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consommation

Publié à 19:24 par fandeloup Tags : video paris lecture fond france jeux nuit cadre cheval front de gauche
consommation

Consommation : les députés renoncent à l'étiquetage sur l'origine des viandes.

L'Assemblée nationale a renoncé à imposer l'étiquetage de l'origine nationale des viandes, acceptant, après un long débat dans la nuit de mercredi à jeudi, d'attendre de voir si la Commission européenne allait rapidement formuler des propositions sur ce sujet.

Lors d'une discussion sur laquelle planait à la fois le scandale de la viande de cheval congelée et la colère des éleveurs, des députés UMP, PS et Front de gauche avaient déposé plusieurs amendements sur ce sujet au projet de loi sur la consommation, actuellement en première lecture à l'Assemblée.

Ces amendement rendaient obligatoire l'origine nationale de la viande, qu'elle soit consommée fraîche ou dans le cadre de produits alimentaires transformés.

Benoît Hamon veut attendre les propositions de l'Europe Le ministre délégué à la consommation, Benoît Hamon, tout en approuvant sur le fond ces dispositions, s'y est opposé en arguant qu'elles devaient obligatoirement être décidées au niveau européen.

«La France est en pointe sur ce dossier, et a décroché des soutiens auprès de plusieurs pays, malgré la position frileuse de la présidence irlandaise de l'UE et de la Commission européenne. Si le signal qui est donné est de voter une disposition contraire aux textes européens, cela mettra le gouvernement français en difficulté» dans les négociations avec ses partenaires, a-t-il plaidé.

Le ministre, soutenu par le président de la commission des affaires économiques de l'Assemblée, le socialiste François Brottes, a proposé de se rendre à Bruxelles avec une délégation de députés de tous les groupes pour plaider cette cause.

Un rapport d'étape doit être rendu en juillet sur le sujet par la Commission européenne. Si celle-ci ne s'en saisit pas pour faire des propositions, «je ne m'opposerai pas alors à ce que la représentation nationale en prenne acte», a-t-il dit. Le député socialiste Germinal Peiro a accepté de retirer son amendement, prévenant que «si rien n'avait changé lors de la seconde lecture», il le représenterait et ne le retirerait pas. Mais ses collègues des autres groupes, de l'UMP au Front de gauche, en passant par l'UDI et les écologistes, n'ont pas été convaincus.

Le communiste André Chassaigne a difficilement contenu sa colère: « Ne pas gêner le ministre, attendre la 2ème lecture... ce sont des jeux parlementaires ».