Fandeloup

Le monde est un livre dont chaque pas nous ouvre une page.

Pour une femme qui t'enflamme au Flamenco Et puis qui s'en va Elle fait la star tout un scenario sans toi Elle rêve de gloire de bravos de cinéma Elle ne vit que pour ça Laisse la vivre en solo

En tout homme résident deux êtres, l'un éveillé dans les ténèbres, l'autre assoupi dans la lumière.

Oui, c'est bien vrai, la vie est un combat sans trêve, Un combat inégal contre un lutteur caché, Qui d'aucun de nos coups ne peut être touché ; Et dans nos ♥♥ criblés, comme dans une cible, Tremblent les traits lancés par l'archer invisible...

Je suis venu comme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquilles, Vers les hommes des grandes villes. Ils ne m'ont pas accepter et continue de me chasser...

La pensée a des ailes, nul ne peut arrêter son envol.

Elle est venue la nuit de plus loin que la nuit, à pas de vent de loup, de fougère et de menthe ,la fée de la nuit

Le chocolat est bien évidemment la matière dont son fait les rêves. Des rêves riches, noirs, soyeux et doux, qui troublent les sens et éveillent les passions.

On ne renie pas son enfance, on l'enfouit au fond de son ♥ et l'ombre portée,l'ombre magique, devient un symbole

L'homme  est obscur. Où donc commence l'âme ? où donc finit la vie ? Nous voudrions, c'est là notre incurable envie, Voir par-dessus le mur. Nous rampons, loups pris sous le filet de l'être ; Libres et prisonniers, l'immuable pénètre Toutes nos volontés ; Captifs sous le réseau des choses nécessaires ,Nous sentons se lier des fils à nos misères ,Dans l' immensités.