Fandeloup

citation

Le vent souffle, L'amour s'écoule, Le temps s'arrête, Et avec toi, je reste

fond ecran

Un jeune mari rentre chez lui. Sa femme lui saute au cou en disant :

« Chéri, j'ai une grande nouvelle : je suis en retard d'un mois. Je crois que nous allons avoir un bébé ! J'ai fait un test de grossesse chez le médecin et nous aurons le résultat d'ici un jour ou deux. Tant que nous n'aurons pas le résultat, on n'en parle à personne. »

Le lendemain, un conseiller clientèle d' ELECTRABEL téléphone chez eux au sujet d'une facture impayée. ... ... ...

« Vous êtes bien Mme Dupont ? »

« Oui »

« Madame, vous avez un mois de retard. »

« Mais… comment le savez-vous ? »

« Nous avons des ordinateurs, c'est inscrit dans notre base de données. »

« Que dites-vous, c'est inscrit dans vos ordinateurs ? »

« Absolument ! »

Le soir elle raconte cette conversation à son mari qui, fou de rage, se précipite dès le lendemain au siège de la compagnie d'électricité.

« Qu'est-ce que c'est que cette histoire, vous inscrivez dans votre base de données que ma femmea un mois de retard? De quoi vous mêlez-vous ? »

« Écoutez, dit le conseiller clientèle, calmez vous, ce n'est pas bien grave. Vous n'avez qu'à l'acquitter. »

« La quitter ? Il n'en est pas question ! Je ne la quitterai jamais, ni maintenant, ni plus tard ! »

« Dans ce cas, je vous préviens que si vous refusez de l'acquitter, on va vous la couper. »

« Quoi ? Me la couper ? Mais vous êtes fou ! Et que deviendra ma femme ? »

«Je ne sais pas… elle n'aura qu'à se servir d'une bougie ! »

poeme

Lettre d'une blonde à son fils:

Salut mon grand, Je t'écris quelques mots pour que tu saches que je t'écris. Donc, si tu reçois cette lettre, cela voudra dire qu'elle est bien arrivée. Sinon, préviens-moi, que je te l'envoie une seconde fois.

- Je t'écris lentement, car je sais que tu ne lis pas rapidement. - Dernièrement, ton père a lu une enquête disant que la plupart des accidents se produisent à quelques kilomètres de la maison, c'est pour cela que nous avons décidé de déménager un peu plus loin. - Au sujet du manteau que tu désirais, ton oncle Pierre a dit que si je l'expédiais avec les boutons, qui sont lourds, cela coûterait très cher, alors je les ai arrachés et te les ai mis dans une des poches.

- Ta soeur Julie, qui vient de se marier, attend un heureux événement. Nous ignorons le sexe, c'est pourquoi je ne peux te dire si tu seras oncle ou tante. Si c'est une fille, elle a l'intention de l'appeler comme moi. Cela me fait tout drôle de savoir qu'elle va appeler sa fille "maman".

- Ton frère Jean a eu un gros problème, il a fermé sa voiture avec les clés à l'intérieur. Il a du retourner à la maison, 10 kilomètres aller retour à pied pour récupérer le second jeu de clés et enfin nous sortir du véhicule.

- Si tu as l'occasion de rencontrer ta cousine Suzette donne-lui le bonjour de ma part. Si tu ne la vois pas, ne lui dis rien c 'est plus simple. Ta Maman

PS : je voulais te mettre un peu d'argent dans l'enveloppe, mais je l'ai déjà collée

France AgriMer vient de publier (septembre 2011) les chiffres clés de la production carnée pour l’année 2010. Ce sont ainsi plus d’un milliard d’animaux qui ont été abattus ! Les volailles (poulets, poules, dindes, canards, pintades, oies) représentent à elles seules 943 900 000 abattages. Viennent ensuite :

- les cailles : 44 millions abattus

- les lapins : 35 millions abattus

- les porcins : 24 931 000 abattus

- les ovins/caprins : 5 230 200 abattus

- les gros bovins : 3 590 200 abattus

- les pigeons : 3 millions abattus

- les veaux : 1 465 400 abattus

- les chevreaux : 700 000 animaux abattus

- les chevaux : 17 100 abattages.

Quand on voit ce qui est jeter ca démoralise,tant d'animaux abbatus pour rien

moment tendresse

Petit, petit… Viens par ici! » Les mains se tendent, les sourires se dessinent sur les visages d’ordinaire assez graves des résidants. Hier l’unité Alzheimer du Groupement hospitalier intercommunal (GHI) du Vexin accueillait de drôles d’invités. Utopie, la petite Jack Russel, et Lili, la jeune labrador, se sont tout de suite sentis à l’aise au milieu de ces patients pas comme les autres. « Regardez comme les visages des résidants s’illuminent! Ils ont tout de suite adopté ces animaux », se félicite Zaynab Riet, responsables du GHI.

A l’occasion de la Journée mondiale dédiée à Alzheimer, le pôle Aloïs, spécialisé dans cette maladie, s’est lancé dans une expérience novatrice : faire venir des « chiens visiteurs ». On les appelle aussi des « chiens auxiliaires de vie ou de santé ». Quel que soit le nom de ces agents hospitaliers peu communs, ils n’ont qu’un seul but : faire du bien aux patients.

« La relation à l’autre et le contact jouent un rôle aussi important, voire plus important, que les remèdes thérapeutiques habituels dans le traitement de la maladie d’Alzheimer », explique Zaynab Riet. « Notre but est de maintenir la personne atteinte dans le monde réel et dans son environnement, c’est pour cela que nous cherchons à développer les différentes manières de nouer des contacts. » C’est l’académie cynophile de Labbeville qui a accepté de se prêter au jeu.

D’ordinaire, l’association propose des cours d’éducation canine aux particuliers. « Ce rôle de chien auxiliaire de vie est un concept nouveau qui nous intéresse », note Muriel Filleaudeau, la présidente de l’académie. « Beaucoup de personnes qui sont en institution ont eu un chien ou un animal de compagnie à un moment de leur vie. » « Comment s’appelait votre chien? » entend-on dans la salle de réception de l’Ephad (établissement d’hébergement pour les personnes âgées dépendantes), pendant qu’Utopie va réclamer des caresses.

Une opération renouvelée tous les mois

La présence du chien est prétexte à discussion et permet même aux souvenirs de remonter à la surface. « Ces visites ont déjà été testées dans certains hôpitaux parisiens », ajoute le docteur Martine Merceron, responsable de l’unité. « Comme pour l’art-thérapie, les effets de ces activités sont très difficiles à quantifier, c’est pour cela qu’elles ne sont pas très reconnues. Mais, heureusement, la situation est en train de changer. » Pour cette première, l’académie avait choisi des chiens « à la physionomie sympathique ». « Il y a eu des essais avec des chats, mais comme ils sont moins sociables, cela marche moins », détaille Muriel Filleaudeau. « Il est démontré que le chien est un bon médiateur qui participe au bien-être. Il est affectueux, il ne juge pas. Il est un bon stimulant physique et émotionnel. » A Marines, l’opération devrait être renouvelée tous les mois. Et l’expérience pourrait bien inspirer d’autres services hospitaliers.

y a des jours où on a l'impression de n'être plus personne