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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L’Ange Noir
Subtile et volatile ,il passe dans les vie comme par magie, y laisse un goût amère. Comme sur un champ de guerre,nul ne le vois,pourtant vous êtes sa proie. Son rire fait frémir ,quand les pensées humaine s'enfonce dans les peines. Il vous adore,comme la mort, rien ne l'arrête quand il vous a en tête. Après sont départ ,il ne reste qu'un désert tartares. D’où il en tourne le dos sans aucun soubresaut. Il aura peur de vous regarder ,et de distinguer une l'arme qui jalonne une de ses joues. Il fermera son visage,de peur qu'on y découvre fatalité et un reflet du dommage. Mais est ce bien utile de le cité ?il n'est que banalité
Écrire c'est aussi rendre réel ce qui n'est qu'imaginaire. C'est donner naissance à une semence, qui se veut être l'essence de notre archange... Les yeux fermés, je vois cet ange, sous ma plume, il prend vie .Sur ma feuille de papier, je le laisse divaguer, a l’écoulement de mes mots, son nom prend forme. Et son visage se dévoile à mon plumage qui s'effondre, a en écrire ses moindres formes, qu'il se dessine sous mes vers, que ma plume s'en enivre à se laisser mourir. J'ai laissé trop de liberté à ma plume elle m'a créé un monde parfait mais irréel où mon bonheur coulait de source,et mon sourire égayait mon visage. Mais quand l'encre s'est mise à brûler ce monde pourtant si réel à mes yeux Avait complétement disparu... Ce qu'il en reste de cet univers de flamme, en mon être, j'en garde amèrement le souvenir, de ce que tu m'as offert puis repris par la flamme. De cette mer qui s'est consumée par ta lueur, qui m'as laissé là entre le feu et la cendre. Entre la vie et la mort, entre la joie, la tristesse et le vide. La folie d'un ange ayant perdu ses ailes, Pour devenir celui de mes insomnies ! Toi, qui dans mon corps ne cesse de le parcourir, qui dans mon cœur ne cesse de le faire battre même le souffle coupé. Qui de mon âme ne cesse de me faire scander ton nom, même la voix mutilée à ne plus pouvoir t'appeler ! De mon plumage, je te rend hommage !
Nous les filles, on court dans toute la maison quand on se brosse les dents, on lit la notice du shampoing sous la douche, on rit de nos blagues avant de les avoir racontées, on peut relire une phrase dix fois sans l'avoir comprise, on pousse sur les portes où il est marqué en gras tirer pour les ouvrir, on dit souvent "quoi?" malgré qu'on ai tout compris, on déteste quand le vent souffle dans nos cheveux, on regarde dix fois dans notre frigo sans rien manger, on doit appeler sur notre portable pour le retrouver, on peut regarder une horloge sans même savoir par après l'heure qu'il est, on peut aller au supermarché sans plus savoir quoi acheter, on retourne nos coussins pour avoir le coté froid, on retarde notre alarme pour pouvoir dormir plus longtemps, quand on va se coucher on compte combien d'heures il nous reste à dormir...
Le plus beau sentiment du monde, c'est le sens du mystère. Celui qui n'a jamais connu cette émotion, ses yeux sont fermés
Couchée dans les étoiles quand se meurt le soleil ,J'ai cherché un sourire sur une île de caresses .J'ai endormi ma peau dans le creux de ses bras ,et liberé ma peine aux flots de sa tendresse. Ses vagues ont dérobé un astre de lumière en écaillant le ciel ,et rebrodé d'argent l'écume de ses flots ,et j'ai appris ses mots pour cesser de parler. L'alphabet de la nuit sur un soufle d'éther est venu murmurer qu'il fallait oublier . Moi qui ne savais pas m'endormir loin de toi, Là, sur un lit de sable, j'ai rêvé ton sommeil .Si tu reviens demain chercher un souvenir ,Il ne faudra rien dire ,Je t'apprendrai a aimer la mer
Comme un avion de papier n'a jamais traversé la mer ,mon cœur est souvent bien trop léger pour aimer autant que nécessaire .Écoute ces bruits de pas qui résonnent au fond de moi .C'est mon cœur qui boite. Mon cœur qui traîne la patte. Si parfois tu me sens absente, moins proche, de temps en temps ,c'est que mon cœur boite .Mais sa démarche maladroite l'amène toujours vers toi .J'aimerais avoir les mots, faire les gestes qu'il faut, pouvoir toujours donner le meilleur. J'aimerais avoir le cran de dire les sentiments enfermés au fond, à l'intérieur.