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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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coeur

Publié à 16:58 par fandeloup Tags : image vie moi monde mer nature paysage oiseau fantastique
coeur

J'ai le sentiment que si mon cœur pouvais vivre en altitude, il trouverait ça place dans les nuages, près du soleil. Pourtant contre toute attente, c'est ici bas, sans y croire vraiment que le tonnerre me frappa, les entrailles. Marchant les pieds légèrement trempés dans le sable, tout en regardant un ciel venu d'ailleurs, je me heurtai par accident à une plume d’écaille qui reluisait plus fortement que n'importe quel coquillage. Dans celle ci, je m’aperçus éberlué que sonimage me signifiais sa propre présence dans le ciel. Elle en reflétait l'intégralité, même jusqu'au moindres des détails; malgré sa si petite taille. Le paysage extraordinaire que j'avais d’abord observé dans les cieux se retrouvait à mes pieds, comme soumis à mon imagination. Cette fois tout était représenté grandeur nature, immense, à perte de vu. C'était un miracle ! Une illusion fantastique! Je tressaillis à la limite de m’affaler à terre, pris de vertiges. La raison me revint un instant après mon enthousiasme indescriptible, pour me rappeler, que je n’assistais pas à un, mais deux miracles en simultanés. La nature parée de ses plus hauts atours me les offrais dans l'intimité. Cette plume d’écaille n'’appartenait à aucun espèce imaginable de poisson ou d'oiseau, mais plutôt à une sorte de transfuge de type légendaire. Celle-ci à la fois si douce au touche, inexprimable au regard ne retenait pas une goute d'eau. Tout liquide glissait comme sur le verre imperméable. C’était marée basse. La mer c'était retirée au loin et moi je m’étais aventuré bien en avant perdu dans cet environnement idyllique et magique. Le temps s'était arrêté pour moi dans cet univers onirique. Mes reperds perdus, je ne pu visualiser ma position. Pendant que j’avançais en avant ne sachant par quel moyen trouver mon chemin. J’aperçus alors que le soleil restait figé lui aussi. Une ile me faisait face, elle était boisée d'un vert écarlate qui ne m'en rappela aucun autre. Je m'y décidais de m'y rendre, contraint et forcer par préservation naturelle. Plus je m'en rapprochais, plus la vie s'épanouissait en moi, remontait à la surface de mon esprit. Cette ile semblait comme sortie de terre et n'y avoir sa place que par un pur hasard. Elle naissait du sable lui même, non de la roche comme toutes autres sur terre à ma connaissance. Attiré irrésistiblement, je parvenais à l'atteindre. Quelle ne fut pas ma surprise de voir en abondance nombre de ces plumes identiques à celle j’avais ramassée. Plus je pénétrais dans le permettre de cette terre inconnue, plus j’étais envahis de félicité. Plus rien ne me retenais dans ce bas monde. je l'avais quitté durant un temps indéterminé... C'est sur une petite plage tranquille que je m’effondrais de fatigue. Ce fut à mon réveil que je compris pourquoi tout au long de mon périple, j'entendais un chant presque imperceptible ! Une légende tomba ! Je me retrouvais dans l'eau au milieu de Sirènes qui batifolaient dans une quiétude certaine. J'étais accueilli comme un hôte royal. L’une d'entre m'avais pris la main. C'était la fin de mon périple à travers le monde, de ma route.