Fandeloup

On regarde derrière soi on voit notre passé, on reste à notre place on vit notre présent, on regarde droit devant on voit notre future. Des fois dans notre esprit on revient en arrière en ce remémorant notre passé, en revoyant nos souvenirs et en ouvrant notre ancien livre si remplie de tous ces souvenirs. Un autre jour on ne fait que rester à sa place pour ne vivre que notre présent mais on est finalement attiré par notre futur qui ne cesse de nous emporter loin de notre présent, on se l'imagine, on le vit en nous mais d'un seul coup on se rend compte qu'on vit non pas le futur mais le présent et qu'il est toujours là pour nous rappeler qu'il faut vivre chaque instant de notre vie et en profiter avant que cela ne finisse, pour ne pas les voir gâcher et qu'il ne s'efface jamais, qu'il reste à jamais dans notre esprit pour nous rappeler que notre vie n'est pas qu'imagination du futur mais plutôt vie du présent et souvenir d'avant.

Se bercer d'illusions à quoi bon ? Tant de choses que l'on croit vrai mais qui en rélité sont fausses, tant de choses auxquels on espère mais en vain. On s'est tous à un moment ou un autre bercer d'illusion, et quand la vérité parait on ne sait plus quoi penser, on se perd dans nos illusions et nos réalités, on ne sait même plus quoi dire. Mais pour ne pas en souffrir il faut se dire que c'est aussi bien comme ça et que ça n'aurai mené à rien cette histoire. Se bercer d'illusion n'apporteque de la souffrance et n'apporte rien au ♥. Parfois ça peut coûter bien chère de croire à des choses impossible, après on perd notre confiance en nous, notre ♥ est perdu... Mais même si au début imaginer des choses nous fait rêver à la fin on fini toujours par en souffrir.

Une lettre pour se réveler, un mot pour s'envoler, une phrase pour s'oublier, une ligne pour vivre, un poème pour rêver. Toutes les phases du poèmes ont leur rithme et leurs rêves à faire voler. Un poème n'est fait que pour oublier notre peine, pour apprendre la vie et pour enchanter ses amis. Mais tous ont leur message à faire passer, tous ont une fleur à faire voler et une vérité à révéler. Tous les poèmes ont un sens précis mais au fil des lignes ils ne sont que fait pour faire rêver

On dit toujours que demain sera meilleur que c'est un autre jour qui commence pour de meilleures choses, que nos peines s'envoleront aussi vite que le vent souffle. Mais il y a des peines qui ne s'efface jamais, des souvenirs qui restent toujours en tête et d'autres peines qui arrive dans notre vie. Chaque jour est différent, chacun à sa peine et son bonheur, ses rires et ses pleures, sa force et sa grandeur. Mais tous on un point commun il commence tous un jour et finissent le lendemain

Un sourire pour se dire merci, une larme pour de dire adieu, une chanson pour se dire plein de choses, un mot pour se parler. Tellement de choses pour se dire un seul mot ou une seule pensée. Chacun à sa manière de la dire ou de la faire comprendre. Chacun à sa puissance dans son ♥ pour la dire. Mais moi la seule puissance qu'il me restera pour lui dire au revoir c'est ma plus grande larme et celle qui me fait le plus mal.

Quand mon regard croise celui de la nature, mon esprit s'évade et mes peine s'envolent comme les feuilles avec le vent, la nature me fait rêver par sa beauté et me fait oublier mes chagrins. Quoi de plus apaisant que le chant des oiseaux au reveil le matin, le son de l'eau qui s'écoule dans les rivières, le bruit du souffle du vent caresant les feuilles des arbres. Mais la nature change, elle est de moins en moins soigné et de plus en plus détérioré. On ne prend plus soin d'elle comme avant, aujourd'hui on est prêt à détruire des forêt pour construire, et pour gagner un plus d'argent. Mais qu'est ce que l'homme devient ? L'argent le rend trop destructeur, être prêt à raser des forêt et en même temps faire disparaître des espèces animales tout ça pour un peu plus d'argent. Qu'est ce qu'on peut dire face à cet outrage ?Rien, mais bon il n'y pas que du mal non plus, bien heureusement. D'autres font preuves d'humanité et dépensent du temps au soin de pauvres bêtes, d'autre replantent des arbres pour tout ceux raser... Après tout, il y a un juste mileu, certains détruisent mais d'autres sont là pour réparer. Il y toujours de quoi réparer ses erreurs, mais certaines ne sont jamais effaçable, elle reste toujours encrées dans les esprits et parfois rien ne peut les faire oublier...

Cacher ses sentiments pour les oublier, les faire disparaitre dans un sourire mais les faire réapparaitre dans un regard. Se cacher derrière son ombre parce qu'on a peur de l'amour, on a peur d'en souffrir. Au fond les mêmes sentiments se ressentent mais aucun ne veulent sortir à la surface de peur d'en souffrir.

Le poème ne meurt ni ne vieillit, il est valable à chaque moment d'une vie, il existe toujours en nous et son sens révèle toujours une vérité. Il fait part de nos humeurs de nos vies, et peut aller de nos envies à nos regrets, de nos souvenirs à nos remords... Le livre qui le contient peut vieillir et ternir, mais le poème lui ne ternit jamais il garde toujours sa couleur. La plume avec laquelle on écrit peut s'abimer et ne plus écrire mais le poème lui ne s'abime jamais, le message qu'il contient ne s'efface jamais, il garde toujours son message et son sens. Le poème dépasse le temps du vieillisement et la fleur de l'abime, il existe toujours en nous, et il y aura toujours des personnes pour l'écrire. Le poème est éternelle... Il vivais, il vit et il vivra toujours, il y aura toujours des poètes qui seront là pour l'écrire. La plume fera voler les mots sur les pages du livre, qui nous fera rêver au fil des lignes. Le poème raconte son histoire, et fait vivre sa vérité, il fait comprendre des choses de la vie et fait oublier les peines d'une autre vie. Le poème a fait vivre l'espoir des gens pendant la guerre et la misère et aujourd'hui il fait rêver par ses vérités cachées. Le poème est la rose cachée du poète qui s'exprime au fil des lignes par son histoire qu'il fait vivre

Je cherche le soleil au milieu de la nuit. Je ne sais plus ce qu'est ma vie, mes envie, mes désirs, mes soucis et mes craintes... Je me perd dans ce  monde qui ne sais plus me répondre, je me perd dans mes pensées qui ne savent plus quoi penser. Mon ♥ s'est-il vraiment comment aimer, mon esprit s'est-il vraiment comment ne jamais oublier ? les personnes que j'aime vraiment que j'ai si peur de blesser en ne sachant que faire que de devoir les quitter. Mais sans elle dans ma vie ce n'est plus de l'harmonie, c'est une mélancolie qui n'en fini jamais. Laisser moi me débattre venait pas me secourrir venait plutôt m'abattre pour m'empecher de souffrir. Je ne veux pas choisir de rester ou partir, je veux juste m'enfuir pour ne jamais avoir à choisir. Mais la vie passe quand même et les souffrances avec, celle de devoir les quitter sans jamais l'empecher .Je n'ai plus envie de courir, je n'ai plus envie de me battre contre le vent qui s'enfuit à chaque pas en avant. Contre la souffrance d'un temps qui reste à jamais dans la vie que l'on a jamais choisi. Je ne veux plus choisir, plus me battre pour le pire et le meilleure qui s'éternise dans une vie qui passe avec le vent qui l'efface. Même si cette vie à pris un sens dans une autre qui ne fait que courrir dans ce monde où le tournant n'ai que (presque...) toujours le pire. Mais mon ♥ n'est que toujours prêt à les remercier de l'infini harmonie qu'elles auront apporté à ma vie, même si celle-ci n'est plus pour longtemps, je n'oublierai jamais ce temps, d'une harmonie infini dans ma vie qui n'a cessé de s'écrire au milieu de leur présence qui s'éternise à jamais dans mon ♥ et que mon esprit ressentira toujours.

Il y a des jours où j'ai l'impression d'être tellement attaché à des personnes et à certains souvenirs que je ne pourrai jamais m'en défaire. Les cordes me tiennent si fort que j'ai tellement mal de devoir m'en séparer. Je serai toujours attachée à elles mais les cordes qui me tiennent à elles ne seront que trop serer quand leurs souvenirs ne sera que du passé. Ma vie sans elles me fera tellement mal que c'est comme si je ne sentait plus la vrai douleur au fond de moi, celle de devoir m'en séparer et de n'avoir que leur souvenir à regarder. Mais même si je dois m'en separer, je serai toujours enchainée à leur présence, je ne pourrai jamais m'en défaire. Mais je ne laisserai jamais le temps me séparer d'elle même si les cordes tireront fort je me délierai pour ne jamais les oublier.