Fandeloup

La mélancolie c'est le sentiment d'avoir perdu et c'est la peur de perdre.C'est être en deuil de tout tout le temps, même au moment où les choses arrivent, si bien qu'on ne peut pas les vivre

Accueillons un temps notre douleur. Laissons-la vivre et exprimer ce que nous ne savons pas dire avec des mots : donnons-lui la parole. Alors il se peut qu'elle s'en aille, tout doucement, ayant eu le temps et l'espace dont elle avait besoin pour se libérer. Si elle persiste, écoutons ce qu'elle a à nous dire : pourquoi une telle intensité, voire une telle violence dans son expression ? Qu'avons nous vécu, vu, entendu qu'il l'ait éveille, ou réveillée - même quand elle dort, elle n'est pas loin ? Si nous l'écoutons, nous apprenons peu à peu à mieux la connaître ; alors pouvons-nous lui répondre. Trouver les mots susceptibles de l'apaiser.

Le temps nécessaire pour qu'elle cesse, nous l'ignorons ; il faut être patients. La société, les autres, il est vrai, ne laissent guère le temps de revenir sur ce qui est perdu, ou que l'on croit perdu. Les retours en arrière incessants sur ce qui nous a fait souffrir et nous fait encore souffrir ne vont pas dans le sens, au moins en apparence, de ce qui nous permettrait d'avancer. Or dénouer les fils de notre histoire nous fait progresser. Le passé ne devient passé que s'il est dépassé, digéré, assimilé

On pleure infiniment plus en son coeur que dans les yeux ou sur les joues. Les larmes du dedans rongent. Les autres, paraît-il, soulagent plutôt qu'elles ne rongent.»

Dans la vie, la famille est fondamentale, elle crée des liens qui sont indispensables. Les amis sont également très importants. L'altruisme fait aussi partie des choses auxquelles je crois. Il faut être capable de donner sans demander, être sincère, et avoir la force de lutter pour ce qu'on aime.»

Je voudrais écrire chaque moment de ma vie ici. J'voudrais raconter tous les sentiments que j'ai eu, toute ma peine, toute ma joie. Simplement pour ne jamais oublier. Écrire des centaines de pages de souvenirs, de déceptions, d'espoir. Des centaines de pages pour toujours me rappeler. Me souvenir à quel point j'ai pu rire souvent, à quel point j'ai pu avoir mal aussi. Me souvenir de toutes ces fois ou j'ai eu le ♥ brisé et de toutes ces fois où la vie m'a rendue heureuse. Me rappeler de toi, de nous. De la première fois où j'ai compris c'était quoi souffrir, de la première fois que j'ai connu l'amour. J'voudrais raconter toute ma vie ici, simplement pour ne pas oublier. Oublier tout ce mal, tout ce bien, qui a fait de moi la personne que je suis. J'voudrais jamais oublier à quel point je peux être mélacolique et nostalgique, ou encore à quel point ça fait du bien de pleurer. J'ai souvent cru qu'il vallait mieux oublier, partir et tout laisser derrière soi. Mais ce sont nos souvenirs qui décident de la route que l'on doit suivre. Ce sont nos erreurs qui nous ont fait grandir et malgré tout ce mal qui déchire mes souvenirs, jamais je ne voudrais oublier

Ce sont souvent les cicatrices de l'âme qui modèlent un être. Tantôt, elles l'enrichissent... tantôt, elles le brisent. Mais le secret de la vie résiste bien souvent aux attaques du destin, les cicatrices finissent par s'estomper avec le temps, même si le ♥ n'oublie jamais. Telle est la vie, dans toute sa réalité

La nuit quand on ne dort pas les soucis se multiplient, ils enflent, s'amplifient, à mesure que l'heure avance les lendemains s'obscurcissent, le pire rejoint l'évidence, plus rien ne paraît possible, surmontable, plus rien ne parait tranquille. L'insomnie est la face sombre de l'imagination. Je connais ces heures noires et secrètes. Au matin on se réveille engourdi, les scénarios catastrophes sont devenus extravagants, la journée effacera leur souvenir, on se lève, on se lave et on se dit qu'on va y arriver. Mais parfois la nuit annonce la couleur, parfois la nuit révèle la seule vérité; le temps passe et les choses ne seront plus jamais ce qu'elles ont été.

La vie est une richesse dont les hommes ne peuvent réellement estimer la valeur. Chacun de nos choix ouvre la possibilité d'un monde  différent. A chaque réveil, l'univers s'offre à nous. Tant de voies, tant de choix ! Notre discernement est le seul moyen de distinguer celui qui conduit au bonheur. Et l'un d'entre eux est toujours présent, le pire et parfois le plus tentant. Celui qui consiste à refuser de choisir. Refuser d'avancer. Refuser de vivre.

« Après D'une Âme à l'Autre, , je vous dévoile aujourd'hui, une partie des « Emois » . Ce sont ces maux qu'on ne dit pas ou ceux qu'on ne dit plus, ce qu'on n'a jamais su dire, des mots bleus aux bleus de l'Âme, des rouges passion qui dévorent l'esprit, le corps et le ♥, et puis ce sont les mots tout simplement, pour la beauté, la légèreté qu'ils ont à naître sous mes doigts. Ces mots d'amour aux multiples couleurs, je vous les offre »

Je tâche de rêver et d’oublier les choses quotidiennes, Mais...sommes toute, la vie n’est que la chaîne sans fin des rêves et des choses qui ne sont pas des rêves. Toutes les choses que j’ai rêvées, que j’ai désirées ne resteront pas marquées sur mon passé comme les herbes piétinées sur la route. Dans la poussière dispersée de cette vie réelle, je rêve encore...Je rêve de rêves partis sans retour