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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Cadeaux de Noël : une tradition depuis... l'Antiquité
Certains gardent à vie le souvenir d’un cadeau précis très attendu ou une pure surprise.
Non, la tradition des cadeaux de fin d'année ne remonte pas aux débuts de la société de consommation, mais à... l'Antiquité, notamment lors des Saturnales, à Rome, où l'on célébrait le solstice d'hiver le 21 décembre et le dieu Mithra le 25 -- date choisie vers 330 par les chrétiens pour placer la naissance du Christ.
Pour ces fêtes, annonciatrices du retour de la lumière et synonymes de renaissance, « on s'offrait des douceurs pour une année douce. Du miel, des figues, des lampes, des poupées votives », énumère l'historienne Nadine Cretin*.
Ovide -- déjà ! -- se plaignait que les gens attendaient plus des sous que des figues. Au coeur de l'hiver, CES CADEAUX étaient une promesse d'abondance.
La tradition s'est perpétuée, mais les offrandes sont longtemps restées alimentaires, « notamment dans les campagnes », souligne la chercheuse, tandis que la nature des cadeaux changeait peu à peu en ville.
Dans les années 1950, au moment du « Petit Papa Noël » de Tino Rossi, et surtout « avec l'arrivée des grands magasins, ils ont pris beaucoup d'importance et l'on est passé à des cadeaux très coûteux », constate Nadine Cretin, qui insiste sur l'importance de ce qu'elle appelle le gaspillage cérémoniel, en fait de la générosité. Et ce, quel que soit le cadeau. « On a besoin de dépenser (comme pour le mariage) car l'abondance promet l'abondance. Celui qui ne dépense pas à Noël, c'est triste », conclut la spécialiste de cette fête.