Fandeloup

Le cœur a besoin de cajoleries, Il s’émerveille devant la tendresse, Il sait apprécier toute délicatesse, Palpite à la pensée d’une rêverie, Des larmes de joie le bouleversent, Des mots d’affection le transpercent…

humour

Quand je vois tomber la pluie, je me sens moins seule, de savoir que le ciel pleure aussi

J'aime quand tes yeux couleur de brume, me font un manteau de douceur, Et comme sur un coussin de plumes, mon front se pose sur ton cœur … tes yeux sont des ailleurs aux rives d'un été, qui rallument en mon cœur des soleils oubliés

Courir au-delà des mers, c'est changer de climat, mais non changer de coeur

J'ai essayé d'aller bien ou de faire comme si du moins, mais je n'y arrive pas ,chaque fois ma boite de pandore s'ouvre, me rappelant sans cesse tout ce dont j'ai été témoin, je veux oublier, mais tout me recouvre. Je ne veux plus y penser, le choix ne m'appartient pourtant pas, tout me rattrape lorsque je prends la fuite pour m'oublier, Je cours pour perdre juste quelques bouts de moi. Les plus nuisibles, ceux qui m'empêche de vivre avec le sourire, bien sûr, je souris, mais je ne suis plus sincère lorsque je le fais, Je mens, je n'aime pas ça, et je me vois dépérir, Personne ne s'en rend réellement compte parce que je sais bluffer. Pathétique, néanmoins tout ça n'est pas dramatique, Peut-être que si, je ne sais plus, dans mon miroir, je ne vois qu'une inconnue perdue...

Je suis tellement mal. Qu'ai-je donc fait pour que mon cœur porte autant de cicatrices et de bleus à l'âme ? Tellement de plaies que je n'arrive pas à refermer, je vis à cœur ouvert comme pour dire "vas-y, mets-y ton coup de poignard, t'inquiètes ce n'est pas grave, je ne suis rien, juste une femme au mal de vivre". La vie m'a tellement entaillée que vous ne pouvez rien faire contre moi, pas même me faire sombrer davantage, je suis déjà tellement bas. À terre parmi les déchets de la terre... Que voulez-vous que je vous dise ? Que j'aimerai vivre en sérénité, que je voudrais être heureuse, que je souhaiterai vivre à en avoir le souffle coupé ? Oui j'aimerai tout ça, mais je respire par habitude, pas par envie. J'en ai marre de faire semblant que tout va bien, TOUT VA MAL !!! Pourquoi ?  Je ne cherche même pas à me venger ,non . J'attends que la roue tourne et qu'elle me rende ce qu'on lui a volé. Ma joie de vivre, ma tranquillité, mon sourire,ma vie tout simplement. Je ne suis qu'une ombre qui patiente pour retrouver son corps... En attendant, je vis la vie en ouvrant les bras à sa fin...

Il est facile de juger, moins facile de comprendre... Au fond qu’elle importance, que l’on soit compris ou non importe peu, mais les mauvais jugements font mal, alors si tu ne sais pas vraiment qui est en face de toi, ni son histoire ni même ce qu’elle ressent, ne te précipite pas avant de mettre des mots sur son moi profond. Elle seule sait qui elle est, et si tu ne veux pas la connaître plus, au lieu de la juger, de la critiquer, part, tourne-lui le dos, mais ne lui fait pas de mal.

Et elle sentait entre elle et lui, comme un voile, un obstacle, s'aperçevant pour la première fois que deux personnes ne se pénètrent jamais jusqu'à l'âme, jusqu'au fond des pensées, qu'elles marchent côte à côte, enlacées parfois, mais non mêlées, et que l'être moral de chacun de nous reste éternellement seul pour la vie."

Je crois que la tendresse est un mouvement qui nous entraîne à suivre un chemin bordé de sensations et de sentiments où se trouvent mêlés bienveillance, acceptation, abandon, mais aussi confiance, stimulation, étonnement, découverte. Pour suivre ce chemin, peut-être faut-il accepter de dépasser des peurs, de sortir des préjugés, d'affronter l'inconnu d'une rencontre. Peut-être faudra-t-il plus simplement, plus difficilement aussi, accepter d'entrer dans le cycle de la vie. La tendresse est une naissance à soi-même qui nous fait pénétrer dans le ventre émerveillé de l'existence."