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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Bordeaux : un gynécologue mis en examen, sa patiente avait dû être amputée
Pour «blessures involontaires» sur une femme qui a dû être amputée à la suite d'une infection nosocomiale contractée lors d'une IVG, un gynécologue du CHU de Bordeaux a été mis en examen ce mercredi
L'interne de garde de la maternité du CHU est mis en cause par les expertises. Bordeaux (Gironde).
Un gynécologue du CHU de Bordeaux (Gironde) a été mis en examen ce mercredi selon son avocat, pour «blessures involontaires» sur une femme d'une trentaine d'années ayant dû être amputée de plusieurs de ses membres après avoir contracté une infection nosocomiale lors d'un avortement.
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L'affaire avait été révélée par le quotidien «Sud-Ouest». En 2011, Priscilla, alors âgée de 36 ans, vient tout juste de donner naissance à son troisième enfant.
Lorsqu'une nouvelle grossesse se déclare, elle décide en accord avec son mari d'avoir recours à un avortement. La femme subit son interruption volontaire de grossesse un vendredi soir, puis rentre chez elle.
Le lendemain, Priscilla est prise de forte fièvre et de douleurs. Lorsqu'elle retourne à la maternité, elle est prise en charge par l'interne de garde. Des prélèvements sont faits, le stérilet placé la veille est retiré.
Le couple assure qu'il a ensuite été prié de rentrer chez lui à Bordeaux, sans qu'aucun médicament ne soit prescrit. L'état de Priscilla continue à se dégrader et le médecin de garde diagnostique, le dimanche matin, un début de septicémie.
Le praticien lui prescrit une antibiothérapie et l'adresse à la maternité où à nouveau son état n'est pas jugé préoccupant. Au final le traitement ne lui sera administré qu'en fin d'après-midi ce dimanche là. Selon le couple, cette infection a conduit les médecins à amputer, quelques semaines plus tard, les deux pieds, l’avant-bras droit et la main gauche de la mère de famille.
Un expertise contestée Une information judiciaire a été ouverte au tribunal de grande instance pour déterminer les responsabilités. Le rapport d'expertise met en cause l'interne de garde pour ne pas avoir prescrit des antibiotiques qui auraient pu limiter les effets de l'infection.
«On est sur un dossier complexe», a indiqué l'avocat du praticien, Me Arnaud Dupin, qui a fait savoir qu'il avait demandé au juge d'instruction une contre-expertise. «Pour moi, cela ne rentre pas dans le cadre de l'infraction pénale. Il y a toute une chaîne de responsabilités que l'instruction devra déterminer (...) Il y a un côté dramatique qui rappelle qu'aujourd'hui aucune opération n'est bénigne», a-t-il ajouté.
«Cela affecte le médecin qui est d'abord là pour soigner».