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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le nez est séparé en deux parties:
•Le cornet nasal supérieur est constitué par l'os ethmoïde. C'est dans cet os que seront captées les molécules odorantes.
•Le cornet nasal inférieur qui débouche dans les voies respiratoires et qui amène l'air chargée d'oxygène.
Les chiens ont développé une grande capacité à vaporiser de gros volumes d'eau à partir des passages respiratoires.
L'air inspiré est séparé en deux par les cornets nasaux. Le courant le plus important passe dans le cornet nasal inférieur et sert à la respiration.
Le second courant passe dans le cornet supérieur et dans l'os ethmoïde où il est réchauffé en tourbillonnant dans les volutes et débarrassé de ses poussières par les cils de la muqueuse. Les molécules odorantes arrivent jusqu'à la lame criblée où elles sont récupérées par les cellules olfactives et transmises jusqu'au cerveau où elles sont mémorisées.
Remarque:
On évalue que la capacité de déceler des odeurs et de les distinguer est de 10 000 à des millions de fois plus élevée chez le chien que chez l’humain. Ainsi, le berger allemand, considéré comme un des champions renifleurs, possède 220 millions de cellules sensorielles, comparativement à seulement 5 millions chez l’homme.
Dans les cavités nasales, de minces lames osseuses, fixées latéralement à la paroi, s'enroulent sur elles-mêmes et forment les cornets nasaux.
Ces formations sont richement vascularisées. Le développement des cornets nasaux, chez le chien, accroît considérablement la surface de la muqueuse nasale.
Lors de l'effort, l'accélération des mouvements respiratoires (polypnée thermique) permet au chien, de refroidir, par évaporation, le sang qui irrigue la muqueuse et qui se distribue secondairement à la base du cerveau.
Chez le chien, la fréquence respiratoire peut ainsi passer de 30 à 40 inspirations par minute à 300 ou 400.
Ce processus génère ainsi son propre courant d'air, augmentant la dissipation de chaleur par convection forcée.
Ce système de thermorégulation fonctionne parfaitement en milieu naturel et bien aéré. Nous avons tous vu des chiens en polypnée thermique lors des grandes chaleurs estivales.
Les limites sont pourtant vite atteintes dès lors que l'animal se trouve dans un milieu confiné ou surchauffé.
La voiture fermée en plein soleil vient immédiatement à l'esprit.
Pourtant, un chien enfermé dans un endroit clos et modérément chaud est exposé aux mêmes dangers.
Une voiture à l'ombre, mais fermée est tout aussi dangereuse qu'en plein soleil.
Dans un espace non ventilé et chaud (sans être surchauffé), le chien va respirer de plus en plus vite un air de plus en plus chaud, ce qui aura pour effet de faire monter sa température corporelle qui peut alors atteindre 42ºC.
La survenue d'un oedème pulmonaire, avec semi-coma ou coma, est fréquente dans de telles circonstances.
C'est le coup de chaleur. Le chien est en danger de mort.