit.

Moi sans toi c’est… :

Un arbre sans feuilles

Une rose sans épines

Une plage sans sable

Une chanson sans voix

Un stylo sans encre

Un vélo sans guidon

Un livre sans écriture

Une voiture sans roues

Un été sans soleil

Une maison sans murs

Un critérium sans mines

La mer sans eau

Un câlin sans amour….

Je suis ici et toi la bas ..Pourquoi cela ? Je pense à toi ,au moment que nous aurions passés si tu serais à mes cotés. J’aimerais partir de cette terre pour te voir au ciel et t’observer. Je te dédie ce poème pour te dire à quel point je t’aime. Et que mon amour pour toi, vivra jusqu’a la fin de mes jours

C’est une personne à qui on peu parler sans avoir peur d’être jugé, et qui sera toujours à nos côtés. Avec elle on a du plaisir, puis elle sait ce qui nous fait souffrir, mais sur son épaule on peut se blottir. Elle a toujours les mots pour nous réconforter ,même si ces mots nous font pleurer dans notre ♥, ca vient nous réchauffer. C’est par ce lien du ♥ que l’on reconnait une amie ,et rien ne devrait tacher ce bonheur

Si on pouvait…

Rêver sans dormir

Aimer sans souffrir

Vivre sans mourir

Rire sans pleurer

Partager sans retirer

Donner la vie sans l’enlever

Parler sans blesser

Adorer sans détester

Idéaliser sans décevoir

Charmer sans déplaire

Courir malgré les années… Alors, rien qu’alors, on serait proche du parfait

Le silence tombe sur moi, comme la foudre tombe sur terre. Jamais plus je n’aurai le droit d'espérer cette vie légère. Je ne suis qu’une ombre parmi vous, j’avance le cœur serré, en songeant à ce bonheur si doux que j’ai tant espéré ! Ô ange gardien, toi qui es là pour me guider, pourquoi ne suis-je rien dans ce monde si étoilé ? Chaque jour je pense à toi, et chaque jour j’en pleure, pourquoi est-ce moi qui ai le plus de mal à accepter ce malheur ? Le vent souffle court à mes idées, comme si l’on m’avait ôté une partie de ma vie, et que l’on m’avait jetée dans l’oubli ! Les blessures s’approfondissent de jour en jour, mon cœur souffre de ce manque d’amour, je ne veux pas croire que tu es parti, et que désormais tu te trouves au paradis. Maintenant écoute nos prières, car jamais plus la vie ne fera marche arrière ; Dans ce monde autrefois de couleurs, Je ne distingue plus que la douleur ! Triste désormais je suis, car maintenant tu es loin de moi, et plus jamais nous serons réunies, comme autrefois !

Non je ne te dis pas Adieu mais au revoir, nous nous retrouverons quand ce sera à moi de partir...

Les larmes n’ont pas la couleur de ceux qui pleurent, le chagrin n’a rien à voir avec le temps du mal de celui qui le ressent,et plus loin, lorsque ce moment s’éternise ,plus rien ne peut l’arréter. Faut il se dire que la nuit devient plus claire que le jour, et je garde au fond de moi cet ancre qui retient mes maux; et je lis cette page qui est ma vie, insomnie qui me détruit. Demain, peut être, bordera le jour pour toujours, à jamais sans cesse, les vents joueront de mes quêtes; avant que je ne puisse livrer bataille,parce que les larmes n’ont pas la couleurs de ceux qui font pleurer, parce que le temps n’a rien à voir entre la vie et la mort, comment saurais-je quitter cette insomnie? celle qui me laisse trainer en vrac sur la nuit, sans savoir où le temps a caché cet endroit qui me laissera reposer en paix. Les larmes n’ont pas la couleur de ceux qui font pleurer, et dans cette insomnie qui me balance entre les temps que je ne peux conter, j’ai également compris que les larmes n’appartiennent pas non plus, à ceux qui les montrent.

Peut-on vivre sans écouter ces belles musiques qui ont bercé notre adolescence et qui maintenant encore nous font rêver à une jeunesse lointaine et à jamais perdue……..