voyage 2010 sport vie monde chez femmes femme
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
D’où vient la solidité des os ?
lLes os sont extraordinairement solides si l’on considère leur légèreté et leur porosité, ce que les scientifiques ont du mal à expliquer.
Mais ils ont découvert que les os tirent leur force d’une combinaison de minuscules fibres qui deviennent soit rigides soit plus malléables quand elles sont étirées, une découverte qui pourrait conduire vers de meilleurs traitements contre l’ostéoporose.
Environ 70% de l’os est fait de cristaux semblables à ceux de la craie, le minéral hydroxyapatite.
Ces cristaux forment tout autour des fibres collagènes robustes connues comme étant des fibrilles qui constituent la plupart du reste de l’os.
Pour mieux comprendre ce qui rend ces fibres si fortes, Asa Barber et Fei Hang de l’Université de Londres ont utilisé une nouvelle technique pour mesurer directement les propriétés mécaniques des fibrilles individuellement.
Barber et Hang ont utilisé la microscopie électronique à balayage (MEB) pour faire des images des fibrilles, qui mesurent moins de 100 nanomètres, plus de 1000 fois plus fines qu’un cheveu humain.
Ils ont utilisé des os de bois de cervidés parce que c’est un bon modèle de l’os humain, et parce qu’il est plus approprié pour l’imagerie étant donné sa faible teneur en eau.
Ils ont associé la MEB à la microscopie à force atomique, qui étire les fibrilles avec une force spécifique.
Ils ont mesuré la réponse de la force de tension de six fibrilles, en marquant de combien ils avaient tiré quand une force croissante était appliquée.
Les fibres se sont d’abord étirées par la même quantité sous la même force.
Cependant, à un certain point, leurs réactions ont divergé : quand plus de force était appliquée, certaines fibres ont perdu leur forme à un taux plus rapide.
D’autres sont devenues plus dures,ésistant à une force d’environ 1000 nanonewtons avant de se briser.
Ceci est approximativement équivalent à la force qui serait appliquée par le poids d’un centième d’un grain de riz.
Les fibres les plus malléables ont cassé à une force d’environ 500 nanonewtons. "La présence de fibres de collagène, avec différentes propriétés mécaniques à l’intérieur de l’os, permet d’augmenter sa capacité à absorber de l’énergie et en fait un matériau efficace et solide" dit Barber.
Les chercheurs ont ensuite utilisé la spectroscopie pour examiner la fabrication chimique des échantillons.
Leurs résultats suggèrent que les fibres les plus fortes ont une composition minérale plus importante. Barber ajoute que leurs résultats pourraient mieux expliquer comment l’ostéoporose, et les conditions qui y sont associées, affectent les propriétés mécaniques des os.
D’autres se demandent s’il existe différents types de fibres dans l’os : "C’est une donnée intéressante, mais il faudrait les répéter avec plus d’échantillons provenant de différentes régions anatomiques" conclut-il.
L’activité sportive non professionnelle n’augmente pas les risques d’ostéoarthrite.
Il n’existe pas de preuve convaincante confirmant un effet nocif de l’exercice sur les articulations si celles-ci sont normales et l’exercice régulier, selon une revue d’études publiée dans le Journal of Anatomy
L’exercice est une activité de loisir extrêmement populaire dans de nombreux pays du monde Occidental, et pour beaucoup c’est devenu une partie intégrante du style de vie moderne.
Il est largement conseillé car il est bénéfique pour contrôler son poids, pour gérer les maladies cardiovasculaires et le diabète, et pour améliorer son bien-être psychologique, entre autres bénéfices.
En revanche, la perception de la presse non spécialisée et du public est aussi que l’exercice est potentiellement délétère pour les articulations, en particulier celles des membres inférieurs. Des chercheurs de Boston aux USA, et d’Ainring en Allemagne
, ont passé en revue les études existantes sur la relation entre l’exercice régulier et l’ostéoarthrite et ont conclu qu’en l’absence de blessure articulaire déjà existante, il n’y a pas de risque accru d’ostéoarthrite à cause de l’exercice.
"Nous avons trouvé que chez les athlètes professionnels, où il y avait plus de risques de se blesser à cause du sport, il existait un risque supérieur d’ostéoarthrite sur des articulations endommagées, mais chez la plupart des gens, faire de l’exercice vigoureux, sans trop de chocs, est bénéfique à la fois physiquement et mentalement" explique le Dr David Hunter du New England Baptist Hospital.
"Le facteur de risque le plus important pour l’ostéoarthrite est le poids du corps, à tel point que chaque kilo de masse corporelle en plus augmente la pression sur le genou d’environ 4 kg."
On pourrait de ce fait conjecturer que l’exercice permet de réduire le poids du corps, et que cela pourrait en fait réduire le risque d’ostéoarthrite plutôt que l’augmenter.
Le genou est l’articulation la plus souvent affectée par les symptômes de l’ostéoarthrite. Il s’agit d’une des causes les plus fréquentes de douleur articulaire et les femmes sont plus souvent touchées que les hommes.