Fandeloup

Vous qui ne savez pas combien l'enfance est belle,enfant ! n'enviez point notre âge de douleurs, où le ♥ tour à tour est esclave et rebelle, où le rire est souvent plus triste que vos pleurs.Riez pourtant ! du sort ,ignorez la puissance, Riez ! n'attristez pas votre front gracieux, Votre oeil d'azur, miroir de paix et d'innocence, qui révèle votre âme et réfléchit les cieux

Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime ,tirés comme par un aimant se retournant docilement, et que je regarde en moi-même, je le vois avec étonnement,le feu de ses prunelle pâles. Clairs fanaux, vivantes opales, qui me contemplent fixement

En promenade je partirai bien .Sur la route je m'évaderai bien libre, seule, à deux, m'enivrer de la beauté de la nature, afin d'éloigner de moi tout ce qui est dur

dans le matin qui se lève ,dans le jour qui se dessine, j’attendrai un signe et le goût de tes hurlements pour que le ciel ait un sens ,pour que s’efface la distance ,et que je rêve encore à toutes ces aurores qui n’attendent que nous

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A quoi penses - tu ?

Avec ton regard si clair. Avec tes yeux si expressifs .

Veux - tu me parler ?

Es - tu pleins de doutes ?

Au contraire, cherches - tu à t'affirmer ?

Le chemin tu trouveras, les réponses tu auras et alors je saurai.

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Ô longs désirs, ho espérances vaines, tristes soupirs et larmes coutumières,  a engendrer de moi maintes rivières, dont mes deux yeux sont sources et fontaines

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Le réveil dans la sérénité, le réveil dans la lumière, le réveil dans la douceur de tous les jours, de mes pensées