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Accident de car en Gironde

Publié à 07:18 par fandeloup Tags : travail image france photo belle mort fille enfant éléments bébé amoureux
Accident de car en Gironde

Saint-Germain-de-Clairefeuille Accident de car en Gironde.

Un père et son fils tués, le choc dans un village de Normandie Émotion, à Saint-Germain-de-Clairefeuille (Orne), après une terrible collision entre un car et un camion en Gironde.

Parmi les 43 morts, deux vivaient dans ce village de Normandie. Le conducteur du poids-lourd, Cyril, et son fils, sont originaires de Normandie. Ils ont tous deux été tués dans l'accident.

 Samedi 24 octobre 2015, 24h après la terrible collision entre un car de tourisme et un poids-lourd en Gironde, le village de Saint-Germain-de-Clairefeuille (135 habitants), près de Nonant-le-Pin (Orne) est sous le choc.

Parmi les 43 morts dans l’accident et l’incendie qui a suivi, un jeune père de famille et son fils de trois ans. Le chauffeur routier, âgé de 31 ans, était originaire du village. Il vivait à Godisson, commune distante de quelques kilomètres.

C’est son camion qui a été heurté, dans des conditions encore mystérieuses, vendredi 23 octobre 2015. À côté de lui, Théo, 3 ans, était dans son siège auto, relate Ouest-France.

Un routier « exemplaire » Ce vendredi 23 octobre 2015, vers 7h30 du matin, la semi-remorque de Cyril, qui travaillait pour l’entreprise familiale basée à Saint-Germain-de-Clairefeuille, se trouve en travers de la route.

En face, un autocar transportant des retraités, membres d’une association de la région de Libourne. La collision est violente. Les deux véhicules s’embrasent presque immédiatement. 41 passagers du bus trouveront la mort.

Cyril et son fils, également. Le chauffeur du car parviendra à s’en sortir, indemne, après avoir aidé huit personnes à sortir du véhicule. Quatre sont grièvement blessées.

Le poids-lourd dépassait-il sur la voie opposée ?

Pour l’heure, rien ne permet de le dire et l’enquête devra notamment faire la lumière sur la position exacte du camion au moment de l’impact et les raisons pour lesquelles il était arrêté ainsi que sur la trajectoire de l’autocar.

Vendredi 23 octobre 2015, les enquêteurs ont débuté les investigations. Premier objectif : identifier les victimes.

Routier décrit comme « exemplaire », « sérieux », « joyeux », Cyril conduisait un poids-lourd attelé d’une remorque (vide au moment de l’accident) destinée à transporter du bois. Un camion personnalisé, à son image.

L’outil de travail de ce passionné de la route. Un camion qu’il soignait : C’était un amoureux de la belle mécanique. Il était minutieux, sur tous les camions », a confié un élu de la commune, à France 3 Basse-Normandie.

« Je le voyais souvent le samedi ou le dimanche à vérifier les lumières, ou à vérifier les pneus. »

La zone de l'accident sera fermée à la circulation pendant toute la durée des investigations.

La famille du chauffeur routier est connue dans le village, où plusieurs membres ont siégé – et siègent encore – au conseil municipal. L’entreprise familiale, les Transports Aleixandre, emploierait une dizaine de personnes. « La famille est accablée, le père et le frère du conducteur en état de très grand choc », indique Le Parisien. Le patron de cette entreprise de transport et père du chauffeur décédé, se sont rendus sur place et ont été reçus par les gendarmes. Le village de Saint-Germain-de-Clairefeuille est sous le choc :

On est effondrés, c’est dramatique, il n’y a pas de mot. Cyril était un enfant du pays, ses grands-parents ont créé l’entreprise et son père Michel l’avait récupérée. (…)

On a tissé des liens très forts, Cyril avait l’âge à ma fille, je l’ai connu bébé », a confié Sylvie Avenel, conseillère municipale de la petite commune, à MetroNews.

 Le village de Saint-Germain-de-Clairefeuille sous le choc, par Ouest-France : Le camion, en travers de la route Que s’est-il passé, ce matin du vendredi 23 octobre 2015 ? L’enquête fait état d’une violente collision entre le bus et le poids-lourd.

Selon les premiers éléments recueillis sur place – seul le chauffeur du bus, indemne, a pu être entendu – le camion était en portefeuille et le chauffeur de l’autocar ne l’aurait vu que trop tard.

Dans son premier témoignage, le conducteur du bus avait indiqué que le camion se trouvait, au moins partiellement, sur la mauvaise voie de circulation.

Les enquêteurs, qui se concentrent dans un premier temps sur l’identification des victimes, devront recueillir l’ensemble des éléments techniques permettant de confirmer ou d’infirmer ce témoignage.

L’état de la chaussée, les conditions météorologiques, les raisons de cet incendie… L’enquête doit désormais déterminer avec précision les circonstances de cette dramatique collision. Et répondre à de nombreuses questions.

Pourquoi le camion était-il en travers de la route ?

Pourquoi le bus n’a-t-il pu l’éviter ?

Pourquoi les deux véhicules se sont immédiatement embrasés ?

Que faisait le jeune enfant dans la cabine du routier ? 

 Au moins 43 morts dont un enfant Une sortie du club des anciens Les passagers du bus, partis quelques minutes avant l’accident de Petit-Palais, devaient se rendre à Arzacq (Pyrénées-Atlantiques), pour une journée d’excursion.

Ils étaient membres d’une association, le Club du petit-palaisien, où se retrouvaient les retraités de plusieurs communes voisines. Ils avaient affrété cet autocar, d’une compagnie locale.

Des prélèvements ADN doivent être effectués pour permettre d’identifier les nombreuses victimes, avant que les familles puissent procéder aux inhumations.

L’autre véhicule, un camion destiné à transporter du bois. Il était vide.

De ces deux véhicules, il ne reste que des carcasses, totalement calcinées.