Fandeloup

Mange quand tu as faim.

Danse sous la pluie sans avoir peur de tomber malade.

Avale du nutella sans compter les calories.

Pleure sans penser à ton maquillage qui coule.

Souris à pleine dents sur les photos.

Ecoute la musique que tu veux écouter.

Prends trop de photos.

Dis aux gens ce que tu penses.

Voyage le plus possible.

Attache toi mais n'aie pas peur des séparations (qui sont inévitables).

Accepte que le passé sois le passé.

Et si personne n'est capable de t'aimer et de le faire correctement, aimes-toi ! ? :)

Qui arrive à l'horizon, s'appuyant sur un bâton? Entre, entre, père Noël, dans notre jolie maison, entre te mettre à l'abri du gel; Et dans un petit sabot, si tu poses un beau cadeau, toujours nous te garderons bien au chaud dans la maison

Tes yeux n'ont pas de crépuscule,ils respirent l'aube avec chaque soupir du temps..ils reflètent les couleurs d'été mûries par le soleil qui se voile derrière ton iris ,lorsque les nuages implorent tes larmes d apprendre à la pluie la musique du ciel..tes yeux sont une fenêtre qui laisse passer la brise du matin..

admirablement beau..............si la nature pouvait rester comme ca..............

Dans tes yeux,j'ai voyagé dans le temps,j'ai fait de tes sourcils des arcs et des ponts..dans tes yeux,je me suis vu,réchauffé par la beauté de ton regard

J'ai déchiré ma voix pour exhiber un cri..je songe à leurs mots ,leurs moqueries.Je suis comme un jouet cassé qui ne sert qu'à divertir le public ,qui ne vit plus depuis que le temps a voyagé dans la vapeur des trains..les gens crachent des regards sur mon corps,  indifférents à ma douleur..moi aussi je peux cracher tout mon être ou du moins,ma haine viscérale,mais j'ai déjà tellement crier,et personne n'ai venu a mon secours

Depuis que tu es parti,je suis plutôt toi que moi..je n'ai plus mon corps,seulement ces ombres mentales ,des caresses que j'ai promenées sur le tien tels des chiens enchaînés par les liens de la fidélité..je suis un rêve avorté par un réveil brutal..je suis un astre qui sort de l'orbite après avoir perdu sa dignité gravitationnelle..je suis une passante qui traverse la rue déserte d'une dépression sans reliefs où nul panneau n'indique le futur..je suis fait de ton amour,défait par, ta perte

Un moment,juste un petit moment..c'est tout ce que je demande.Le dernier désir d'un condamné,le dernier baiser d'un soldat partant à la guerre..te regarder une autre fois et vivre ma vie telle une photo..te toucher encore et encager ma main dans l'épilepsie du reniement..t' embrasser pendant une illusion et oublier mon corps sur le banc de l' asile des rêveurs mentaux.Te rejoindre dans l'autre rive et me déshabiller de mes annéespour t'aimer sans âge et loin du cri agaçant des horloges

photographiée ou peinte sur le vif,la femme n'a guère besoin de couleurs ni de pénombre pour rayonner de mille feux..elle,l'inspiration et la muse,ne peut jamais être réduite à l'objet d'art qui s'évertue à la représenter.L'art ne parvient qu'à symboliser la splendeur de son esthétique par des projections inertes et des lignes étourdies qui n attraperont jamais les courbures houleuses de ses rondeurs..

Les oiseaux voyagent dans la nudité du ciel sous le regard furtif du soleil chaste qui n'a jamais osé se déshabiller de sa chaleur..les oiseaux sont dupes,ils ne savent pas que le nord est indiqué par mon ♥..que le printemps n'est qu'une dentelle en fleurs ornant la fierté montagneuse de yeux..que des nids sont cachés dans tes sourcils et des nuits d'automne tremblent encore dans tes cheveux..qu'il n existe en toi qu'une saison unique que l'on appelle le bonheur