Fandeloup

Comme une porcelaine fine, Un bleuet au vent d'été, Un enfant aux larmes venues, Une douce mélodie langoureuse. Mon âme s'envole au delà Des monts et des vallées, Chargé de ses maux Et de ses tourments, Au loin une plume virevolte, Et de son tracé, Exprime tout mon désespoir. Et le piano, légèrement, Entame son chant d'amour, Tourné vers les horizons . Fragile est mon corps, Tout emmêlé de lentes souffrances, Mes rêves s'estompent, A l'infini désormais, Mon regard se perd En nuages de regrets. Combien de jours encore, Combien de nuits, Avant d'atteindre Cette ronde harmonieuse, Cette espérance douce De savoir mon ♥, Blotti dans tes yeux, Eternellement.

Le temps m'a fait espérer Le temps m'a fait m'oublier

Le temps a eut raison de moi

Le temps que je ne voyais pas

Le temps m'a fait tomber

Le temps m'a relevé

Le temps que je réalise

Le temps que je n'épuise

Le temps de cet amour

Le temps sans retour

Le temps de mes dévotions

Le temps de mon imagination

Le temps de mes combats Le temps ici, là-bas Le temps de l’effacement Le temps de vivre pleinement

Tout passe avec le temps...

Ils parlaient tous de toi, J’arrive à peine d’un endroit qui ressemblait étrangement au paradis, Il y avait un jardin de milliers de roses d’un parfum que je connais bien. Je reviens d’un ciel étoilé où les lumières scintillaient toutes en ton honneur, Tout ce firmament au grand complet faisait la fête et ne parlait que de toi,ne me parlait que de la couleur de tes yeux. Peu importe le décor des lieux, ton aura rehaussera toujours, Le manque de couleur du trop fade tableau de leurs paysages.

Je marchais à pas lents, en regardant devant, Et je me croyais seul, et je me sentais bien, Mais en tendant l’oreille pour écouter le vent, Un concert symphonique a éclaté soudain. Je n’avais pas pris garde à tous ces petits sons, Mais continuant ma marche je m’y suis concentré, Moi qui me croyais seul j’eu soudain l’impression, Qu’un milliers de regards étaient sur moi posés. Voilà un écureuil qui passe en sautillant Et fait tomber à terre une jolie pomme de pin, En créant sur le sol un petit bruit charmant, Je le regarde passer et poursuis mon chemin. Et tout autour de moi ce n’est qu’une symphonie Que tout un tas d’oiseaux m’envoient dans un bonjour, Si je ne les vois pas j’entends leur mélodie,

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Pour toutes les mamans

L'ange de la Famille est la femme.

Mère, epouse, soeur, la femme est la caresse de la vie, la soavité de l'affection répandue sur ses fatigues, un reflet sur l'individu de la tendre Providence qui veille sur l'humanité: en elle y sont les trésors de douceur consolatrice qui suffisent à apaiser chaque douleur. En outre pour chacun de nous elle est l'initiation de l'avenir. Le premier baiser maternel enseigne à l'enfant l'amour. Le premier baiser saint d'amie enseigne à l'homme l'espoir, la foi dans la vie; et l'amour et la foi créent le désir du mieux, la puissance de l'atteindre à degré à degré, l'avenir enfin dont le symbole vivant est l'enfant, lien entre nous et les générations futures. À travers elle la famille, avec son divin mystère de la reproduction, pointe à l'éternité.

Pleurer , ça fait du bien , ça nous permet de respirer . Chaque larme est sacrée ..

le chemin pour pardonner et long et quand tu arrive a se chemin tu en recommence un autre.de toute facon on tous une chose a se faire pardonner c'est la nature humaine

La vie est comme un chemin rempli de pierres. On peut quelquefois contourner facilement une masse de roc alors qu'on trébuche sur un petit caillou.

BON LUNDI A TOUS