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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Au domaine des Souches, l’équipe de Michel Carré élève des beagles en vue d’expérimentations
Le Centre des Souches à Mézilles possède entre 200 et 250 femelles reproductrices et 25 mâles reproducteurs de race Beagle.
Depuis 1974, Michel Carré, le propriétaire du Centre d’élevage du domaine des Souches de Mézilles, fournit des chiens aux « leaders français du médicament » pour des expérimentations. Michel Carré se défend d’être « un tortionnaire ».
Tout comme il assure que ses dix-huit salariés « sont des gens compétents et respectueux des animaux ». Pourtant, depuis cinq ans, à Mézilles, des centaines de manifestants pour la défense de la cause animale se déplacent début septembre devant son Centre d’élevage du domaine des Souches (CEDS). Ce sera encore le cas demain.
C’est en 1974 que Michel Carré, chercheur diplômé en nutrition et physiologie animale, a créé avec son épouse cette société dédiée à la recherche médicale et à l’expérimentation que. « À l’époque, il y avait un vrai besoin d’élevage spécialisé en France. Il s’agissait aussi de crédibiliser l’origine des animaux car avant, elle pouvait être contestable », admet-il.
Dans son domaine, le chercheur possède « entre 200 et 250 femelles reproductrices et 25 mâles reproducteurs ». Des chiens de race beagle car plus propices aux expérimentations. « Il y a tout un suivi avec une gestion informatique des données : courbe de poids, carnet de santé, visite clinique… »
Une batterie d’examens pour fournir « des animaux les plus sains possibles » à ses clients, « les leaders français du médicament vétérinaire » comme Sanofi ou Virbac. Michel Carré livre aussi des chiens aux « sous-traitants des laboratoires » et aux facultés ou écoles vétérinaires, pour la recherche.
« Certains vont servir pour la sécurité des médicaments » car l’expérimentation sur plusieurs espèces est obligatoire avant la commercialisation des médicaments dédiés à l’homme mais aussi à l’animal. Toutes ses activités sont « très encadrées par la loi.
Un comité d’éthique est chargé de mesurer l’impact sur les animaux », souligne le propriétaire du domaine des Souches. Greffes cardiaques grâce aux beagles Selon lui, l’animal reste « au service de l’homme » et ses détracteurs, les associations de défense des animaux, se trompent de combat.
« Ces gens sont les premiers à utiliser des vaccins pour soigner leurs animaux. » Le chercheur, qui assure recevoir régulièrement des menaces de mort, cite Pasteur pour justifier son travail : « Les plus grands progrès, comme le vaccin contre la rage, ont été réalisés grâce aux expérimentations animales. » De la même manière, les greffes cardiaques sur les nouveaux nés ont d’abord été testées sur des beagles,
« car leur cœur fait la même taille que celui d’un enfant ». « On ne fait pas de l’expérimentation animale pour se faire plaisir, même si la plupart du temps, ils ne souffrent pas », nuance Michel Carré. « Il est possible que les progrès de la science permettent de la stopper un jour. »