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tristesse

Publié à 08:32 par fandeloup Tags : divers sur enfants mort
tristesse

Audric, 4 ans, était mort après une opération des amygdales

La clinique avait autorisé la sortie d’Audric Chassaing, 4 ans, après une opération des amygdales. 

Une clinique de Vichy est jugée ce jeudi pour homicide involontaire.

L’établissement conteste toute faute.

Le tribunal de Cusset (Allier) va examiner une affaire douloureuse ce jeudi après-midi : la mort d’un enfant de 4 ans.

Le petit Audric est décédé le 25 octobre 2012, le lendemain de son opération des amygdales à la clinique La Pergola à Vichy.

Cet établissement est poursuivi, en tant que personne morale, pour homicide involontaire. Il lui est essentiellement reproché d’avoir laissé sortir trop tôt le tout jeune patient, et le fait de ne pas avoir possédé à l’époque de brassard pour prendre la tension adaptés aux enfants.

La clinique conteste toute faute, mais sera l’unique prévenu. Le chirurgien, qui avait été mis en examen le 30 janvier 2015, est en effet décédé pendant l’instruction, en juillet 2015.

Le jeune garçon - en parfaite santé avant l’opération - a été victime d’une « hémorragie cataclysmique » au niveau du foyer opératoire, survenue le lendemain de l’intervention.

« Il existait des complications postopératoires réelles, pouvant correspondre au risque hémorragique largement connu de la communauté médicale. Ce risque exigeait une surveillance toute particulière du patient Audric », ont estimé les juges d’instruction.

« En laissant sortir ce gamin, on a signé son arrêt de mort »

Insistant sur le défaut de brassard tensionnels appropriés, ils ajoutent dans leur ordonnance de renvoi : « L’absence de vérification artérielle a occulté toute possibilité de découvrir une éventuelle anomalie qui dans cette hypothèse aurait retardé la sortie de l’enfant. » L

’avocat des parents de l’enfant en tire une conclusion plus radicale.

« En laissant sortir ce gamin dans ces circonstances, on a signé son arrêt de mort », estime Me Gilles-Jean Portejoie, qui avait bataillé pour obtenir un procès même après les réquisitions de non-lieu prises par le procureur. De son côté, la clinique a admis l’absence de brassards adaptés aux enfants , un matériel rapidement acquis après le drame. Mais elle conteste tout manquement ayant entraîné la mort d’Audric et tout lien - même indirect - entre la sortie de la clinique et la survenue du décès.