Fandeloup

L’âme sœur, une sorte d’accord parfait entre deux êtres prédestinés à se rencontrer, quelqu’un capable de nous rendre heureux, quelqu’un avec qui on a envie de vieillir, une seule personne faite pour nous, comme une sorte de part manquante originelle dont on aurait gardé la marque dans notre chair et notre âme

Tu es l’autre partition solitaire et inséparable. La vie sans toi sera anéantisée. Crois-tu que je pourrais survivre ? Moi, je sais ! Je marche à la dérive dans un désert en décomposition avec cette seule pensée, Ici tu n'es plus.

Conquérir l'amitié d'un chat est chose difficile. C'est une bête philosophique, rangée, tranquille, tenant à ses habitudes, ami de l'ordre et de la propreté, et qui ne place pas ses affections à l'étourdie : il veut bien être votre ami, si vous en êtes digne, mais pas votre esclave

J'ai besoin d'aimer dans le velours ,un homme qui ne tient pas de discours.. Un homme qui n'a seulement pour retour que la sincérité du mot amour

J'ai besoin d'aimer sans mensonge ,un homme qui ne deviendra pas un étranger ..Un homme qui remplit mes songes avec qui partager mes rêves sans danger

J'ai besoin d'aimer sans crainte, un homme qui me comprend .Un homme qui entend ma complainte ,sans se cacher derrière des apparences

J'ai besoin d'aimer sans artifice, un homme qui soit mon complice. Un homme qui n'a que pour délice un amour simple et sans malice.

La pénombre recouvre doucement l'horizon.. Tout commence alentour à s'endormir ..On ne voit plus que les fantômes des maisons ..Le silence enveloppe lentement les soupirs..  Comme j'aime entendre descendre ce silence ..Plus aucun bruit dans cette ombre ouatée ..Quand enfin tout ressemble à l’errance.. J’entre inexorablement dans de douces pensées.. La nuit me donne tous les espoirs.. Tous mes fantasmes sont enfin de retour.. Je m'enroule dans ce velours teinté de noir.. Que seule la lune comme témoin peut voir.. Rien ne peut plus alors me faire peur.. Je repousse avec mes rêves le petit jour ..Tout dans ce décor sombre à une autre saveur.. Je m'envole dans un tourbillon de bonheur.. Je sors sans effort de ce corps en détresse.. Tel un oiseau je m’envole au-delà du réel.. Je ressens le vent léger qui me caresse.. Et qui me donne le sentiment de l’éternel.. Et je vole de nuit au-dessus de mes songes..

Internet est une toile où se projettent les passions comme les fantasmes, des pans de vie réelle et des réalités virtuelles, un réseau où se côtoient contestation et aliénation, fatalisme et fanatisme.

j'ai besoin de lumière... si je suis fermement attachée à mon sol toujours mariée à la terre je grandis néanmoins vers le ciel et je croîs... je mûris en noblesse et en beauté. Par certains jours noirs et sombres de l'hiver ou certaines heures d'automne noyées de pluie je travaille à l'intérieur et j'attends… Nulle protection ni secours incertitude maillée d’espérance je ne commande pas à la nature je collabore avec elle. Comme un arbre j'ai mes saisons mes forces, mes failles

L'heure bleue ce n'est pas une heure, c’est une minute. Juste avant l’aube, il y a une minute de silence. Les oiseaux de jour ne sont pas encore réveillés. Et les oiseaux de nuit sont déjà couchés. Et là, là, c’est le silence. Le silence dans la nature, c'est merveilleux.C’est le seul moment où on a l’impression que la nature s’arrête de respirer.

Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose et que LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante

L'habitude est une étrangère qui s'implante en nous ,la raison c'est une ancienne ménagère qui s'installe dans la maison.. Elle est discrète, humble, fidèle, familière avec tous les coins.. On ne s'occupe jamais d'elle ..Car elle a d'invisibles soins.. Elle conduit les pieds de l'homme, sait le chemin qu'il eût choisi ,connaît son but sans qu'il le nomme ,et lui dit tout bas : "Par ici" .Travaillant pour nous en silence ,d'un geste sûr, toujours pareil ,elle a l'oeil de la vigilance ,Lls lèvres douces du sommeil ,mais imprudent qui s'abandonne  a son joug une fois porté ! Cette vieille au pas monotone endort la jeune liberté ,et tous ceux que sa force obscure  a gagnés insensiblement sont des hommes par la figure ,des choses par le mouvement