Fandeloup

manara

Il n'y a Pas de Mauvais chiens, Seulement de Mauvais Maîtres !!!!

manara

Par grosses chaleurs comme par temps glacé, rien n'est épargné aux animaux!

Après avoir effectué des contrôles, la Protection suisse des animaux (PSA) a déclaré que la loi n'est souvent pas respectée lors des transports d'animaux par la route. Elle demande aux cantons à réaliser plus d'inspections. Sur 76 véhicules transportant les animaux qu'elle a examinés en 2006, seuls 5 respectaient les exigences légales. Les bêtes étaient souvent stressées, voire souffraient physiquement. Selon la PSA, les cantons peinent à effectuer eux-mêmes des contrôles. Les services compétents (police, office vétérinaire) sont débordés ou ne disposent pas toujours des connaissances nécessaires. Chaque année, 3 millions de mammifères et 20 millions de volatiles sont amenés en Suisse à l'abattoir via la route. Dans le cadre d’une opération montée par la gendarmerie, ils se tenaient à l’affut des infractions aux lois de protection animale. L’attente fut... de courte durée.

Nuit 1 : les forces de l’ordre arraisonnent une bétaillère immatriculée en Roumanie et transportant 80 jeunes bovins. Chargés depuis plus de 27 heures à bord, les animaux souffrent visiblement de soif et d’épuisement. Ils se ruent sur les tétines du système d’abreuvement lorsqu’il est enfin mis en marche à notre demande. Le transporteur est en avance de 24h sur son plan de route : il n’a pas respecté la halte pour décharger, abreuver, nourrir les animaux, et leur assurer 24h de repos sur un sol stable et paillé. Après s’être acquitté de 2 amendes de 90 €, le chauffeur - impassible - reprend sa route vers Burgos (Espagne). Autant dire qu'une petite amende de 90 euros pour tellement de souffrances aux animaux, c'est quasiment un encouragement pour les transporteurs à continuer de transgresser la loi !

Nuit 2 : Deux transporteurs espagnols acheminent ensemble plus de 500 moutons dans des bétaillères inadaptées. Les véhicules ne disposent d’aucune cloisons empêchant que les animaux tanguent lors des virages ou du freinage. Les moutons sont également entassés sur 3 étages dont les plafonds sont trop bas et ne permettent pas aux animaux de se tenir debout normalement. Les deux véhicules se dirigent vers le port de Sète, où ce demi-millier de moutons sera embarqué pour un voyage en mer de plus de 4 jours au terme duquel ils seront égorgés dans un abattoir de Beyrouth (Liban). Après s’être acquitté de 2 amendes de 90 €, les chauffeurs - impassibles – reprennent leur itinéraire.

Aujourd'hui plus de 80% des animaux qui partent dans les abattoirs, seront égorgés à cause de la lâcheté des politiques ! Chaque fois que vous croiserez sur votre route des camions transportant des animaux, dites-vous bien que ces pauvres animaux partent vers l'égorgement, vers une lente et très douloureuse agonie que personne ne souhaite vivre ! « Les entreprises ont besoin de visibilité, a rétorqué Hugues Beyler de la FFCB (Fédération des commerçants en bestiaux), fustigeant sous les applaudissements de la salle une « réglementation qu'on ne peut pas appliquer et qui nous pousse à la faute ». Bref, dialogue de sourds ou plutôt signe de la difficulté à » digérer « , aussi bien par ceux qui l'ont écrite que ceux qui doivent s'y soumettre, une réglementation extrêmement complexe. L'Europe fait la course seule en tête. Elle s'est dotée de la législation la plus complète et la plus avancée au monde en matière de transport des animaux domestiques », a souligné René Laporte, consultant pour Interbev. « Les opérateurs n'ont pas attendu le règlement pour prendre des dispositions. Ce sont des professionnels. Leur intérêt est de bien travailler parce qu'ils ont en face d'eux des clients. Il faut arrêter d'empiler les règlements », a ajouté Jean Bonnet, président de la commission export de Coop de france bétail et viande. »

Cette réplique date de 2007..... MENSONGES : depuis les choses ne se sont guère arrangées pour les animaux ! Si l’Union européenne a considérablement amélioré la législation sur le bien être des animaux pendant leur transport, le mauvais traitement de nombre d’entre eux est toujours d’actualité : stress, blessures, épuisement et déshydratation, sans compter les longues heures d’attentes jusqu’à leur destination. Certains députés européens expriment leur préoccupation quant à la mise en application du règlement en la matière. Rencontre avec deux d’entre eux avant le débat prévu, jeudi 15 janvier 2009. « J’ai été en contact régulier avec de nombreuses organisations qui disposent de preuves démontrant que la législation existante n’est pas appliquée dans plusieurs Etats-membres », a déclaré Neil Parish (Britannique, membre du Groupe du Parti populaire européen et des Démocrates européens - PPE-DE), Président de la commission parlementaire de l’agriculture et du développement rural et Président de l’intergroupe sur le bien-être animal. Même s’il avait déjà fait pression auprès de la Commission européenne pour que des dispositions soient prises, selon lui « rien n’est encore fait pour les Etats-membres en infraction ».

Les chevaux sont les plus vulnérables M. Parish nous a avoué que sa plus grande préoccupation concernaient les chevaux, pour lesquels les trajets longue distance sont problématiques. « Ils ont des besoins spécifiques. La législation en question avait pour but de les protéger ; maintenant, il faut la faire appliquer ». Selon Elizabeth Lynne (Britannique, membre du Groupe Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe- ALDE), il existerait actuellement « des preuves accablantes démontrant que les lois européennes visant à préserver le bien-être animal lors des longs transports sont bafouées, ce qui provoque des souffrances inutiles ». Elle ajoute : « les chevaux sont entassés comme des sardines dans des camions dans lesquels la température peut grimper jusqu’à plus de 40 degrés et peuvent être transportés durant des milliers de kilomètres sans nourriture et sans eau. Il y a des blessures, et parfois, des morts ». Il faut réagir ! « Il est essentiel que les gouvernements de l’Union européenne et la Commission européenne agissent rapidement afin de s’assurer que les lois existantes sont correctement appliquées et qu'il existe des sanctions appropriées », a expliqué la Britannique. Alors que le débat aura lieu ce jeudi à 10 heures M. Lynne a déclaré espérer que sa déclaration écrite ainsi que le débat « sensibiliseront à la fois mes collègues députés et le public en général et qu’ils constitueront une avancée dans l’atténuation du traumatisme auquel ces animaux sont sujets, et qui pourrait être évité ».

manara

ben oui quoi !!!

manara

Hurler pour qu'on entendre nos cris de désarroi, face aux saccades des souvenirs, hurler en face de soi, comme un écho qui reste sans voix encore hurler comme un naufragé qui se noie dans les songes brûlés , comme une maison sans toit, hurler face a la réalité, je n'ai plus la foi tout est perdue , toutes ces flammes qui brûlent au dedans de moi, faire taire ce malheur, je reste sans voix comment exorcicer tant de peine, retrouver un peu de joie, hurler face au destin , qui nous tient entre ses mains, serein hurler plus fort, pleurer pour exister face au malin pour nous réveiller, un jour, accueillir notre liberté hurler.....

manara

CONTRE le projet « planete tigre » Frédéric Geffroy « ancien infirmier anesthésiste aux pompiers de Paris, chef d’entreprise pendant 10 ans (société de désamiantage). Propriétaire de 5 tigres, il appartient au réseau des dresseurs internationaux et s’emploie de toutes ses forces à réaliser son rêve : une vie au milieu des tigres » Depuis son enfance il passe son temps libre à regarder les tigres en cages dans les cirques. Plus tard il se rapproche du cirque Pinder son rêve devenir dompteur. Puis lui vient une idée, il souhaite ouvrir un parc zoologique moderne à but pédagogique avec une salle de spectacles de 600 places, un restaurant gastronomique avec vue sur l’enclos des tigres, une piste de vitesse ou l’homme et le guépard pourront s’affronter à la course. Budget 21 millions d’euros. Début du projet en 2005. En 2007, il se rapproche de la ville de Talant qui accepte de mettre à sa disposition un terrain sous réserve que le financement revienne aux initiateurs du projet. Pendant deux ans il va chercher des financements mais n’y parvient pas. En 2009, la ville de Dijon informe qu’elle ne souhaite plus donner suite à ce projet d’implantation à Talant. En 2009, rapprochement auprès de la ville de Beaune qui tient le même discours mise à disposition d’un terrain sous réserve que celui ci soit orienté vers l’environnement, le développement durable, la préservation des espèces et que ce parc soit bien entendu financer par les initiateurs de ce projet. Il recherche des financements. Pour l’instant la situation est en stand by. Début 2010 s’inspirant de la campagne présidentielle d’Obama aux USA, il s’installe sur les réseaux sociaux notamment Facebook. création d’une page avec un avatar d'un bébé tigre pour jouer sur la corde sensible, utilisation du réseau social de la protection animale pour l’envoi des invitations à rejoindre cette page. La plupart des personnes sont persuadées d’adhérer à une page « fan » pour la protection du tigre et ne cherchent pas plus loin. Utilisation des profils des fans pour envoyer des invitations. L’effet fait boule de neige. Dès janvier 2010 il est demandé des dons de bienfaisance pour une association qui n’a à l’époque aucun statut légal. Les statuts ne seront déposés en Préfecture de Dijon qu’en mai 2011 soit plus d’un an après. Où est passé l’argent récolté ? Maintenant selon ses dires le projet de parc serait abandonné et le but de l’association serait la conservation in-situ des tigres notamment en Inde. Mais il est tout de même précisé dans les statuts de l’association « de promouvoir des projets ex situ destinés à récupérer des animaux (gros félins) maltraités ou issus de cirques, ainsi que pour la préservation d’espèces menacées, pour la réinsertion ex situ des gros félins notamment des tigres du Bengale, de Sumatra, de Sibérie, d’Indochine, de Chine et de Bali. » Malgré que cette association soit maintenant immatriculée on continue à nous parler de « PROJET » et les appels aux cotisations sont permanents. Rejoignez nous…. Les tigres méritent LA LIBERTE ils ne doivent pas êtres les esclaves de certains.