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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Complémentaires : cas par cas, les conséquences pour les futurs retraités
Dès 2019, si on arrête sa carrière avant 63 ans, les retraites complémentaires subiront une décote de 10 % sur trois ans, selon l'accord signé vendredi par trois syndicats et le patronat.
Après neuf mois de négociations, trois syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC) et le patronat sont parvenus à un accord sur l’avenir des retraites complémentaires Agirc-Arrco. Après neuf mois de négociations, trois syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC) et le patronat sont parvenus à un accord sur l’avenir des retraites complémentaires Agirc-Arrco.
La messe est dite ! Au prix de nouveaux efforts pour les salariés, le régime des retraites complémentaires sera sauvé. Dès 2019, les générations nées à partir de 1957 devront reculer leur âge de départ à la retraite d'un an pour éviter de voir leurs pensions Arrco (18 millions de salariés du privé) et Agirc (4,1 millions de cadres du privé) amputées de 10 % pendant les trois premières années.
Ce nouveau système de malus-bonus vise à inciter les salariés du privé à retarder d'un an leur départ à la retraite. En exclusivité pour notre journal, le cabinet Optimaretraite a calculé les changements que cela induit pour les futurs retraités
En clair, la norme n'est plus 62 ans pour commencer à toucher une retraite complémentaire à taux plein, mais bel et bien 63 ans. Saluée par François Hollande à l'issue de la conférence sociale comme « une liberté qui est accordée » aux salariés, cette révolution pourrait en cacher d'autres.
Et pourquoi pas, même si ça n'est pas d'actualité aujourd'hui, inspirer une nouvelle réforme des retraites du régime général...
Qui sait ?
Le rideau est tombé, hier, à l'issue de la septième et dernière séance de négociation. Après neuf mois de discussions entre les partenaires sociaux au chevet des régimes complémentaires, le patronat et trois syndicats — CFDT, CFTC, CFE-CGC — ont mis le point final à l'accord destiné à renflouer les caisses. Avec, à la clé, 6,1 Mds€ d'économies à l'horizon 2020.
Les départs à la retraite des papy-boomers et le chômage de masse ont mis à mal les finances de l'Agirc et de l'Arrco dont les déficits ont atteint respectivement 1,985 Md€ et 1,153 Md€ en 2014. Un embarras palpable chez les syndicalistes Soulagement, donc, pour certains.
Mais c'était pourtant la soupe à la grimace hier, aux environs de 14 h 30, avenue Bosquet à Paris, siège du Medef. Face au satisfecit patronal, l'embarras était palpable sur les visages des syndicalistes, y compris les plus réformistes.
« C'est un accord équilibré, compliqué aussi parce qu'il demande des efforts aux salariés et aux retraités. Mais les entreprises vont être mises à contribution également », tente de rassurer le négociateur de la CFDT Jean-Louis Malys.
Des arguments moqués par FO et la CGT, vent debout contre l'introduction de ce système de malus qui, selon eux, « ouvre la voie à un report de l'âge de départ à la retraite ». « On n'a pas fini d'entendre parler de ce texte », a pesté Eric Aubin (CGT), qualifiant ces mesures de « régression ».
Aussi virulent et critique, le représentant de FO dénonce un « accord déséquilibré payé à 90 % par les retraités et les salariés et 10 % seulement par les employeurs ».