Notre sinistre de l'écologie N.HULOT , ouvre la chasse , pour tout l'été 2018 en Isère. Dangereux pendant les vacances d'été , pour les familles, les promeneurs, en Isère . La chasse est donc ouverte depuis le 1er Juillet . Inimaginable , inacceptable , très dangereux , pour les touristes , les enfants en colonies de vacances , mais ce triste personnage , ne recule devant rien , pour préserver la nature, et la biodiversité . Le sinistre de la chasse , est il un inconscient ? Non , il sait ce qu'îl fait et préfère favoriser les lobbies des chasseurs ..... Vous allez me dire "et le loup la dedans" Il seront victimes des dommages collatéraux

Frapna 38 : "La chasse dès le 1er juillet va déranger de nombreuses espèces"

La Frapna de l’Isère craint que le début de la chasse au 1 er juillet ne vienne perturber certaines espèces.

C’est un refus catégorique. Pour la Fédération Rhône-Alpes de protection de la nature (Frapna) en Isère, faire démarrer la période de chasse au 1er juillet, c’est tout simplement non.

« Nous sommes absolument opposés à cette décision de la préfecture, indique fermement Sophie D’Herbomez-Provost, vice-présidente de la Frapna Isère. Cela signifie que les animaux seront dérangés dès le 1er juillet cette année, c’est très problématique pour certaines espèces. »

Principalement en cause, les battues autorisées pour chasser les sangliers par exemple. Sophie D’Herbomez-Provost développe :

« Quand vous avez une rangée de chasseurs qui avance dans un champ, avec les chiens qui sont lâchés, je ne vous explique pas les dégâts, notamment sur les oiseaux qui nichent encore à cette période de l’année. Et les faons sont encore tout petits en juin-juillet. »

« Les chasseurs ne sont pas cohérents avec eux-mêmes » De nombreuses espèces d’oiseaux s’installent en effet dans les champs pour nicher. Le busard cendré est par exemple présent dans la plaine de la Bièvre, où la Ligue de protection des oiseaux (LPO) mène un plan de sauvegarde en lien avec les agriculteurs depuis plus de trente ans. Ce rapace diurne aux ailes étroites et pointues niche dans les landes ou les prairies humides. Il bénéficie d’une protection totale sur tout le territoire français. Si Sophie D’Herbomez-Provost conçoit bien qu’il y ait un problème avec certaines espèces comme le sanglier ou le cerf Sika (classé espèce exotique envahissante), la vice-présidente de la Frapna reporte la responsabilité sur les chasseurs.

« Ils ne sont pas cohérents avec eux-mêmes, assène-t-elle. Quand, dans certains endroits, ils les nourrissent et que dans d’autres ils n’en prélèvent pas assez, ce n’est pas étonnant qu’il y ait un problème sanglier. » Et de réaffirmer une ligne rouge : « On ne doit pas toucher à la durée de la chasse, en France, c’est déjà une des plus longues d’Europe », affirme-t-elle.