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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Landes : des boulangers condamnés pour avoir travaillé 7 jours sur 7
Stéphane Cazenave a été condamné à 500 euros d'amende pour avoir ouvert sa boulangerie de Saint-Paul-lès-Dax (Landes) sept jours sur sept.
Quatre boulangers des Landes, poursuivis devant le tribuna de police de Dax pour avoir vendu du pain tous les jours de la semaine, en infraction avec la réglementation en vigueur, ont été condamnés lundi à 500 euros d'amende avec sursis. Un cinquième, poursuivi pour les mêmes faits, a été relaxé.
Sur les cinq commerçants de Saint-Paul-les-Dax et de Dax qui avaient comparu le 7 septembre, trois ne s'étaient pas encore mis en conformité avec un arrêté préfectoral datant de 1999 qui impose un jour de fermeture hebdomadaire. Une amende de 500 euros avait été requise à leur encontre.
Une amende du même montant, assortie du sursis, avait été demandée contre leurs deux collègues, qui s'étaient mis en conformité après des contrôles de l'Inspection du travail. Une pétition signée par François Fillon L'avocate des boulangers avait soulevé à l'audience des vices de procédure, notamment dans les procès-verbaux dressés, et demandé leur relaxe.
L'affaire avait éclaté début 2015 au moment où les débats à propos de la loi Macron se concentraient sur le travail dominical. Elle avait rapidement pris une tournure politique.
Les Républicains (sous le sigle UMP à l'époque) avaient ainsi lancé en février une pétition de soutien à Stéphane Cazenave, l'un des boulangers landais mis en cause. La pétition avait notamment reçu le soutien de l'ex-Premier ministre François Fillon.
Stéphane Cazenave avait maintenu ouvert son commerce sans discontinuer pendant 3 ans et demi. Il estimait que cette fermeture imposée lui occasionnerait une perte de 250.000 euros de chiffre d'affaires par an et entraînerait le licenciement «d'un ou deux salariés» sur 22.
Il s'est depuis mis en conformité avec l'arrêté préfectoral. Le ministre de l'Agriculture et porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, avait à l'époque rappelé que ces arrêtés «sont pris après négociation, discussion avec les professionnels pour trouver des accords nécessaires et les équilibres nécessaires». La confédération des boulangers avait réaffirmé son attachement au jour de fermeture hebdomadaire.
«On est des chefs d'entreprises dégoûtés de l'être en France», a dit Stéphane Moreau, l'un des boulangers. «On va travailler moins, payer moins de TVA et moins de charges sociales, et s'il le faut on licenciera», a-t-il ajouté.