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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Il avait découpé son père et fait un meuble télé avec son corps
C'est dans l'un de ces petits immeubles de la ville de Bournemouth, au sud de l'Angleterre, que Nathan Robinson a découpé son père en morceaux avant de ranger sa dépouille dans des boîtes en plastique et d'en faire un meuble télé. C'est dans l'un de ces petits immeubles de la ville de Bournemouth,
Un Anglais de 28 ans comparaît actuellement devant la justice anglaise pour avoir tué et découpé son père dans des circonstances effroyables.
Nathan Robinson, qui fait face aux juges de la Cour de la Couronne (Ndlr : la juridiction britannique qui traite des affaires criminelles les plus graves), reconnaît avoir commis un homicide involontaire, non le meurtre intentionnel pour lequel il est jugé, selon le Telegraph, qui raconte l'histoire.
Le 16 mai 2013, après une dispute sur de l'argent dans l'appartement familial de Bournemouth (Dorset), Nathan Robinson a tué son père, William Spiller, chauffeur de taxi de 48 ans, avec qui il vivait. Puis avec un couteau de bricolage de la marque Stanley et deux petites scies, dont une à métaux, il a «soigneusement» découpé son cadavre malgré une corpulence hors norme : 1,83 m et 158 kilos.
Il a ensuite rangé les morceaux dans de grosses boîtes en plastique d'archivage, qu'il a ensuite empilées pour dessiner un meuble-télé.
C'est le voisin du dessous qui, dans l'après-midi, a remarqué qu'un «liquide rose» tombait en gouttes du plafond de sa salle de bains. Selon le procureur, il s'agissait de sang mélangé à un produit nettoyant, que Robinson était allé acheter après son crime.
Quelques heures avant de voir le sang goutter, ce même voisin assure avoir entendu William Spiller crier chez lui : «Tu crois vraiment que je vais te subventionner toute ma vie ?»
Frappant à la porte de l'appartement pour évoquer cette curieuse fuite, il décrit un Robinson «très calme, tout à fait normal» après son geste fatal.
Le jeune homme lui aurait simplement confié s'être disputé avec son père. Après son effroyable ouvrage, Nathan Robinson a dressé la liste des choses qu'il devait faire, ce qui démontre, sinon la préméditation, du moins une conscience aiguë de son geste : «Payer le loyer, louer du matériel de nettoyage», avait-il noté, de même qu'envoyer des messages avec le téléphone portable de son père pour le faire passer pour vivant.
Il avait ensuite quitté les lieux, prenant la direction de Glasgow (Ecosse) où, avec l'argent dérobé à son père, il avait «passé du bon temps» à «manger, boire et RENCONTRER des gens».
Puis, de retour, il avait vécu dans l'appartement avant de retourner en Ecosse puis d'accompagner sa mère lors d'un «weekend végétarien» à Bristol.
La dépouille de Spiller n'a été retrouvée qu'un mois plus tard, le 17 juin 2013, après qu'un collègue s'est inquiété de ne plus le voir et de ne pas recevoir de réponse à ses messages. La police du Dorset, en arrivant dans l'appartement, a été assaillie par l'odeur et par le nombre de mouches qui pullulaient, mortes et vivantes, dans le couloir.
Les boîtes qui supportaient la télévision étaient pleines, de même qu'un casier dans la chambre à coucher, dans lequel Nathan Robinson avait rangé la tête de son père. Lorsque la police s'est présentée au domicile de sa mère, à Birmingham, le jeune homme l'a accueillie avec étonnement, demandant s'il s'agissait «d'une blague».
Il ne nie pas avoir tué son père à qui il devait un prêt de 36 000 livres sterling mais, devant la Cour de la Couronne, assure qu'il ne jouissait pas de toutes ses capacités mentales au moment des faits, ce qui réduirait sa responsabilité. Les experts sont partagés.